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Le lâcher prise : Comment arrêter de tout contrôler ?

lacher-prise

Adam Fartassi Maj le 4 mars 2021 8 Commentaires   10 minutes de lecture

“Lorsque vous lâchez prise, vous laissez la place à des choses meilleures d’entrer dans votre vie.” – Anonyme

Bien qu’il soit sain d’avoir un certain niveau de contrôle sur sa vie, par exemple pour garder de bonnes habitudes ou bien de gérer vos finances, un excès de contrôle s’avère rapidement nocif. Il devient alors plus difficile de se lancer dans de nouveaux projets, ou d’être créatif lorsque vous cherchez à tout contrôler, et cela sans compter l’effet du stress sur votre santé en général.

Si vous êtes trop exigeant(e) avec vous même ou les autres, apprendre à lâcher prise peut rendre votre vie plus agréable. Vous pouvez cesser d’essayer de tout contrôler en changeant de mentalité, en apprenant à vivre avec l’imperfection et en devenant plus ouvert(e) et flexible.

Au programme de cet article :

Qu’est-ce que le lâcher prise ?

Avant de parler de lâcher prise, il est nécessaire de parler de son contraire : l’attachement . Nous nous attachons souvent mentalement et émotionnellement aux choses dont nous pensons avoir besoin, ou que nous voulons.

Nous nous attachons ainsi aux gens, à des opinions, résultats, ou encore à des biens matériels. Pourquoi ? Parce que nous avons peur de les perdre  et donc d’être malheureux, ou même de penser que sans eux nous ne survivrions pas.

Ici, lâcher prise signifie que vous choisissez de ne plus ruminer sur les choses qui échappent à votre contrôle , de ne plus s’y attacher, et de vous recentrer sur celles que vous pouvez contrôler en ce moment. Cela ne signifie pas que nous allons perdre tout ce que nous essayons tant bien que mal de contrôler.

Cela veut juste dire que nous avons suffisamment confiance en nous-même pour nous en passer. Vous avez un jour vécu sans toutes ces choses, toutes ces personnes, et cela ne vous a pas manqué. Vous êtes né(e) entier et complet, sans vous préoccuper des attentes du monde ni de vos responsabilités.

Aujourd’hui, il est temps de faire le tri dans ces attentes, ces responsabilités, et d’accepter nos limites et nous débarrasser de nos peurs. C’est ce que nous allons voir à présent.

1. Réapprenez à vous détendre

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Le premier pas pour nous libérer de cette peur de perdre ces choses et ces personnes auxquelles nous tenons, c’est de nous détendre. Parce que bien souvent, nous oublions la personne la plus importante dans notre vie : nous-même . C’est pourquoi il est important que vous commenciez à repérer les domaines dans votre vie où vous pourriez être plus détendu(e).

Repensez aux moments où vous cherchez à contrôler ce qui se passe dans votre vie. Ces moments qui vous stressent ou vous rendent la vie plus difficile. Demandez-vous si vous pouvez réellement contrôler ces choses-là , ou bien si ce n’est qu’une illusion (comme c’est très souvent le cas). C’est peut être le cas lorsque vous cherchez à diriger dans vos relations, en exigeant ou en manipulant certaines attitudes ou comportements chez l’autre.

Comprenez que lâcher prise signifie surtout que vous reconnaissez ne pas être responsable de tout et de tout le monde . C’est une expérience qui vous libère, si vous vous autorisez à la vivre. Pour vous aider, examinez les raisons pour lesquelles vous ressentez le besoin d’être aux commandes. Cela peut-être lié à votre passé, si l’on vous a laissé très jeune trop de responsabilités.

Prenez également le temps de noter dans un journal ce que vous ressentez, les pensées et les croyances qui vous empêchent de lâcher prise. Soyez complètement honnête avec vous-même et écrivez ce qui vous vient. Sachez que même si vous ne pouvez pas contrôler une situation, vous pouvez quand même contrôler votre manière d’y réagir .

2. Réévaluez vos attentes

Repensez aux attentes que vous avez vis-à-vis de vous même , des autres, du monde en général. Si vos attentes sont très élevées, il est temps de les ramener sur terre au risque d’être fréquemment déçu(e) . Si vous n’êtes pas certain(e) de savoir si vos attentes sont irréalistes ou non, demandez à quelqu’un de confiance son point de vue sur la question.

Par exemple, vous pouvez espérer que votre nounou gère vos enfants de la même manière que vous, pourtant c’est assez irréaliste puisqu’elle ne pourra jamais vous remplacer parfaitement. (Et est-ce souhaitable ?). Vérifiez donc auprès des autres si vos attentes doivent être ajustées ou non.

Imaginez le pire scénario . Lorsque vous commencez à stresser vis-à-vis d’une situation ou d’un événement, prenez du recul en vous demandant quel est le pire résultat qui pourrait se produire, et si vous pourriez le supporter. Vous réaliserez probablement que le monde ne s’écroulera pas, même si vous ne contrôlez pas ce qui pourrait arriver.

Par exemple, vous pourriez être inquiet d’être perdu dans votre nouvel emploi, le pire scénario serait de faire une erreur ou d’être obligé de demander de l’aide, ce qui dans les deux cas n’est pas une catastrophe.

Maintenant prenez du recul et imaginez si dans deux, trois, ou cinq ans cette situation aura encore de l’importance . Imaginez les futures opportunités qui vous attendent, et comment elles pourraient jaillir dans votre vie.

Repensez aussi aux choses qui vous ont déçu par le passé, comment avez-vous réussi à tourner la page ? Tout cela vous aidera à garder une vision d’ensemble et ne plus vous débattre dans toutes les situations qui échappent à votre contrôle.

Utilisez des affirmations que vous répéterez chaque fois qu’une situation où vous avez du mal à lâcher prise apparaîtra. Par exemple : “Je lâche prise et cela me libère” ou bien “J’ai décidé de lâcher prise et tout va bien”. Vous pouvez les écrire sur des post-it et les accrocher un peu partout, ou bien vous programmer des alarmes régulièrement sur votre téléphone avec ces phrases.

Vous pouvez également couper le lien avec cette chose ou personne dont vous aimeriez lâcher prise,  à l’aide d’un rituel . Cela peut être les bonhommes allumettes , ou bien une cérémonie particulière.

Par exemple, en notant sur un papier toutes vos pensées et émotions liées à cette personne ou choses, puis en déchirant ou en brûlant le papier. Vous pouvez aussi vous débarrasser de certains objets qui vous rappellent cette mauvaise expérience passée.

3. Pratiquez la pleine conscience

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Prenez l’habitude de vous recentrer sur le moment présent . Vous n’avez pas besoin de juger de ce qui s’est passé, ou de vous inquiéter de ce qui se passera à l’avenir. Lorsque vous acceptez le moment présent sans attente ni jugement, vous remarquerez à quel point il est bénéfique de ne pas avoir à tout contrôler.

Si vous remarquez que vos pensées deviennent négatives ou que vous vous attachez trop à quelque chose, demandez-vous : “Qu’est-ce que je ressens en ce moment ?”. Observez vos pensées, émotions et sensations corporelles. Observez-les sans y réagir ni interagir avec . Après une minute ou deux, concentrez-vous sur votre respiration .

Remarquez cette sensation de l’air qui entre dans vos poumons et qui en ressort. Continuez à respirer en laissant les émotions et les pensées arriver sans vous y attarder, laissez la respiration vous guider. Cet exercice peut être difficile (ou frustrant) à faire au début, c’est normal, plus vous le pratiquerez et plus cela deviendra simple pour vous.

Vous pouvez également regarder une image apaisante quelques instants , ou bien suivre un décompte de 100 jusqu’à 0 en descendant de 7 en 7. Ou encore choisir une couleur au hasard et chercher tous les objets de la pièce de la même couleur. Tout cela vous aidera à vous libérer de vos pensées parasites et à vous recentrer sur le moment présent.

Lorsque vous vivez cet état de pleine conscience, vous êtes capable de reconnaître vos envies de contrôle en sachant d’où elles proviennent, et de pouvoir les ignorer. La méditation vous aidera également à être plus conscient(e) au quotidien.

4. Acceptez l’imperfection

Visez le progrès, pas la perfection . Oubliez l’idée d’atteindre la perfection lorsque vous cherchez à avancer dans vos objectifs ou à construire une nouvelle habitude. À la place, faites en sorte de faire des progrès régulièrement. Continuez à vous améliorer progressivement, soyez patient(e) avec vous-même , ce n’est pas grave de faire des erreurs.

Cela fonctionne aussi si vous travaillez avec d’autres personnes. Parfois nous sommes frustrés des défauts d’autrui, mais il serait plus intéressant de se concentrer sur ce qu’ils pourraient améliorer, plutôt qu’à faire le compte de leurs erreurs. Appréciez les efforts des autres . Lorsque vous êtes reconnaissant(e) pour ce que les autres font, vous êtes moins porté(e) à les critiquer ou à les contrôler. Ignorez leurs erreurs dès que vous le pouvez, et concentrez-vous sur leurs bonnes idées, leurs efforts et leurs qualités .

N’oubliez pas bien sûr de vous féliciter également . Prenez un petit temps dans la journée ou dans la semaine pour lister les bonnes décisions que vous avez prises, et les petites réussites que vous avez accomplies.

Priorisez . Ne vous dissipez pas en essayant de tout faire parfaitement. Décidez plutôt des tâches sur lesquelles vous avez réellement besoin de garder un contrôle , et de celles qui ne demandent pas d’y allouer autant d’efforts. Utilisez votre énergie dans les tâches importantes d’abord , et ne vous inquiétez pas pour le reste.

Par exemple, vous avez besoin d’aide avec les tâches ménagères parce que vous avez un travail important à rendre sous peu. Vous aurez alors à prioriser votre travail et assouplir votre idéal d’une maison “propre”. Ou bien, vous devriez accepter de laisser quelqu’un d’autre faire le ménage, même si ses efforts seront différents des vôtres.

5. Acceptez le changement

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Comprenez que lâcher prise signifie aussi accepter le changement . Si vous êtes obsédé(e) par l’idée d’un résultat spécifique, il devient très difficile de lâcher prise. Souvent en nous accrochant à notre vision idéale des choses, nous passons à côté de plein d’occasions bénéfiques pour nous .

Oui, cette personne ne vous a pas rappelé, votre emploi idéal vous a filé sous le nez, cette opportunité s’est évaporée, mais vous oubliez qu’il n’y a pas qu’une seule personne sur terre, que d’autres emplois existent et que les opportunités vont et viennent.

Fréquemment nous nous enfermons dans un monde où toutes les ressources (personnes, emplois, opportunités) seraient rares et temporaires . Ce n’est pas le cas dans la réalité. Nous vivons dans un monde d’abondance , dans lequel il y a suffisamment de place pour répondre aux besoins de tout le monde.

Cela implique quelque chose d’important : vous devez vous concentrer sur vos besoins plutôt que vos désirs et idéaux . Il est facile de se mettre en colère lorsque la situation ne se passe pas comme prévue, mais un désaccord ou un imprévu ne sont pas la fin du monde.

Peut-être que vous attendiez d’une personne qu’elle s’excuse, et que pour vous c’est la seule manière de tourner la page, pourtant ce n’est pas nécessaire. Vous pouvez également décider de laisser tomber cette relation et de passer à autre chose, aussi frustrant que cela puisse être. Vous obtiendrez ce dont vous avez besoin : la paix . Apprendre à pardonner peut aussi vous y aider.

6. Apprenez à vous ouvrir un peu plus

Devenez plus flexible . Acceptez que parfois les choses ne se passent pas comme prévu, peu importe à quel point vous vous y préparez. Lorsque quelque chose ne va pas, prenez une profonde respiration , puis faites de votre mieux pour gérer la situation, et passez à autre chose. Tentez de trouver des points positifs à cette situation imprévue.

Ayez confiance . Soyez plus ouvert(e) à la bienveillance des autres, du monde et en vous-même. Renforcez votre confiance dans votre capacité à gérer l’inconnu. Comprenez que la plupart des situations finiront par s’arranger, même si elles se déroulent pas de la manière dont vous l’attendiez.

Commencez à accorder aux gens le bénéfice du doute . Ouvrez votre cœur en leur donnant la possibilité de vous faire plaisir, plutôt que d’être dans la perspective qu’ils vous décevront forcément. Ne restez pas isolé(e) et partagez avec les autres ce qui vous pèse de temps à autre . Même si vous ne connaissez personne pour vous soutenir, vous pouvez en parler à des personnes que vous ne connaissez pas (des groupes en ligne par exemple).

Apprenez à être plus spontané(e) . Prenez plaisir à voir où chaque jour vous mène. Permettez-vous de dévier de votre routine de temps à autre. Essayez différentes choses, dites oui à de nouvelles opportunités et lancez-vous des défis lorsque vous en avez l’occasion.

Vous pouvez accorder plus de place à la spontanéité en prévoyant… De ne pas planifier . Faites une promenade sans destination en tête ou libérez-vous un après-midi de temps en temps pour faire ce que vous voulez. Le perfectionnisme peut prendre tout votre temps. En apprenant à être plus spontané(e), vous pourrez vous réapproprier votre temps.

Laissez les autres prendre le relai . Si la tâche à accomplir n’est pas d’une importance capitale, demandez à quelqu’un d’autre de le faire . Déléguer peut être effrayant si vous avez l’habitude de tout faire par vous-même, mais une fois que vous remarquerez que les autres sont aussi capables d’accomplir leurs tâches correctement vous vous sentirez moins contraint(e) de vous occuper de tout par vous-même.

Par exemple, vous pourriez demander à vos enfants d’accomplir certaines tâches ménagères, ou de déléguer à un collègue une part du projet à réaliser. Lorsque vous donnez une tâche à quelqu’un, ne succombez pas à l’envie de micro-manager la manière de faire son travail. Laissez lui l’opportunité de faire les choses à sa manière , même si la méthode employée est différente de la vôtre. Rappelez-vous de remercier chaque personne pour ses efforts.

Même si le travail n’est pas fait de la façon dont vous l’auriez imaginé, complimentez cette personne pour ce qu’elle a fait de bien et évitez de la critiquer. Faites preuve de compassion en vous mettant à la place des autres , imaginez qu’on vous dise ce que vous vous apprêtez à leur dire. Si vos anciennes habitudes remontent, occupez votre esprit avec une autre tâche , fermez vos yeux quelques minutes ou détournez-vous de la situation.

7. La méthode Sedona

Inventée par l’auteur américain Hale Dwoskin, la méthode Sedona est un outil puissant pour lâcher prise. Elle est basée sur le principe que nous nous identifions à tort à nos ressentis ou à nos croyances limitantes.

Ainsi nous disons “je suis énervé”, “je suis nul” au lieu de “je me sens en colère”, “j’ai fait une erreur” et c’est précisément ce qui nous empêche de nous libérer de nos émotions, de nos limites. Elle est conçue en 5 étapes :

  • Revoyez mentalement à une situation où vous n’arrivez pas à lâcher prise et laissez l’émotion s’installer en vous. Il n’y a rien à faire ni à penser, seulement à laisser cette émotion se diffuser en vous.
  • Choisissez la question qui résonne le plus en vous parmi ces 3 questions : Puis-je laisser cette émotion partir ? Puis-je permettre à cette émotion d’être présente ? Puis-je accueillir cette émotion ?  Vous pouvez répondre par “oui” ou “non”, cela n’a pas d’importance pour la suite. Ne cherchez pas à analyser ou juger votre choix.
  • Posez-vous la question : Est-ce que je voudrais la laisser s’en aller ? Si la réponse est “non”, demandez-vous : Est-ce que je préfère garder cette émotion, ou est-ce que je préfère en être libéré ? Même si la réponse est encore “non”, allez à l’étape 4.
  • Demandez-vous : Quand voudrais-je lâcher prise ? C’est une invitation à lâcher prise dès maintenant. C’est un choix que vous pouvez faire n’importe quand.
  • Répétez les 4 étapes précédentes autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que vous soyez libéré(e) de cette émotion particulière.

Vous remarquerez qu’au début les résultats seront peut-être subtils, mais si vous persévérez alors vous réussirez rapidement à vous détacher de ces émotions qui vous limitent.

Le mot de la fin

Pour finir, vous devez savoir qu’il n’est pas possible de lâcher prise sur tout et d’un seul coup . Le lâcher prise est tout un apprentissage, commencez déjà par une ou deux petites situations où vous n’arrivez pas à relâcher votre contrôle, puis progressez à partir de là.

Intégrez le fait que nous n’avons réellement de contrôle que sur nous-même et nos actions , pas sur celles des autres. Croire le contraire est une perte de temps et d’énergie. Vous n’avez pas besoin de tout faire pour les autres pour qu’ils vous apprécient, ni de vous placer en victime . Vous avez quelque chose de plus précieux que toutes ces choses auxquelles vous vous attachez aujourd’hui : vous-même .

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Pour aller plus loin :  Apprendre à lâcher prise, c’est malin , de Cécile NEUVILLE. 

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8 Commentaires

essayer de tout controler

J’ai tendance à ne pas lâcher prise avec mon conjoint, nous voyons une psychothérapeute pour faire ce travail sur soi, mais j’ai beaucoup de mal qu’il ne veuille pas partager certaines choses avec moi par peur de mes réactions, il a tendance à cacher certaines choses, et sa me blesse mais je sais que c’est une réaction tout à fait normale. J’aimerai avoir des pistes pour me sentir comme avant et me recentrer sur moi, car j’en souffre beaucoup de la situation , j’ai perdue confiance en moi.

essayer de tout controler

Merci pour cet article. Je fais partie des personnes qui cherchent à tout contrôler et mon gros soucis est mon sommeil. J’essaie vos méthodes tous les soirs, mais au bout d’une heure, je craque, je n’ai pas réussi à m’endormir et du coup ça m’énerve…. y a t-il un spécialiste pour m’aider ? Merci

Adam Fartassi

Quel est votre problème exactement avec le sommeil ? Ce sont des idées qui vous tournent dans l’esprit ou bien le sommeil ne vous vient simplement pas ?

Bien à vous, Adam.

L’article est très enrichissant je comprends mieux le concept du lâcher prise maintenant

Merci pour ce partage, qui me permet de prendre conscience de mes actes.

Très bon article, beaucoup de questionnements et méthodes qui permettent de se remettre en question et de lâcher prise sur des choses qui, au final, ont beaucoup moins d’importance qu’on ne leur en donne. Vivre sa vie sereinement en étant heureux et en partageant cette sérénité autour de soi est plus important que de toujours s’inquiéter de faire les choses correctement ou de ce que les autres pensent, en essayant d’atteindre un idéal inexistant et de contrôler ce qu’il n’est pas possible de contrôler. Merci beaucoup pour cet article.

essayer de tout controler

Merci beaucoup pour toutes ces astuces ! Je sais que dans mon cas la peur de ne pas tout contrôler était déterminante dans mes crises de panique. J’ai du justement apprendre à lâcher prise. J’adore cette phrase : “Vous êtes né(e) entier et complet”. Tout est là. On devrait se le remémorer chaque jour.

Très bel article !

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Tout contrôler : la grande illusion

Tout contrôler : la grande illusion

Contrôler ses émotions, son temps, ses relations, son corps… Dans un monde perçu comme instable et inquiétant, cette attitude rassure. Pourtant, le désir de maîtrise révèle davantage nos faiblesses que nos forces. Et capte une grande partie de notre énergie vitale.

Vivre longtemps, mince et en bonne santé, s’épanouir dans sa vie affective comme dans sa vie professionnelle, avoir du temps pour soi et pour ceux que l’on aime, gagner en sérénité chaque jour… Difficile de ne pas adhérer spontanément à cet idéal de vie situé quelque part entre hédonisme et sagesse orientale. Le sésame pour l’atteindre ? Le contrôle. Sur ses émotions, sur son temps, sur ses liens affectifs et sur son corps. Car, dans notre culture basée sur la performance et sur le matérialisme, et dans un monde vécu comme de plus en plus imprévisible, la seule maîtrise que nous pensons désormais pouvoir exercer est sur nous-mêmes. Uniques responsables et gestionnaires de notre capital santé et bonheur, nous avons – ou croyons avoir – la liberté de choisir la vie qui nous fait envie et nous ressemble, de façonner notre destin au plus près de nos désirs, sans entraves. Telle est, depuis quelques décennies, l’aspiration la mieux partagée, qui dessine le fantasme collectif d’un individu maître de sa vie et affranchi de toutes les pesanteurs et contraintes.

Pourtant, cette quête, loin d’alléger notre ballot existentiel, le leste d’un nouveau poids, selon le sociologue Alain Ehrenberg, qui explique que « maîtrise de soi, souplesse psychique et affective, capacité d’action font que chacun doit endurer la charge de s’adapter en permanence à un monde qui perd précisément de sa permanence », et que, du coup, « l’individu conquérant est en même temps un fardeau pour lui-même ».

Pour aller plus loin

La peur comme moteur.

Louise, 34 ans, vit dans la peur de faire des mauvais choix : « La spontanéité m’a joué de mauvais tours par le passé, en amour et au travail. Aujourd’hui, je fais passer la raison avant l’émotion et la passion. Mon métier dans la communication institutionnelle ne me passionne pas outre mesure, mais je fais du théâtre à côté, je sors avec mes amis… Seul point noir : ma vie amoureuse. J’attends toujours. Je suis très sélective, très exigeante, et si je m’engage, cette fois, ce sera le bon. »

Même désir de maîtrise chez Mathilde, 42 ans, pharmacienne et mère de trois enfants : « Je le reconnais, mon maître mot, c’est “discipline”. Sans elle, j’aurais dix kilos de plus, pas de vie sociale, pas de temps pour ma passion, la céramique, ni pour mon couple ! Pour moi, le contrôle, c’est la sécurité : je planifie, j’anticipe, je surveille. Du coup, les “mauvaises surprises” sont réduites à la portion congrue. » Lucide, Mathilde avoue toutefois avoir développé cette stratégie en réponse à une enfance « trop bohème pour être sécurisante, marquée par la bougeotte et les engouements de parents immatures ».

Pour la psychiatre Stéphanie Hahusseau , le contrôle est avant tout un mécanisme de défense qui exprime un besoin de protection émotionnelle et aff ective. « L’individu qui vit sur un mode d’hypervigilance a pu subir un traumatisme qui l’a conduit à se fermer. Il se comporte de manière à se donner l’impression d’agir au lieu de subir. Ou bien il a peut-être été élevé par des parents qui n’ont pas satisfait ses besoins affectifs sur un mode suffisamment sécurisant. » Elle détaille plusieurs cas de figure pouvant générer des comportements de contrôle. « L’enfant a pu ne pas se sentir aimé pour ce qu’il était, ni sécurisé dans un lien stable. Il n’a pas été encouragé à développer un espace autonome, ou encore a-t-il été utilisé par ses parents comme un instrument de régulation de leurs émotions : par exemple, le comportement fusionnel d’une mère peut conduire son enfant à “geler” durablement ses émotions pour se protéger de l’intrusion, ou au contraire le pousser à reproduire le schéma maternel avec ses proches. » Contrôle des émotions, du temps, des relations, du corps…, chaque histoire détermine une zone de maîtrise principale. « Même si, à l’origine, le contrôle n’a qu’un but : nous empêcher de percevoir des sensations et éviter ainsi d’être envahi, précise Stéphanie Hahusseau. Cette position préventive est très coûteuse, car elle nous maintient psychiquement et physiquement en état de tension permanente. Et ce stress conduit à l’épuisement physique et nerveux, qui est souvent à l’origine de pathologies plus ou moins sérieuses. »

Toute sa vie, Flora, 44 ans a offert l’image d’une femme raisonnable, sérieuse jusqu’à la rigidité. Élevée dans le culte du perfectionnisme, elle s’est dépensée sans compter pour son entreprise jusqu’à ce qu’un plan de licenciement fasse voler en éclats ses illusions et ses repères. S’en est suivie une dépression de quatre ans, avant une renaissance. « J’ai d’abord eu l’impression de me dissoudre, et puis, au fil de ma psychothérapie, j’ai compris que j’avais vécu la vie de mes parents et pas la mienne. J’ai été loin de mes vrais désirs, de ma vraie personnalité, loin des autres, toujours tétanisée par la peur de mal faire et de mal dire, toujours fidèle aux cadres rigides de ma famille… »

La maîtrise ou la vie

Dans Célébrer la vie au quotidien (BDLys 2003), le maître zen John Daido Loori pose une question faite pour frapper les esprits et cheminer dans l’inconscient de chacun : « Êtes-vous à la recherche du contrôle ou de la liberté ? » Contrôler ses pulsions, ses désirs, ses émotions, ou bien se laisser aller à la liberté de ressentir et d’être ?

Après son divorce, il y a quatre ans, Pierre- André, 44 ans, médecin, s’est lancé à corps perdu dans le travail et les « conquêtes d’un soir ». En tenant à distance ses sentiments et ses émotions, il a eu l’impression de se protéger, mais aussi de ne plus être tout à fait vivant. « Et puis, il y a deux ans, une amie m’a proposé un stage de méditation de pleine conscience, je me suis dit : “Pourquoi pas ?” » Dès la première séance, alors qu’il se concentre sur le contact de la pierre sous ses mains, Pierre-André sent quelque chose se réveiller en lui : « Rien d’extraordinaire, simplement la sensation que la vie circulait à nouveau dans mon corps, que j’étais vraiment vivant, j’en ai eu les larmes aux yeux. Je sentais que je lâchais mes peurs, mes défenses et que, paradoxalement, ça me rendait plus fort. Dans ma famille, il fallait serrer les dents, sourire et avancer. C’est ce que j’ai fait pendant les trois ans qui ont suivi mon divorce, et qui ont fait de moi une sorte de robot mondain. Aujourd’hui, je me remets en vie. »

Accueillir l’instant présent, ressentir sans se censurer, penser sans préjuger, accepter ce qui ne peut être changé…, tels sont quelques uns des antidotes au contrôle de soi et des autres. Des voies d’exploration pour lâcher prise et dire vraiment oui à la vie.

Faut-il lâcher prise ? Splendeurs et misères de l’abandon spirituel de Robert Scholtus La réflexion érudite et décapante d’un enseignant en théologie sur une notion centrale dans la tradition chrétienne (Bayard, 2008).

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Vous vous demandez comment faire pour enfin lâcher prise et accepter l’anxiété (ainsi que tout le reste) ? Lâcher prise c’est en effet tout un art et ce n’est pas si simple ! Dans cet article je vous dévoile plusieurs pistes. C’est parti !

Comment faire lâcher prise accepter anxiété

Aaaah le lâcher-prise. Je suis sûre que vous avez déjà tous entendu ce terme au moins une fois. Il est très à la mode en ce moment. Mais ça veut dire quoi au final ? Qu’est-on censé « lâcher » ? Et à quoi ça sert ? En quoi ça peut nous aider à aller mieux lorsque l’on souffre d’anxiété ? Et pourquoi est-ce si difficile de lâcher-prise ? Je vais essayer de répondre à toutes ces questions !

Pourquoi est-ce si difficile de lâcher prise ?

Le souhait de tout contrôler.

On aimerait tout contrôler dans nos vies. C’est humain, c’est normal. On souhaiterait pouvoir savoir à l’avance ce qui va se passer, pouvoir contrôler nos pensées, notre corps et ses réactions (douleurs, maladies, fatigue…), et même contrôler les autres ! Ah c’est sûr que notre vie serait tellement plus simple ainsi. Tout serait bien sous tout rapport exactement comme nous le souhaitons. Notre travail se déroulerait exactement comme prévu, il n’y aurait jamais d’imprévus nous obligeant à tout modifier. Les autres (conjoint, enfants…) feraient exactement ce que nous voulons, nous comprendraient parfaitement et diraient exactement ce que nous souhaitons entendre au bon moment. Nous serions toujours en forme, motivés et sereins.

Mais ce n’est pas possible non ? Et finalement est-ce que la vie ne serait pas un peu triste si elle était déjà écrite à l’avance ? Est-ce que les imprévus et le surprises ne lui apportent pas un peu de saveur ? On s’ennuierait vite sinon ?

S’il est si difficile de lâcher prise c’est parce qu’on souhaiterait justement pouvoir tout contrôler ainsi. On voudrait contrôler la vie. Mais c’est impossible et on refuse cette réalité.

L’envie de changer notre réalité

On voudrait refaire le monde : et si j’avais fait ça à la place ? Quand j’aurai ceci, je serais enfin heureux ! Cela ne devrait pas se passer ainsi ! Tout aurait été tellement si…! Je pourrais faire cela si j’avais de l’argent/du temps. On souhaiterait tellement modifier le passé pour qu’il nous convienne mieux ou anticiper le futur. On est obsédés par ce qui aurait pu se passer ou sur ce qui devrait se passer, au détriment de ce qui se passe maintenant dans le présent.

Nous résistons à ce qui est et refusons notre nouvelle réalité. On n’accepte pas la situation actuelle et on se ferme.

Lâcher-prise c’est tout l’opposé. Lâcher-prise c’est abandonner cette volonté de tout contrôler.

On aura beau essayé, on ne pourra jamais changer les évènements ou les autres personnes. On peut seulement avoir une influence limitée, et encore ! La seule chose que l’on peut changer c’est notre façon de percevoir ce qui nous arrive.

Lâcher prise prière de la sérénité

Retenir c’est croire qu’il n’y a que le passé, lâcher-prise c’est savoir qu’il y a un avenir. Daphne Rose Kingma

Important : lâcher-prise ce n’est pas se résigner et abandonner

Ce paragraphe est très important. Je ne veux pas que vous confondiez le lâcher-prise avec la résignation .

Lâcher-prise et accepter notre réalité ne signifie pas que l’on baisse les bras, que l’on se résigne à « faire avec » ou qu’on tolère des situations insupportables. Cela ne signifie pas non plus que l’on encourage la situation, ou même que l’on est d’accord avec ce qui se passe.

Dans notre cas, lâcher-prise signifie accepter que l’on souffre d’anxiété en ce moment, tout en cherchant des solutions pour s’en sortir. Cela ne veut pas dire se résigner à souffrir toute sa vie ! Ne jamais, jamais, jamais abandonner comme disait Churchill. Mais en même temps on ne se bat pas contre notre anxiété, on n’est pas en colère contre elle, car cela ne fait qu’alimenter le cercle vicieux et augmenter notre niveau de stress et de tension.

On ne passe pas non plus son temps à ruminer : mais pourquoi moi ? ce n’est pas juste, je ne mérite pas ça, je suis seul au monde à souffrir, je ne m’en sortirai jamais, je veux redevenir comme avant…(je pense que vous savez de quoi je parle).

On accepte : OK c’est comme ça en ce moment et je ne vais pas m’en vouloir. au contraire au lieu de ressasser et ruminer je décide d’agir maintenant pour améliorer ma situation dans le futur. Notre énergie est ainsi canalisée dans la bonne direction.

Comment faire pour lâcher-prise : l’acceptation

Aie aie aie acceptation le mot qui fait peur ! J’ai remarqué en discutant avec plusieurs personnes que ce concept est difficile à comprendre, à appréhender et à appliquer. Tout comme le lâcher-prise d’ailleurs. En fait c’est la même chose au final ! Pour lâcher-prise il faut accepter notre réalité.

On souhaiterait pouvoir tout contrôler mais c’est impossible. On doit apprendre à accepter l’impermanence de la vie , accepter qu’on ne peut pas être toujours heureux. Qu’il y a aura toujours des moments de tristesse, de doutes, d’ennui, des moments où on se sentira perdus. Et aussi accepter qu’on se sentira toujours anxieux parfois, ou en colère.

Accepter que les autres ne peuvent pas être contrôlés , qu’ils feront toujours ce qu’ils veulent.

Alors autant arrêter d’utiliser notre précieuse énergie pour résister à notre réalité, et l’utiliser à la place pour accueillir ce que la vie nous offre. Surfer sur la vague de la vie plutôt que de tenter en vain de l’arrêter ou de la contrôler. On peut vraiment visualiser la vie et ce qui nous arrive (et notamment l’anxiété) comme des vagues : c’est impossible de stopper des vagues non ? Par contre on peut apprendre à surfer dessus.

En ouvrant ainsi son état d’esprit, on peut en plus voir la situation comme elle est, la réaliser pleinement, afin de pouvoir au final mieux la dépasser et éventuellement la transformer. On cesse de résister, de fuir ou de l’éviter. On ne peut pas changer ce qu’on n’accepte pas.

Quand une situation peut être modifiée, cela nous permet ainsi d’acquérir une plus grande clarté d’esprit pour chercher des solutions.

Citation acceptation lâcher prise

Quand une situation ne peut pas changer, on peut ainsi trouver une certaine paix intérieure.

Jenna Blossoms , dans une excellente vidéo que je vous invite à aller voir , nous propose l’exercice suivant pour accepter et lâcher prise sur une situation :

  • Penser à une situation qui nous dérange et sur laquelle nous souhaitons lâcher-prise
  • Rester avec ces pensées, regarder cette situation en face , la voir pour ce qu’elle est
  • Répéter l’affirmation suivante : »Je reconnais l’existence de cette réalité. Je cesse de lutter. Je lâche prise. Je m’en remets à l’univers pour me guider vers la meilleure évolution possible. »
  • Respirer lentement et profondément
  • Se visualiser en train de relâcher une corde, ou un autre objet symbolique

En ouvrant ainsi son coeur, on peut également changer notre perception. Qui sait, les pires épreuves de la vie peuvent aussi nous apporter des bonnes choses. C’est le cas de l’anxiété, notamment, qui peut être une bénédiction (je vous en parlerais dans un prochain article). Regardez ce blog : je m’épanouis totalement en le rédigeant et j’ai l’impression d’avoir enfin trouvé ma mission de vie. Mais si je n’avais pas surmonté mes troubles anxieux, je n’en serais évidemment jamais là. Aujourd’hui je suis fière d’avoir eu ces troubles et je n’en ai pas honte.

Lâcher son ego pour lâcher-prise

En fait c’est notre ego qui souhaite tout contrôler ainsi , cette partie de nous qui nous rend malheureux en nous isolant des autres et en nous faisant revivre le passé.

L’ego souhaiterait nous faire croire que nous sommes seuls au monde, isolés, en guerre contre les autres, que nous devons nous battre pour obtenir ce que nous voulons.

Ou alors il veut nous faire porter tout le poids du monde sur nos épaules, nous faisant croire que nous sommes responsables du bien-être de tous ceux autour de nous. Mais c’est faux, on ne doit rien à personne.

On peut parler également d’orgueil, de fierté.

Prenons déjà conscience de tout ça, puis lâchons notre ego et notre fierté. On n’en a pas besoin.

Comment faire pour lâcher-prise : renoncer au mythe du contrôle sur tout

Que peut-on contrôler .

Puisque le lâcher-prise est l’opposé du contrôle, il est important de distinguer ce qui fait partie ou non de notre zone de contrôle. Julien dans son article décrit les 3 zones suivantes :

  • ce que l’on peut contrôler : nos actions, nos valeurs, nos habitudes, nos objectifs…
  • ce qu’on ne peut pas contrôler : la météo, les autres, la mort…
  • et c e que l’on peut influencer mais sans garantie certaine : nos émotions, le travail, la santé…

Au lieu d’essayer en vain de tout contrôler, on peut à la place concentrer son énergie sur les choses que l’on peut vraiment changer. Pour les choses que l’on peut influencer mais sans garantie certaine, on peut agir dessus mais ne pas avoir trop d’attentes. Par exemple on peut essayer plein de techniques pour se détresser, mais se rappeler qu’il est toujours possible voir même très probable que l’on reste stressé à un moment ou un autre.

Renoncer pour avancer

On peut se demander : «  Qu’est-ce que je trouve le plus de mal à laisser aller dans ce changement? À quoi dois-je surtout renoncer ? « . Par exemple si vous avez du mal à accepter de ressentir des angoisses et des sensations liées à l’anxiété, peut-être avez-vous du mal à accepter de ne pas être au top tout le temps, à accepter de ralentir votre rythme, à accepter de ne pas être un super-héros. Ou alors vous refusez en bloc les sensations car vous détestez les ressentir et vous voulez qu’elles s’en aillent. Peut-être aviez-vous imaginé vos prochaines années, et le fait de ressentir de l’anxiété chamboule tout vos plans (ou en tout cas c’est ce que vous vous dites).

Il est parfois nécessaire de faire le deuil, non pas d’une personne, mais de son passé, d’un avenir que l’on imaginait, d’une image de soi-même, d’une habitude, d’une croyance, d’un objectif…pour avancer.

David LeFrançois utilise cette image : lâcher-prise c’est comme se balancer d’une liane à une autre comme Tarzan. Il faut lâcher ce qui nous retient, afin de pouvoir attraper autre chose et avancer. On lâche quelque chose pour prendre autre chose.

Avoir confiance

On a peur qu’en abandonnant le contrôle, la situation s’empire et devienne incontrôlable. Mais c’est faux, il faut se faire confiance et faire confiance à la vie.

Jenna Blossoms (encore elle) a une très belle métaphore sur ce sujet :

On passe notre temps à tenir des chiens en laisse. Les chiens sont tout ce qu’on souhaiterait contrôler. On tire en permanence sur toutes ces laisses, on résiste et cela nous épuise. Plus on résiste plus les chiens s’énervent et tirent sur les laisses. On a peur qu’en lâchant les chiens, cela soit le chaos total et qu’on ne puisse plus contrôler les chiens (= notre vie). Mais si on relâche un peu les laisses, les chiens seront peut être un peu fous au début, ils feront n’importe quoi, mais ensuite ils seront obéissants et on pourra marcher à côté d’eux tranquillement. Notre énergie pourra ainsi être focalisée sur autre chose, afin d’avancer vers nos objectifs.

Lâcher-prise sur le contrôle de nos émotions

Nous voulons tout contrôler, y compris nos émotions. Mais c’est impossible. En fait, c’est en cherchant à contrôler nos émotions que nous aggravons notre situation. En effet, puisque nous n’arrivons pas les contrôler, nous nous sentons coupables, ou en colère, ou anxieux : je ne devrais pas être anxieux, je hais ces sensations, et si le stress me rendait malade ? Nous rajoutons ainsi de l’huile sur le feu, nous créons ce que Russ Harris appelle des émotions secondaires, qui viennent se rajouter aux émotions primaires.

La solution ? Accepter nos émotions plutôt que de résister. Et pour cela Russ Harris propose l’exercice de l’expansion :

  • Observer nos sensations. Choisir la sensation la plus désagréable et se la représenter (forme, couleur…)
  • Respirer profondément 10 fois en imaginant que la respiration entoure et entre dans la sensation
  • Laisser la sensation exister sans essayer de la supprimer

Comment faire pour lâcher-prise : s’accepter

Quand nous ressassons nos erreurs passées, rappelons-nous qu’il est humain et normal de faire des erreurs. Apprenons à être indulgent avec nous-même , à nous parler comme nous parlerions à notre meilleur ami ou à notre enfant.

Nous avons tous nos propres limites, alors apprenons à les connaître, à les accepter et à les faire respecter.

Pardonnons-nous nos supposés défauts, erreurs, manquements, bêtises…Tout cela est derrière nous et le plus important est d’aller de l’avant en faisant son maximum.

Si un souvenir nous tracasse tout particulièrement, un moyen de prendre la distance consiste à revivre la scène mais en s’imaginant la regarder dans un écran de télé , comme s’il s’agissait d’un film. On se repasse la scène, encore et encore, jusqu’à ce que la charge émotionnelle diminue.

Comment lâcher-prise : évacuer ses émotions

Parfois, quand on n’arrive pas à lâcher prise, c’est qu’on a un trop plein d’émotions à l’intérieur et qu’on a besoin de les exprimer et de les évacuer.

Si vous êtes en colère contre quelqu’un ou contre quelque chose (votre anxiété par exemple), pourquoi ne pas écrire une lettre de ressentiment ? Écrivez tout ce qui vous vient. Puis brûlez ou jetez cette lettre. C’est un exercice de libération très puissant.

Pour évacuer son stress , on peut faire du sport, un sport qui défoule par exemple de la boxe, du running…

Ou on peut également choisir de se détendre , en faisant du yoga, de la relaxation ou des exercices de respiration. En se relaxant ainsi, on s’entraîne également à s’ouvrir à la vie.

Comment faire pour lâcher-prise : vivre l’instant présent

C’est un concept dont je parle beaucoup sur ce blog, mais vivre le moment présent peut vraiment nous aider à lâcher-prise.

Attention il ne s’agit pas de ne rien prévoir à l’avance ou de ne pas s’organiser du tout.

Mais plus simplement de reconnaître que notre passé est terminé et ne peut être plus modifié, mais également que le futur ne s’est pas encore produit et qu’il n’existe pour l’instant que dans notre tête et nos scénarios catastrophes.

Notre vie se déroule dans le présent, dans ce moment, ce seul et unique moment.

La vie, c’est ce qui vous arrive pendant que vous êtes en train de faire d’autres projets. John Lennon

Ce n’est pas si simple d’apprendre à vivre l’instant présent et quelques exercices peuvent nous aider :

  • faire une pause , observer sa respiration
  • Faire régulièrement l’exercice 5-4-3-2-1 : nommer 5 choses que l’on voit, 4 sons que l’on entend, 3 choses que l’on peut toucher, 2 odeurs que l’on sent et 1 chose que l’on goûte. L’idée c’est vraiment de redécouvrir tous ces éléments come si on ne les avait jamais vus/entendus/touchés/sentis/goûtés.
  • observer vos animaux de compagnie si vous avez la chance d’en avoir : ils vivent essentiellement dans le présent. Ils ont beaucoup à nous apprendre sur ce point.
  • méditer évidemment. Cela fait peur à beaucoup mais c’est si efficace et cela apporte tellement de bienfaits : moins de stress, meilleure immunité, capacité à prendre du recul…
  • marcher en pleine conscience , c’est à dire marcher en se concentrant et en ressentant bien chaque pas que l’on fait
  • prendre un bain ou une douche en pleine conscience , ressentir pleinement l’eau couler sur nous, les odeurs, les sons…

Si vous souhaitez approfondir ce sujet de la pleine conscience, je vous conseille les livres Le pouvoir du moment présent et On est foutu, on pense trop !

Changer sa façon de penser

Quand une situation nous dérange, on peut s’arrêter quelques instants et se poser plusieurs questions pour dédramatiser et prendre du recul :

  • Est-ce vraiment aussi grave que je le pense ?
  • Quel est le pire qui pourrait arriver ?
  • Si le pire se produisait, que pourrais je faire ?
  • Quelle est la probabilité que le pire se produise ? S’est il déjà produit ?
  • Y penserai toujours dans 5 ans ? Dans 10 ans ?

Un point très important : les situations sont neutres, c’est à dire que ce sont pas les situations qui nous rendent malheureux, mais notre interprétation de ces situations.

Il n’y a rien de bon ou de mauvais, mais penser le transforme en l’un ou l’autre. Jallet

Même si une personne nous dit quelque chose de blessant, c’est nous au final qui choisissons d’être blessé. On peut aussi choisir de n’en avoir rien à faire.

Personne ne peut me blesser sans ma permission. Ce que vous ressentez et la manière dont vous réagissez aux événements ne dépend que de vous. Gandhi

Au lieu de juger sans cesse les situations (c’est bien/c’est pas bien), essayons plutôt de chercher des solutions, si elles existent, pour devenir créateur de sa vie, et non plus spectateur.

Conseil pour réussir à lâcher prise : Etre patient

Enfin voici mon dernier conseil : soyez patient.

Le lâcher prise ne se fait pas en un claquement de doigts. C’est un processus de développement personnel, un processus de changement profond. Mais cela vaut le coup !

Conclusion comment faire pour lâcher-prise ?

Vous avez du mal à lâcher prise et à accepter les choses qui se produisent dans votre vie et notamment l’anxiété. Vous êtes frustré car tout le monde vous dit de lâcher prise mais personne ne vous explique comment. Heureusement je vous ai donné quelques pistes dans cet article. Choisissez un ou deux conseils, et essayez. Si ça ne marche pas, persévérez et attendez un peu, ou choisissez autre chose.

Nous voulons contrôler tous les paramètres de notre vie, même ceux sur lesquels nous n’avons aucune influence. Le lâcher-prise est l’exact opposé du contrôle.

Il faut avoir confiance en soi et en la vie. Il y a des choses que l’on ne peut pas contrôler et c’est ainsi.

La méditation et la pleine conscience sont idéales pour apprendre à lâcher-prise.

Lâcher-prise c’est arrêter de vouloir tout contrôler et accepter que certaines choses soient en dehors de notre contrôle et de notre influence. C’est accepter cela pour pouvoir avancer dans notre vie.

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10 réflexions sur “comment faire pour enfin lâcher prise ”.

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Bonjour Delphine et bravo encore pour ce superbe article. il est très complet, comme toujours 🙂 , et détaille bien les subtilités du lâcher prise.

Tu as raison, ce n’est vraiment pas évident à mettre en place, je m’en rend compte aujourd’hui avec 10 ans de « combat » contre mes crises d’angoisses et mes tag. Je suis dorénavant bcp plus dans cette démarche d’acceptation, d’arrêter de tout vouloir contrôler et surtout « Accepter d’être anxieux ».

Je voudrais rebondir sur un phénomène lié à mon acceptation (je ne sais pas si c’est valable pour les autres). Qd je suis à l’écoute de mes émotions, que je les laisses passer, très souvent des pensées anxieuses apparaissent. Tout ce que je projette de faire devienne difficiles et une peur m’envahie. Des fois j’ai l’impression que si je reste dans cet état, rien évolue (tous mes projets sont perçus comme « négatif »). Des fois j’arrive à me donner un gros coup de pied aux fesses et me reboost pour aller de l’avant en me disant « tu vas y arriver », « tu restes maître de ce que tu as envie de faire »…. Et souvent, qd je suis dans cet aspect de positivisme, mon anxiété diminue et j’ai l’impression de trouver de la force dedans. Est ce opposable au lâcher prise? de ne pas accepter de voir tout en noir?

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Merci pour ton commentaire Florian. Pour répondre à ta question, non pour moi ce n’est pas forcément opposable. Après as tu essayé de prendre du recul par rapport à ce négatif, de te dire « ok là je vois tout en noir, merci cerveau » ?

En fait, avec du recul, je pense qu’il faut se dire que nos pensées qui accompagnent nos angoisses ne sont pas « rééls ». Notre corps est angoissé alors notre tête en cherche les raisons et voit tout en noir. J’ai décidé du coup de ne plus vouloir « maîtriser mes pensées » en lâchant prise et simplement me concentrer sur l’instant présent. Cela m’évite de me retourner le cerveau, de chercher pourquoi je pense à ça comme ça…

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Un grand merci ! Tout ce qui est écrit est tellement vrai incroyable ! Ça confirme tous les conseils très sage de mon mari . Ce blog est un cadeau du ciel. J’ai la foi , une vie saine et ça m’apporte beaucoup mais ce blog ce partage avec une personne qui a vécu les mêmes choses c’est vraiment ce qu’il me Manquait . Merci beaucoup ! J’adore les citations notamment cette prière sur la sérénité !

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Bravo, article très complet, très fouillé, très pratique aussi avec des conseils, des références et des idées très pertinents. Très chouette à lire!

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bonjour effectivement très bonne analyse et article vraiment très interessant. J eme retrouve un peu dans ce que dit florian quand je me pose ce sont plutôt les idées négatives qui viennent. Pour moi, le recul et le lâcher prise sont difficiles. Je les ai intégrés compris , mais la mise en pratique n’y est pas. L’arrivée des angoisses brutales alors que ca allait me fait tout de suite recalculer dans le négatif .. un peu comme si elles se rappelaient à moi en me disant et tu as vu on est toujours là ! et à partir de ce moment la spirale négative se met en route. j’ai passé 12 ans en vivant très correctement et depuis 7 moi, non tag se rebelle : et même si il est beaucoup moins fort qu’avant je visants la perpétuelle idée que je vais refaire des crises d’angoisse très fortes, que je ne pourrai plus faire ce que j’aime, aller au boulot … cette reapparittionb brutale sans trop de raison bien que nettement moins intense me fait encore plus de mal ; je pensais que tout cela était derrière moi .. une amie médecin qui me connait de longue date et m’a vue passe par toutes les phases m’a dit ‘tu es dans la dernière étape  » la plus longue, la plus difficile car les progrès sont lents. le lâcher prise n’est pas encore acquis pour moi ! loin de là j’ai l’impression d’avoir fait le tour de tout et de ne pas y arriver .bravo pour ce temps consacré a ce problème si complexe

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Merci beaucoup. C’est très bien écrit et décrit. C’est exactement ça. Comme tout ce qui paraît simple malheureusement c’est assez compliqué mais il faut garder confiance et avancer même en boitant plutôt que de faire du sur place. Bravo Delphine.

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essayer de tout controler

Fabienne Vial

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L'obsession du controle ou comment arriver à lacher prise?

Bien qu’il soit sain d’avoir un certain niveau de contrôle sur sa vie, par exemple pour garder de bonnes habitudes ou bien de gérer vos finances, un excès de contrôle s’avère rapidement nocif. Il devient alors plus difficile de se lancer dans de nouveaux projets, ou d’être créatif lorsque vous cherchez à tout contrôler, et cela sans compter l’effet du stress sur votre santé en général.

Si vous êtes trop exigeant(e) avec vous même ou les autres, apprendre à lâcher prise peut rendre votre vie plus agréable. Vous pouvez cesser d’essayer de tout contrôler en changeant de mentalité, en apprenant à vivre avec l’imperfection et en devenant plus ouvert(e) et flexible

Avant de parler de lâcher prise, il est nécessaire de parler de son contraire :  l’attachement . Nous nous attachons souvent mentalement et émotionnellement aux choses dont nous pensons avoir besoin, ou que nous voulons.

Nous nous attachons ainsi aux gens, à des opinions, résultats, ou encore à des biens matériels. Pourquoi ? Parce que nous avons peur de les perdre et donc d’être malheureux, ou même de penser que sans eux nous ne survivrions pas.

Ici, lâcher prise signifie que  vous choisissez de ne plus ruminer sur les choses qui échappent à votre contrôle , de ne plus s’y attacher, et de vous recentrer sur celles que vous pouvez contrôler en ce moment. Cela ne signifie pas que nous allons perdre tout ce que nous essayons tant bien que mal de contrôler.

Cela veut juste dire que nous avons suffisamment confiance en nous-même pour nous en passer. Vous avez un jour vécu sans toutes ces choses, toutes ces personnes, et cela ne vous a pas manqué. Vous êtes né(e) entier et complet, sans vous préoccuper des attentes du monde ni de vos responsabilités.

Aujourd’hui, il est temps de faire le tri dans ces attentes, ces responsabilités, et d’accepter nos limites et nous débarrasser de nos peurs. 

Le premier pas pour nous libérer de cette peur de perdre ces choses et ces personnes auxquelles nous tenons, c’est de nous détendre. Parce que bien souvent, nous oublions la personne la plus importante dans notre vie : nous-même. C’est pourquoi il est important que vous commenciez à repérer les domaines dans votre vie où vous pourriez être plus détendu(e).

Repensez aux moments où vous cherchez à contrôler ce qui se passe dans votre vie. Ces moments qui vous stressent ou vous rendent la vie plus difficile.  Demandez-vous si vous pouvez réellement contrôler ces choses-là , ou bien si ce n’est qu’une illusion  , c’est très souvent le cas lorsque vous cherchez à diriger dans vos relations, en exigeant ou en manipulant certaines attitudes ou comportements chez l’autre.

Comprenez que lâcher prise signifie surtout que  vous reconnaissez ne pas être responsable de tout et de tout le monde . C’est une expérience qui vous libère, si vous vous autorisez à la vivre. Pour vous aider, examinez les raisons pour lesquelles vous ressentez le besoin d’être aux commandes. Cela peut-être lié à votre passé, si l’on vous a laissé très jeune trop de responsabilités.

Prenez également le temps de noter dans un journal ce que vous ressentez, les pensées et les croyances qui vous empêchent de lâcher prise. Soyez complètement honnête avec vous-même et écrivez ce qui vous vient. Sachez que même si vous ne pouvez pas contrôler une situation, vous pouvez quand même contrôler votre manière d’y réagir.

Repensez aux attentes que vous avez vis-à-vis de vous même , des autres, du monde en général. Si vos attentes sont très élevées, il est temps de les ramener sur terre au risque d’être souvent déçu(e.) Si vous n’êtes pas certain(e) de savoir si vos attentes sont irréalistes ou non, demandez à quelqu’un de confiance son point de vue sur la question.

Par exemple, vous pouvez espérer que votre nounou gère vos enfants de la même manière que vous, pourtant c’est assez irréaliste puisqu’elle ne pourra jamais vous remplacer parfaitement. (Et est-ce souhaitable ?). Vérifiez donc auprès des autres si vos attentes doivent être ajustées ou non.

Imaginez le pire scénario . Lorsque vous commencez à stresser vis-à-vis d’une situation ou d’un événement, prenez du recul en vous demandant quel est le pire résultat qui pourrait se produire, et si vous pourriez le supporter. Vous réaliserez probablement que le monde ne s’écroulera pas, même si vous ne contrôlez pas ce qui pourrait arriver.

Par exemple, vous pourriez être inquiet d’être perdu dans votre nouvel emploi, le pire scénario serait de faire une erreur ou d’être obligé de demander de l’aide, ce qui dans les deux cas n’est pas une catastrophe.

Maintenant prenez du recul et  imaginez si dans deux, trois, ou cinq ans cette situation aura encore de l’importance . Imaginez les futures opportunités qui vous attendent, et comment elles pourraient jaillir dans votre vie.

Repensez aussi aux choses qui vous ont déçu par le passé, comment avez-vous réussi à tourner la page ? Tout cela vous aidera à garder une vision d’ensemble et ne plus vous débattre dans toutes les situations qui échappent à votre contrôle.

Utilisez des affirmations  que vous répéterez chaque fois qu’une situation où vous avez du mal à lâcher prise apparaîtra. Par exemple : “Je lâche prise et cela me libère” ou bien “J’ai décidé de lâcher prise et tout va bien”. Vous pouvez les écrire sur des post-it et les accrocher un peu partout, ou bien vous programmer des alarmes régulièrement sur votre téléphone avec ces phrases.

Vous pouvez également couper le lien avec cette chose ou personne dont vous aimeriez lâcher prise, à l’aide d’un rituel. Cela peut être  les bonhommes allumettes ou bien une cérémonie particulière.

Par exemple, en notant sur un papier toutes vos pensées et émotions liées à cette personne ou choses, puis en déchirant ou en brûlant le papier. Vous pouvez aussi vous débarrasser de certains objets qui vous rappellent cette mauvaise expérience passée.

Vos pensées ne définissent pas ce que vous valez et vous n’êtes pas la somme de vos expériences passées. Ce n’est pas parce que quelque chose n’a pas fonctionné que vous êtes un(e) “incapable” ou que vous n’aurez jamais ce vous voudrez dans la vie. L’important est de ne pas laisser toute la place à vos pensées.

Prenez l’habitude de vous recentrer sur le moment présent . Vous n’avez pas besoin de juger de ce qui s’est passé, ou de vous inquiéter de ce qui se passera à l’avenir. Lorsque vous acceptez le moment présent sans attente ni jugement, vous remarquerez à quel point il est bénéfique de ne pas avoir à tout contrôler.

Si vous remarquez que vos pensées deviennent négatives ou que vous vous attachez trop à quelque chose, demandez-vous : “Qu’est-ce que je ressens en ce moment ?”. Observez vos pensées, émotions et sensations corporelles. Observez-les sans y réagir ni interagir avec. Après une minute ou deux,  concentrez-vous sur votre respiration .

Remarquez cette sensation de l’air qui entre dans vos poumons et qui en ressort. Continuez à respirer en laissant les émotions et les pensées arriver sans vous y attarder, laissez la respiration vous guider. Cet exercice peut être difficile (ou frustrant) à faire au début, c’est normal, plus vous le pratiquerez et plus cela deviendra simple pour vous.

Vous pouvez également regarder une image apaisante quelques instants, ou bien suivre un décompte de 100 jusqu’à 0 en descendant de 7 en 7. Ou encore choisir une couleur au hasard et chercher tous les objets de la pièce de la même couleur. Tout cela vous aidera à vous libérer de vos pensées parasites et à vous recentrer sur le moment présent.

Lorsque vous vivez cet état de pleine conscience,  vous êtes capable de reconnaître vos envies de contrôle  en sachant d’où elles proviennent, et de pouvoir les ignorer. La méditation vous aidera également à être plus conscient(e) au quotidien.

Visez le progrès, pas la perfection . Oubliez l’idée d’atteindre la perfection lorsque vous cherchez à avancer dans vos objectifs ou à construire une nouvelle habitude. À la place, faites en sorte de faire des progrès régulièrement. Continuez à vous améliorer progressivement, soyez patient(e) avec vous-même, ce n’est pas grave de faire des erreurs.

Cela fonctionne aussi si vous travaillez avec d’autres personnes. Parfois nous sommes frustrés des défauts d’autrui, mais il serait plus intéressant de se concentrer sur ce qu’ils pourraient améliorer, plutôt qu’à faire le compte de leurs erreurs.  Appréciez les efforts des autres . Lorsque vous êtes reconnaissant(e) pour ce que les autres font, vous êtes moins porté(e) à les critiquer ou à les contrôler. Ignorez leurs erreurs dès que vous le pouvez, et concentrez-vous sur leurs bonnes idées, leurs efforts et leurs qualités.

N’oubliez pas bien sûr de vous féliciter également . Prenez un petit temps dans la journée ou dans la semaine pour lister les bonnes décisions que vous avez prises, et les petites réussites que vous avez accomplies.

Priorisez . Ne vous dissipez pas en essayant de tout faire parfaitement. Décidez plutôt des tâches sur lesquelles vous avez réellement besoin de garder un contrôle, et de celles qui ne demandent pas d’y allouer autant d’efforts.  Utilisez votre énergie dans les  taches importantes d’abord , et ne vous inquiétez pas pour le reste.

Par exemple, vous avez besoin d’aide avec les tâches ménagères parce que vous avez un travail important à rendre sous peu. Vous aurez alors à prioriser votre travail et assouplir votre idéal d’une maison “propre”. Ou bien, vous devriez accepter de laisser quelqu’un d’autre faire le ménage, même si ses efforts seront différents des vôtres.

Comprenez que  lâcher prise signifie aussi accepter le changement . Si vous êtes obsédé(e) par l’idée d’un résultat spécifique, il devient très difficile de lâcher prise. Souvent en nous accrochant à notre vision idéale des choses, nous passons à côté de plein d’occasions bénéfiques pour nous.

Oui, cette personne ne vous a pas rappelé, votre emploi idéal vous a filé sous le nez, cette opportunité s’est évaporée, mais vous oubliez qu’il n’y a pas qu’une seule personne sur terre, que d’autres emplois existent et que les opportunités vont et viennent.

Fréquemment nous nous enfermons dans un monde où toutes les ressources (personnes, emplois, opportunités) seraient rares et temporaires. Ce n’est pas le cas dans la réalité.  Nous vivons dans un monde d’abondance , dans lequel il y a suffisamment de place pour répondre aux besoins de tout le monde.

Cela implique quelque chose d’important :  vous devez vous concentrer sur vos besoins plutôt que vos désirs et idéaux . Il est facile de se mettre en colère lorsque la situation ne se passe pas comme prévue, mais un désaccord ou un imprévu ne sont pas la fin du monde.

Peut-être que vous attendiez d’une personne qu’elle s’excuse, et que pour vous c’est la seule manière de tourner la page, pourtant ce n’est pas nécessaire. Vous pouvez également décider de laisser tomber cette relation et de passer à autre chose, aussi frustrant que cela puisse être. Vous obtiendrez ce dont vous avez besoin : la paix. Apprendre à pardonner peut aussi vous y aider.

Devenez plus flexible . Acceptez que parfois les choses ne se passent pas comme prévu, peu importe à quel point vous vous y préparez. Lorsque quelque chose ne va pas, prenez une profonde respiration, puis faites de votre mieux pour gérer la situation, et passez à autre chose. Tentez de trouver des points positifs à cette situation imprévue.

Ayez confiance . Soyez plus ouvert(e) à la bienveillance des autres, du monde et en vous-même. Renforcez votre confiance dans votre capacité à gérer l’inconnu. Comprenez que la plupart des situations finiront par s’arranger, même si elles se déroulent pas de la manière dont vous l’attendiez.

Commencez à accorder aux gens le bénéfice du doute . Ouvrez votre cœur en leur donnant la possibilité de vous faire plaisir, plutôt que d’être dans la perspective qu’ils vous décevront forcément. Ne restez pas isolé(e) et partagez avec les autres ce qui vous pèse de temps à autre. Même si vous ne connaissez personne pour vous soutenir, vous pouvez en parler à des personnes que vous ne connaissez pas (des groupes en ligne par exemple).

Apprenez à être plus spontané(e) . Prenez plaisir à voir où chaque jour vous mène. Permettez-vous de dévier de votre routine de temps à autre. Essayez différentes choses, dites oui à de nouvelles opportunités et lancez-vous des défis lorsque vous en avez l’occasion.

Vous pouvez accorder plus de place à la spontanéité en prévoyant… De ne pas planifier. Faites une promenade sans destination en tête ou libérez-vous un après-midi de temps en temps pour faire ce que vous voulez. Le perfectionnisme peut prendre tout votre temps. En apprenant à être plus spontané(e), vous pourrez vous réapproprier votre temps.

Laissez les autres prendre le relai . Si la tâche à accomplir n’est pas d’une importance capitale, demandez à quelqu’un d’autre de le faire. Déléguer peut être effrayant si vous avez l’habitude de tout faire par vous-même, mais une fois que vous remarquerez que les autres sont aussi capables d’accomplir leurs tâches correctement vous vous sentirez moins contraint(e) de vous occuper de tout par vous-même.

Par exemple, vous pourriez demander à vos enfants d’accomplir certaines tâches ménagères, ou de déléguer à un collègue une part du projet à réaliser. Lorsque vous donnez une tâche à quelqu’un, ne succombez pas à l’envie de micro-manager la manière de faire son travail.  Laissez lui l’opportunité de faire les choses à sa manière , même si la méthode employée est différente de la vôtre. Rappelez-vous de remercier chaque personne pour ses efforts.

Même si le travail n’est pas fait de la façon dont vous l’auriez imaginé, complimentez cette personne pour ce qu’elle a fait de bien et évitez de la critiquer. Faites preuve de compassion en vous mettant à la place des autres, imaginez qu’on vous dise ce que vous vous apprêtez à leur dire. Si vos anciennes habitudes remontent,  occupez votre esprit avec une autre tâche , fermez vos yeux quelques minutes ou détournez-vous de la situation.

Inventée par l’auteur américain Hale Dwoskin, la méthode Sedona est un outil puissant pour lâcher prise. Elle est basée sur le principe que nous nous identifions à tort à nos ressentis ou à nos croyances limitantes.

Ainsi nous disons “je suis énervé”, “je suis nul” au lieu de “je me sens en colère”, “j’ai fait une erreur” et c’est précisément ce qui nous empêche de nous libérer de nos émotions, de nos limites. Elle est conçue en 5 étapes :

  • Repensez mentalement à une situation où vous n’arrivez pas à lâcher prise  et laissez l’émotion s’installer en vous. Il n’y a rien à faire ni à penser, seulement à laisser cette émotion se diffuser en vous.
  • Choisissez la question qui résonne le plus en vous parmi ces 3 questions :  Puis-je laisser cette émotion partir ? Puis-je permettre à cette émotion d’être présente ? Puis-je accueillir cette émotion ?  Vous pouvez répondre par “oui” ou “non”, cela n’a pas d’importance pour la suite. Ne cherchez pas à analyser ou juger votre choix.
  • Posez-vous la question :  Est-ce que je voudrais la laisser s’en aller ?  Si la réponse est “non”, demandez-vous : Est-ce que je préfère garder cette émotion, ou est-ce que je préfère en être libéré ? Même si la réponse est encore “non”, allez à l’étape 4.
  • Demandez-vous :  Quand voudrais-je lâcher prise ?  C’est une invitation à lâcher prise dès maintenant. C’est un choix que vous pouvez faire n’importe quand.
  • Répétez les 4 étapes précédentes   autant de fois que nécessaire  jusqu’à ce que vous soyez libéré(e) de cette émotion particulière.

Vous remarquerez qu’au début les résultats seront peut-être subtils, mais si vous persévérez alors vous réussirez rapidement à vous détacher de ces émotions qui vous limitent.

Pour finir, vous devez savoir  qu’il n’est pas possible de lâcher prise sur tout et d’un seul coup . Le lâcher prise est tout un apprentissage, commencez déjà par une ou deux petites situations où vous n’arrivez pas à relâcher votre contrôle, puis progressez à partir de là.

Intégrez le fait que nous n’avons réellement de contrôle que sur nous-même et nos actions, pas sur celles des autres. Croire le contraire est une perte de temps et d’énergie. Vous n’avez pas besoin de tout faire pour les autres pour qu’ils vous apprécient, ni de vous placer en victime Vous avez quelque chose de plus précieux que toutes ces choses auxquelles vous vous attachez aujourd’hui :  vous-même .

Reconnaitre la depression

Angoisses archaiques

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essayer de tout controler

Naviguer dans la tempete anxieuse  , voilà ce que je vous propose dans mon guide de gestion de l'anxiété , afin que vous puissiez trouver la paix intérieure.

Fabienne Vial

Fabienne Vial est psychologue clinicienne depuis 25 ans. Elle vous reçoit dans son cabinet à Allauch pour tout problème  que vous rencontrez et pour lequel vous estimez avoir besoin d 'aide :

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essayer de tout controler

Vouloir tout contrôler : un véritable frein au développement personnel

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vouloir tout controler

Vouloir tout contrôler — tout ce qui se passe dans la vie — est commun à de nombreuses personnes. Et pour cause, ce besoin constitue un mécanisme de survie pour nous les êtres humains. Nous pensons à tort que si nous avons une maîtrise absolue sur chaque situation, rien de mal ne peut arriver et nous ne serons pas blessés. En réalité, cependant, notre pouvoir est limité. La majorité des événements qui se produisent échappent tout simplement notre contrôle. Et lorsque nous sommes confrontés à un tel événement, nous n’avons aucune idée de ce qu’il faut faire. Cela provoque des pensées houleuses sur ce que nous aurions pu faire différemment pour éviter ce résultat. Les « et si » suffisent pourtant pour nous rendre fous. C’est principalement la raison pour laquelle il s’avère essentiel de se défaire de cette habitude.

  • 1.1 Vouloir tout contrôler : l’envers du décor
  • 2.1 Déterminez la cause
  • 2.2 Faites la différence entre la rumination et la résolution de problème
  • 2.3 Pratiquez l’acceptation et la compassion envers vous-même

Vouloir tout contrôler : pourquoi arrêter de le faire ?

Tout d’abord, nous devons comprendre que l’idée d’avoir la capacité de contrôler les autres ou notre environnement est une pure illusion. Il s’agit d’une vérité que beaucoup d’entre nous refusent de croire. Toutefois, il est très peu probable de disposer réellement d’un pouvoir pour influencer ou diriger tout et n’importe quoi. Nous n’avons certainement pas l’aptitude de changer le cours des choses constamment. En effet, comment pouvons-nous contrôler notre environnement ? Le milieu dans lequel nous nous trouvons — que ce soit au bureau, à la maison, en collocation, etc. — est composé d’autres personnes.

Chacune d’entre elles a une éducation unique, des valeurs distinctes, des opinions ou des façons de travailler différentes. De ce point de vue, vouloir tout contrôler est tout simplement irréaliste. De plus, nous savons que nous ne pouvons pas maîtriser des choses comme le temps, ou l’inévitabilité de la mort, ou si un avion est retardé… Pareillement, nous n’aimons pas quand quelqu’un essaie de nous dicter nos actes avec des phrases comme : « Vous devriez plutôt faire cela, ce serait mieux ». Alors, pourquoi toujours vouloir tout contrôler ?

Vouloir tout contrôler : l’envers du décor

Plusieurs raisons peuvent être à l’origine de notre envie de vouloir tout contrôler. Parfois, elles sont difficiles à comprendre. Elle peut notamment être causée par :

  • Une mauvaise estime de soi ;
  • Une expérience passée traumatisante ;
  • Un besoin de se sentir en sécurité ;
  • Un complexe de supériorité ou d’ infériorité ;
  • Un sentiment d’abandon ;
  • Une jalousie et une possessivité excessives, etc.

Quoi qu’il en soit, ces facteurs nous poussent souvent à réagir de façon à nous protéger. Un comportement qui détruit nos relations avec les autres puisqu’il fait de nous une personne toxique qui entrave leur liberté. Cela nous amène effectivement à prendre des décisions basées sur les hormones de stress qui sont libérées dans notre corps. Plus souvent que l’on croit, cela nous donne envie d’en vouloir plus, d’en faire plus, de faire tout par nous-mêmes au lieu de déléguer quand cela est possible.

Vouloir tout contrôler : la confiance rapporte plus que le contrôle

Beaucoup de gens qui ont une envie excessive de vouloir tout contrôler ont besoin de travailler sur leur estime de soi . En effet, il se peut que ce désir découle d’une l’impression que les gens ne vous aimeraient pas ou ne passeraient pas du temps avec vous autrement. Un sentiment d’indignation, de haine de soi , qui nous laisse croire que si les autres peuvent faire ce qu’ils veulent, ils peuvent se rendre compte qu’ils ne vous aiment pas. Pour pouvoir avancer, cependant, il est primordial d’arrêter ce genre de réflexion.

Prenez conscience que vous êtes une personne extraordinaire et digne qui a juste besoin de se détendre un peu. Parlez à un thérapeute ou à un ami proche de vos problèmes de confiance en soi, de votre anxiété sociale, de votre peur du jugement ou de toute autre cause sous-jacente. Cela peut vous aider à aller à la racine qui vous empêche de lâcher prise . De même, adoptez quelques bonnes habitudes pour vous aider à ne plus vouloir tout contrôler.

Déterminez la cause

Vous pensez peut-être que votre stress est le résultat de vos efforts pour garder le contrôle de la situation. Toutefois, ce sont en fait des émotions néfastes qui motivent votre comportement et qui sont à l’origine de votre anxiété. Afin de changer cela, vous devez identifier l’émotion avec laquelle vous luttez. À savoir :

  • La tristesse
  • La jalousie

Habituellement, il s’agit de la peur. Vouloir tout contrôler est un besoin humain fondamental. Et lorsque la vie vous montre que vous ne pouvez pas tout contrôler, cela vous rend craintif et inconfortable. Ensuite, pour vous sentir mieux, vous essayez de contrôler tout ce qui vous entoure. Même les choses qui n’ont rien à voir avec la partie de votre vie qui vous a fait vous sentir mal au début.

Faites la différence entre la rumination et la résolution de problème

Reproduire les conversations dans votre tête ou imaginer des résultats catastrophiques encore et encore est inutile. Par contre, résoudre le problème l’est. Alors, demandez-vous si votre réflexion est productive. Si vous résolvez activement un problème, par exemple en essayant de trouver des moyens d’augmenter vos chances de succès, continuez sur cette direction. Si, en revanche, vous perdez votre temps à ruminer mentalement , changez de canal dans votre cerveau. Reconnaissez que le fait de vouloir tout contrôler n’est pas productif et agissez en conséquence.

Plutôt que de vous rabattre sur le contrôle comme un moyen de défense contre l’incertitude, apprenez tout ce que vous pouvez sur la peur qui vous pousse à faire de la microgestion. Vous pourriez essayer de lire des livres sur la façon de se laisser aller . La connaissance est le pouvoir et, à mesure que vous serez mieux informé, vous serez mieux armé pour identifier vos comportements d’autosabotage et de les remplacer par des habitudes plus saines.

Pratiquez l’acceptation et la compassion envers vous-même

Il peut être difficile de changer, car n’oubliez pas que vous vouloir tout contrôler constitue un moyen pour éviter de ressentir une émotion pénible. Cependant, le moment est arrivé d’être plus indulgent avec vous-même et de parler de ces sentiments avec compassion et acceptation de soi . À chaque fois que vous doutez, dites-vous : « Je peux gérer ça ». Lâcher prise est difficile, mais cela vous aidera à vous sentir moins stressé. Inspirez profondément et affirmez : « Tout est », et en expirant, « comme ça devrait être ».

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essayer de tout controler

Vouloir tout contrôler est un trait de caractère que l’on retrouve chez les personnes anxieuses, celles qui cogitent sans cesse ou qui ne savent pas rester en place. Cette attitude provoque bien souvent un mal-être. Si c’est votre cas, il est temps d’agir.

Tenter de tout maîtriser, que ce soit au travail ou à la maison, est épuisant. Cela génère du stress, de l’hyperactivité et un oubli de soi. Le plus simple serait donc de mettre le bouton sur off pour certaines tâches, mais c’est évidemment plus facile à écrire qu’à mettre en place. Soline d’Udekem , psychologue clinicienne à Nivelles, nous livre ses conseils pour lâcher prise à temps.

Lâcher prise en 3 étapes

Plusieurs pistes existent pour lâcher du lest, mais tout dépend du niveau de contrôle de la personne, de l’envergure de ce dernier, et de pourquoi il est exercé.

1. Reconnaître le souci

“La moitié du travail est fait si la personne constate qu’elle est dans une situation de contrôle permanent. Le reconnaître est une grande étape”. C’est donc la personne qui doit remarquer qu’elle veut tout gérer car “si c’est son entourage qui l’en alerte, cela n’aura pas de réel impact”, précise la psychologue.

2. Identifier ce besoin de contrôle

Il est important de définir dans quel domaine ce contrôle survient: au niveau amoureux, professionnel, amical? “Quelqu’un peut avoir cette attitude au boulot, mais pas avec ses proches. Et inversement. Elle peut aussi vouloir tout contrôler avec ses enfants par exemple, mais pas avec toute la sphère familiale”. Cette identification est à prendre en considération, car si l’on fait un focus sur les enfants, par exemple, cela peut leur porter préjudice. “Ils doivent apprendre d’eux-mêmes, il ne faut pas tout faire à leur place”, rappelle Soline d’Udekem.

3. Mettre en place un planning

Si la situation est pesante pour la personne qui veut tout gérer, le premier outil à mettre en place est le calendrier. Il indique la tâche que chacun doit exécuter et quand. “Ce planning fonctionne aussi bien dans la sphère familiale que dans le milieu professionnel. Chacun sait ce qu’il a à faire et quand, ce qui laisse des moments libres à la personne qui gérait tout en permanence. Il est important de respecter ce planning, de ne pas interférer dans les tâches des autres et d’accepter qu’elles soient réalisées différemment”.

Pourquoi j’ai besoin de tout contrôler?

Les personnes qui aiment avoir le contrôle sont de type anxieux. “Elles cherchent à bien faire, à plaire ou ne sont pas prêtes à être prises au dépourvu”, avance la psy. “Celles qui ne veulent pas décevoir doivent apprendre à être indulgentes avec elles-mêmes et à se dire qu’elles ont le droit à l’erreur. Pour celles qui aiment tout diriger, le but est d’apprendre à déléguer via un agenda, par exemple”. Dans tous les cas, il faudra s’appuyer sur des personnes-ressources.

Des effets néfastes pour tous

Les conséquences sont importantes. Pour soi: ces profils ont tendance à s’oublier et à ne pas prendre de temps pour elles. Mais aussi pour l’entourage: “Au sein d’une famille, si un parent a ce trait de caractère, l’autre aura du mal à s’impliquer”… Et sans place à prendre, vient la frustration. “C’est pareil pour les enfants, ils ont peut-être envie de cuisiner, mais on les en empêche car la recette ne sera sans doute pas respectée au milligramme”. Et de préciser: “Souvent, la personne qui ne sait pas lâcher prise a de bons sentiments: elle veut faire plaisir, ne pas surcharger l’autre… Mais tout ce contrôle peut mener à un burn-out familial ou professionnel”.

Je consulte ou pas?

Si la personne se sent bien et ne considère par ce trait de caractère comme néfaste, alors il n’est pas nécessaire de modifier son fonctionnement. Le changer pourrait avoir l’effet inverse: “Si elle n’est pas malheureuse face à cette situation et qu’à l’inverse, ça lui coûterait trop de se délester de certaines tâches, ce n’est pas grave de ne rien changer”, indique Soline d’Udekem.

Pour le savoir, il faut se poser les bonnes questions et analyser quels sentiments se cachent derrière ce besoin de contrôle:

  • Quelles sont les émotions que je ressens quand je contrôle?
  • Qu’est-ce que je gagne à tout contrôler?
  • Qu’est-ce que je perds?
  • Est-ce que je suis épanouie?
  • Comment se sent mon entourage?

Si après avoir répondu aux questions ci-dessus, vous prenez conscience de votre stress, “il est bon de se tourner vers la méditation, le yoga, la pleine conscience et de se faire aider par un psychologue. Et surtout, de prendre du temps pour soi, même via des choses simples: décider de prendre un bain le dimanche matin et de profiter seule”. Prudence, quand le besoin de tout contrôler est trop grand, il peut devenir un TOC (trouble obsessionnel compulsif): “La personne a besoin de tout gérer car c’est la seule chose qui la rassure”.

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Obsession du contrôle et besoin de tout contrôler : que faire ?

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique) Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

Avertissement : Si vous avez des questions ou des préoccupations médicales, veuillez en parler à votre médecin. Même si les articles sur ce site se basent sur des études scientifiques, ils ne remplacent pas un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement.

Obsession du contrôle et besoin de tout contrôler : que faire ?

  • 1.1 Une réaction de défense
  • 1.2 Un besoin d’amour
  • 1.3 Un manque de confiance en soi
  • 2 Quelles sont les conséquences de ce besoin de tout contrôler ?
  • 3.1 Arrêter de dire OUI à tout
  • 3.2 Apprendre à se relaxer
  • 3.3 Être bienveillant envers soi-même
  • 3.4 Rester soi-même et apprendre à relativiser les situations

Dans cet univers fondé sur la performance et le matérialisme, où les choses ou les événements deviennent de plus en plus imprévisibles, certaines personnes estiment que la seule façon d’avoir la mainmise sur leur vie est de tout contrôler.

La programmation du temps, l’organisation du quotidien, les finances, les liens affectifs, les activités familiales, tout est contrôlé dans les moindres détails.

Elles cherchent également à avoir un contrôle absolu sur leurs émotions pour ainsi parvenir à retenir leurs larmes, à maîtriser leur désir et à éviter les démonstrations d’affection.

Parfois, cette obsession de vouloir tout contrôler peut se montrer néfaste et engendrer des problèmes que ce soit sur le plan personnel ou professionnel.

Mais, quelles sont les raisons qui expliquent cette obsession et comment s’en débarrasser ?

Vous trouverez des éléments de réponse dans cet article !

Quelles sont les raisons qui expliquent l’obsession de toujours vouloir tout contrôler ?

Au travail tout comme à la maison, aucun détail n’échappe à la vigilance des personnes obsédées par le contrôle de tout.

Selon elles, il est impératif de s’occuper de tout, de prévoir tout dans les moindres détails.

Ainsi, de leur carrière aux vacances sans oublier les différents repas du quotidien, ces personnes ne désirent avoir aucun contretemps, aucune surprise, aucun retard.

Généralement, ce comportement cache de nombreuses raisons profondes.

Il peut s’agir d’une réaction de défense, d’un besoin d’amour, d’un manque de confiance en soi, d’un sentiment d’inquiétude ou encore de la peur d’être déçu ou d’être jugé.

Une réaction de défense

Encore appelée « self-control », l’obsession de vouloir toujours tout contrôler se présente comme une réaction de défense qui pousse à agir sur les choses ou les situations pour ne pas les subir.

Cette réaction qui peut parfois être excessive les rend quand même confiantes dans tout ce qu’elles font.

Un besoin d’amour

Les personnes qui cherchent toujours à avoir le contrôle sur tout ont le plus souvent tendance à dissimuler leurs émotions.

Néanmoins, leur comportement témoigne d’un besoin d’amour que la plupart d’entre elles ressentent en permanence.

Derrière ce besoin de toujours bien faire et d’en faire des tonnes est caché le besoin d’être aimé, de faire plaisir aux autres, de se sentir très apprécié et d’être reconnu pour avoir fait des choses utiles ainsi que procurer de la satisfaction à leur entourage.

Un manque de confiance en soi

La plupart de ceux qui sont obsédés par le contrôle de tout ont peur de l’échec.

Elles sont obsédées par la crainte de décevoir leur entourage, de ne pas être à la hauteur ou de ne pas y arriver.

Elles manquent de confiance en elles-mêmes et pensent qu’en prenant le contrôle de tout, elles pourront réduire leur chance de souffrir et augmenter ainsi le taux de réussite de tous leurs plans.

Lorsqu’elles réussissent, elles se sentent soulagées, mais dans le cas contraire, elles vivent énormément de stress, de frustration et passent le reste de leur temps en colère.

Mais malheureusement dans ce monde, rien ne se déroule presque jamais comme prévu.

Retenez que le perfectionnisme peut tout aussi engendrer ce besoin de contrôle.

Toutefois, il s’agit d’un perfectionnisme paralysant parce que rien dans la vie ne se passe comme nous le souhaitons.

Quelles sont les conséquences de ce besoin de tout contrôler ?

Le self-control peut avoir d’importantes conséquences fâcheuses ou des risques non seulement sur la santé, mais aussi sur les relations familiales et professionnelles de toutes ces personnes qui manifestent de façon permanente ce besoin.

Ces personnes peuvent facilement paniquer si une situation ne se déroule pas comme elle le devrait.

Elles vivent dans un état de stress et de déception permanent qui se traduit par des énervements, par le sentiment d’un mal-être excessif voire une crise d’angoisse dans la majorité des cas.

Parfois, ce besoin d’avoir la mainmise sur tout peut s’apparenter à des Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC).

Ce même besoin peut être à l’origine de nombreux divorces lorsque l’un des conjoints devient obsédé par le perfectionnisme.

Il s’avère donc très important de venir en aide à ce genre de personnes.

Que faire en cas d’obsession ou de besoin de tout contrôler ?

La vraie solution qui peut vous permettre de vous débarrasser de cette obsession est de « lâcher prise ».

Cette technique permet de vous détacher de tout ce qui n’a pas d’importance dans votre vie, tout ce qui vous fait souffrir ou encore tout ce qui vous empêche d’aller de l’avant.

Elle consiste avant tout à vous faire changer d’habitude, vous faire regagner la confiance en vous et vous amène à abandonner ce désir de tout contrôler ou de toujours avoir raison.

Voici ci-dessous quelques exercices pouvant vous permettre de lâcher prise.

Arrêter de dire OUI à tout

Il est primordial que vous vous forciez à vous écouter, à prendre soin de vous et surtout à penser à vous-même.

Vous devez apprendre à dire NON devant certaines situations.

Cela vous permettra de mieux vous ressourcer et de mieux vous concentrer sur vous-même.

Apprendre à se relaxer

Certaines techniques de relaxation se montrent très efficaces pour vous permettre de mieux prendre du recul.

N’hésitez surtout pas à pratiquer la sophrologie, la kinésiologie ainsi que la méditation de pleine conscience pour bien réussir votre lâcher prise.

La sophrologie permet de vous débarrasser de l’anxiété et du stress.

La kinésiologie est une technique de développement personnel inspirée de la médecine chinoise.

Elle permet de vous défendre contre les blocages émotionnels et de vous débarrasser des angoisses, de la peur de l’échec qui constitue la raison principale de l’obsession de contrôle.

Quant à la méditation de pleine conscience, elle permet de prendre du recul et d’apprendre à changer de comportement.

Être bienveillant envers soi-même

Pour vous débarrasser de cette obsession de contrôle, il est important de modifier votre discours intérieur au quotidien et de faire preuve de beaucoup de bienveillance envers votre propre personnel.

Vous devez essayer de remplacer vos pensées négatives ou vos inquiétudes par des pensées plutôt positives.

Rester soi-même et apprendre à relativiser les situations

Peu importe le milieu dans lequel vous êtes, peu importe, votre entourage, vous devez tout faire pour être vous-même et le demeurer en toutes circonstances.

Vos réactions et vos comportements ne doivent pas aller dans le sens des autres.

C’est un bon départ et une très bonne astuce pour mettre de côté votre désir de toujours tout contrôler.

Quoi qu’il en soit pour pouvoir lâcher prise et vous libérer de votre obsession du contrôle, vous devez impérativement vous débarrasser de votre stress.

Pour cela, n’hésitez pas à découvrir notre atelier gratuit !

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Salut, je suis Loris Vitry. Mon objectif est de vous aider à éliminer votre anxiété. Pour cela, vous devez d'abord mesurer votre niveau de stress actuel.

A propos de Loris Vitry

Loris Vitry

Après un burnout causé par trop de stress, Loris Vitry se régénère grâce aux médecines alternatives. Aujourd'hui, il est thérapeute holistique et a fondé le programme Stress.app qui a déjà aidé des milliers de personnes à retrouver leur plein potentiel.

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Besoin de toujours tout contrôler ? Test et conseils pour lâcher prise

J’ai besoin de toujours tout contrôler… c’est plus fort que moi. J’ai besoin de vérifier énormément de choses dans mon quotidien afin de tout maîtriser. Il faut aussi que je m’assure que la moindre petite tâche soit bien accomplie, en passant derrière les autres, ce qui a le don d’énerver mon compagnon… de l’exaspérer même. Je suis au stade de la petite « control freak », comme le nomme les Anglais. Le seul fait d’avoir mis un nom sur mon « obsession » m’aide à faire le tri. J’apprend maintenant à lâcher-prise, ça fait le plus grand bien. Explications…

À quel point avez-vous besoin de tout contrôler ?

Faites le test et suivez le guide pour parvenir à lâcher prise.

Je sais que je suis loin d’être la seule à vivre avec ce sentiment de devoir tout contrôler, d’être obsédée par la perfection, de dresser des listes pour organiser la vie quotidienne. Le moindre imprévu et c’est la panique qui nous gagne. Pour nous, le laisser-aller n’existe pas.

Le psychanalyste Roland Gori explique que les « control freak », terme apparu à la fin des années 60, sont avant tout :

« des gens pris dans une obsession compulsive du contrôle. »

Ce besoin de devoir tout gérer, famille, travail et même soi-même, nous sommes de plus en plus nombreu(x)ses à le ressentir. Nous devenons de véritables accro du contrôle. Le risque n’est jamais très loin de se sentir perdu(e) et de finir par exaspérer notre entourage. Avant de perdre pied, voici quelques petits conseils pour parvenir à lâcher du lest.

D’où vient se besoin de toujours tout contrôler ?

Lysiane Panighini est psychothérapeute et praticienne en relation d’aide, elle observe que :

Ce concept du « contrôle à tout prix » émerge véritablement depuis quelques décennies et prend de plus en plus d’ampleur dans la vie des gens

Au travail comme à la maison, aucun détail n’échappe à la vigilance de celui qui contrôle tout. Pour lui c’est impératif : il doit s’occuper de tout. Pour garder la main mise sur les achats, les finances, le planning, les activités, etc., le control freak dicte à son entourage le comportement qu’il doit adopter.

Ce n’est pas possible pour lui de laisser son compagnon, par exemple, choisir une pomme sur l’étal du marché, car il a peur qu’il ne prenne pas la plus belle, ou en tout cas, celle que lui aurait choisie. Tout ce qui se déroule sous ses yeux se doit d’être planifié, calculé, dirigé, remanié, pour atteindre une perfection qui, en fin de compte, n’existe pas.

Un perfectionnisme paralysant

Le control freak est perfectionniste, mais c’est un perfectionnisme paralysant, car rien n’est jamais comme il faudrait. Un sentiment de supériorité inconscient le pousse à prendre les devants, car selon lui, les autres ne savent pas gérer les imprévus.

Rien n’est laissé au hasard, tous les détails et aléas sont imaginés et pris en compte. Avoir le contrôle sur tout et tout le monde, c’est réduire nos chances de souffrir d’au moins 98%. Donc, en contrôlant notre environnement, on augmente nos chances de voir nos plans se dérouler comme prévu.

La conséquence, c’est une vie dans un état de stress et de déception permanent car les autres gardent malgré tout leur libre-arbitre, et que rien ne se passe jamais vraiment comme prévu.

Alors c’est l’énervement, un sentiment de mal-être excessif qui nous gagne. On se retrouve souvent à deux doigts de la crise d’angoisse à cause d’un tout petit détail.

La peur de l’échec

Quand un control freak réussit à contrôler, il se sent soulagé, mais « s’il n’y parvient pas, alors il vit énormément de stress, de frustration et de colère. » explique Camillo Zacchia, psychologue clinicien à l’Institut Douglas de Montréal, spécialiste du traitement des troubles anxieux.

La peur et le sentiment d’insécurité sont ses plus grands ennemis.. En s’obligeant à viser la perfection, si difficile à atteindre vu le degré d’exigence imposé, il est très souvent malheureux. Cette peur du non-contrôle dirige sa vie et, par conséquence, son entourage. Un sentiment de stress extrême qui peut également le mener à refuser de s’aventurer en terrain inconnu, où il pourrait ne pas réussir.

Angoisses, nuits blanches, insatisfactions, dévalorisations, tout prend une ampleur démesurée chez le control freak qui développe alors la phobie de perdre le contrôle. Dans les cas les plus graves, le besoin de tout contrôler est associé à des TOC, Troubles Obsessionnels Compulsifs, selon l’Institut universitaire en santé mentale de Québec.

Quand doit-on sonner l’alarme ? Réponse du psychologue

Pour Camillo Zacchia, il y a deux signes qui ne trompent pas :

quand ce besoin de tout contrôler cause une grande souffrance à la personne et l’empêche de vaquer normalement à ses activités quotidiennes. Et quand ce comportement a des conséquences néfastes sur la santé de la personne contrôlante et sur ses relations avec ses proches ou sur son travail.

Toujours tout contrôler frôle l’obsession chez vous ? Peut-être vous êtes-vous reconnus(es) dans cette description du control freak ? Pour être fixé sur la question, je vous invite à faire le petit test suivant.

TEST : êtes-vous control freak ?

Notez vos réponses 1 , 2 , 3 ou 4 sur un bout de papier libre, pour chacune des 12 questions :

Réponse 1 = Rarement ou jamais

Réponse 2 = Occasionnellement

Réponse 3 = Souvent

Réponse 4 = Très souvent

  • Vous imposez-vous beaucoup de règles personnelles, routines, rituels, vérifications ?
  • Réagissez-vous plutôt mal aux imprévus et préférez-vous tout planifier ?
  • Évitez-vous de faire des choses dans les domaines où vous n’excellez pas ?
  • Que ce soit au travail ou à la maison, acceptez-vous de déléguer ou de demander de l’aide
  • Insistez-vous pour avoir le dernier mot et démontrer que vous avez raison ?
  • Suggérez-vous à votre entourage beaucoup de « il faudrait » et « tu devrais » ?
  • En voiture, « aidez-vous » le conducteur en lui disant quel parcours prendre, quand tourner, où se garer, que le feu de signalisation a changé ?
  • Consacrez-vous beaucoup d’attention et d’énergie à garder votre maison en ordre ?
  • En ce qui concerne vos enfants, imaginez-vous les pires scénarios et faites-vous tout pour réduire le risque à zéro ?
  • Planifiez-vous toutes les sorties, les vacances, les activités, pour que rien ne soit laissé au hasard ?
  • Reconnaissez-vous que vous faites des erreurs et acceptez-vous de changer d’avis ?
  • Êtes-vous en colère ou inquiet quand les choses ne vont pas comme vous prévu ?

Faites maintenant le total en additionnant vos réponses, avant de vous reportez aux résultats.

  • Entre 12 et 23 :  Votre adage est « Vivre et laisser vivre ». Vous acceptez sans difficulté l’impondérabilité de la vie et vivez très bien avec elle.
  • Entre 24 et 35 :  Vous avez une légère tendance à vouloir tout contrôler ! Ne perdez simplement pas de vue l’importance de s’abandonner et de faire confiance à la vie et aux autres. N’hésitez pas à multiplier les occasions de lâcher prise.
  • Entre 36 et 48 :  Votre besoin de contrôle est important. Avoir besoin de tout gérer n’est pas une maladie, mais c’est une façon d’être qui ne vous sert pas nécessairement aussi bien que vous pouvez le penser. Parlez-en à votre conjoint, à vos amis les plus proches et essayer surtout de vous détendre et de lâcher prise.

Control freak : 5 conseils pour lâcher prise

Besoin de tout manager, incapacité à déléguer, à faire confiance, etc. Ne vous inquiétez pas, vous pouvez tout apprivoiser. Détendez-vous, apprenez à lâcher du lest et laisser faire les choses !

1 . Se faire confiance

Le control freak est sans arrêt dans des mécanismes de défense. Il doit apprendre à s’ouvrir aux autres, leur faire davantage confiance et s’octroyer plus de spontanéité. Mais pour arriver à faire confiance aux autres, il faut déjà reprendre confiance en soi en apprenant à :

2 . Faire face aux situations qui déstabilisent

Oser prendre des risques, mais se donner les outils nécessaires pour parvenir à son but en respectant ses limites, c’est-à-dire en se fixant des défis à sa mesure. Nicole Bordeleau se souvient que parfois, il suffit d’un déclic pour réaliser que tout contrôler est impossible :

Quand j’étais plus jeune, je vivais avec une colocataire et, un jour, je lui ai dit qu’elle s’y prenait mal pour laver la vaisselle. Elle m’a répondu calmement qu’il existait 150 façons de laver la vaisselle et que, moi, je n’en connaissais qu’une seule.

Une petite phrase anodine qui a pourtant tranquillement conduit son auteure, conférencière et fondatrice de YogaMonde à apprendre à lâcher prise.

Je crois que ce grand besoin de contrôle relève beaucoup de l’anxiété et du perfectionnisme.

3 . Prendre du recul

Souffler de temps en temps est vital ! La meilleure façon pour commencer à lâcher prise est de s’attaquer aux petites choses anodines qui nous tracassent. Par exemple, déléguer des tâches qui ne sont pas trop importantes : lavage du linge, réservation du restaurant, choix des activités dominicales etc.

À force de constater que la terre ne s’ouvre pas sous nos pieds chaque fois qu’on lâche prise, on sera plus apte à accepter des défis plus grands par la suite.

4 . Méditer, se relaxer

Il existe mille façons de se détendre et de décrocher de ses pensées de toujours tout contrôler : la lecture, la chanson, le sport, la respiration, la méditation pleine conscience, la sophrologie, etc.

Tout travail accompli dans le but de s’apaiser est gratifiant : le plaisir, la joie de vivre, le constat que la vie apporte non seulement son lot d’événements imprévisibles, mais aussi de très belles surprises.

la nécessité de s’arrêter parfois, de prendre du recul et d’être simplement dans l’instant présent et non plus dans l’anticipation permanente.

-Lysiane Panighini-

La méditation, la sophrologie, la relaxation, le yoga peuvent être d’un recours précieux pour faire la paix avec ses propres émotions et pour ressentir la richesse de l’instant présent.

5 . Identifier les effets néfastes de cet excès de contrôle

Sans porter de jugement, il convient de se désolidariser de cette manie de tout contrôler. Pour Lysiane Panighini, il s’agit de :

déconstruire ce comportement que l’on peut résumer par « je veux tout contrôler et être parfait(e) », de façon à ce que la personne se rende compte que le problème ne vient pas d’elle, mais d’un contexte.

Ensuite, il faut identifier les effets de ce comportement dans la vie de la personne et de ceux qui l’entourent :

  • Est-ce que cela nuit à son couple, à ses relations amicales ou professionnelles ?
  • Est-ce que sa volonté de tout contrôler va parfois à l’encontre de ses valeurs, comme la compassion ou encore le plaisir de profiter simplement de la vie ?

Un travail, en lien avec un psychologue ou un psychothérapeute peut parfois permettre au control freak d’être à nouveau en cohérence avec soi-même. L’hypnose peut également aider à prendre de la hauteur, à se détacher des événements passés et présents pour aller de l’avant, à accepter que la vie peut être vécue spontanément.

Apprendre à lâcher-prise et contrôler de sa vie sont deux notions à savoir accorder. Le plus important est de trouver son équilibre et d’accepter de nouvelles situations pour réapprendre à croquer la vie à pleines dents.

essayer de tout controler

>> le petit + qui fait tout :

Je vous recommande ce livre qui est une bonne entrée en matière pour  comprendre les points importants et parvenir à changer certains comportements :  Arrêter de tout contrôler : Les joies de l’inattendu et de l’imprévu de Odile Chabrillac

Un texte de Sophie Guittat

Sources :  La dignité de penser  de Roland Gori, et  psychologytoday.com

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20 choses que vous ne pouvez pas contrôler

20 choses que vous ne pouvez pas contrôler

Nous pouvons tous nous rapporter au désir de nous sentir en contrôle. Nous nous enlisons dans les soucis, voulons « réussir » en accomplissant certaines choses et voulons sentir que nous pouvons subvenir aux besoins des personnes qui nous sont chères. Quelle que soit votre motivation pour vouloir contrôler, vous en avez probablement fait l’expérience régulièrement.

Mais la vérité est que nous n’avons pas réellement le contrôle sur tous les aspects de nos vies. Il y a beaucoup de choses que nous ne pouvons pas contrôler. C’est pourquoi j’ai créé cet article.

J’ai dressé une liste de 20 choses sur lesquelles vous n’avez aucun contrôle et de 20 choses sur lesquelles vous l’avez. Ce n’est pas une liste exhaustive, mais c’est un bon endroit pour commencer et avoir une idée de l’endroit où se trouve votre contrôle.

La beauté du lâcher-prise

C’est normal que nous ne puissions pas contrôler tous les aspects de notre vie. Il y a en fait beaucoup de beauté à lâcher prise. Et il est important de reconnaître régulièrement cette beauté car elle facilite l’abandon du contrôle.

Pour commencer, abandonner le contrôle demande beaucoup moins d’énergie et d’efforts que d’essayer de tout contrôler . Nous nous inquiétons et nous planifions beaucoup de choses sur lesquelles nous n’avons tout simplement aucun contrôle.

Au lieu de dépenser de l’énergie sur ces choses, nous pouvons économiser de l’énergie et la dépenser là où nous avons le contrôle et sur les choses qui comptent le plus.

Lâcher le contrôle rend également les décisions beaucoup plus faciles. Il est difficile de prédire à l’avance quelles seront les circonstances exactes, ce qui va nous rendre heureux, ce dont nous aurons besoin et ce dont les autres auront besoin de nous. Bien sûr, il est normal d’avoir des plans d’urgence ! Mais j’ai découvert qu’il valait mieux faire attention à mon état d’esprit et à mon énergie pour pouvoir être préparé à n’importe quel résultat que pour me préparer réellement à tous les résultats possibles.

De plus, lorsque nous sommes déterminés à essayer de créer un résultat très spécifique, nous devenons étroits d’esprit et fermés à d’autres opportunités et idées. En cessant d’essayer de contrôler chaque détail, vous vous ouvrez à toutes les opportunités et idées qui s’offrent à vous. Des opportunités et des idées que vous n’aurez pas avec une approche étroite d’esprit et qui vous auraient servis bien mieux que votre plan initial.

Enfin, si nous n’essayons pas de contrôler chaque détail de notre vie, nous passons beaucoup plus de temps à être présents, le seul endroit où nous pouvons vivre pleinement notre vie.

Les choses que vous ne pouvez pas contrôler

Maintenant, plongeons dans les choses que vous ne pouvez pas contrôler. En parcourant cette liste, rappelez-vous qu’il est normal de ne pas contrôler ces choses. Réaliser que vous n’êtes pas en contrôle est la première étape pour abandonner le besoin de contrôler. Et lorsque vous abandonnez le besoin de contrôler de ce qui ne peut l’être, la vie devient beaucoup plus gérable.

J’ai dressé cette liste, mais je voulais d’abord passer en revue certains éléments généraux pour vous aider à créer la vôtre plus tard.

Pour commencer, vous ne pouvez pas contrôler les gens. Vous ne pouvez pas contrôler leurs actions, réactions, pensées, sentiments, croyances, etc. Vous n’êtes pas non plus RESPONSABLE des actions, réactions, pensées, sentiments, croyances, etc. des autres (à l’exception de vos enfants non adultes). Nous n’essayons généralement pas de contrôler les gens volontairement. Mais si nous nous sentons responsables d’eux, cette responsabilité peut se manifester de manière malsaine.

Ensuite, vous ne pouvez pas contrôler la nature ou la nature de la réalité. Par exemple, vous ne contrôlez pas la météo. De même, vous ne contrôlez pas non plus le passage du temps, y compris la mort. Vous ne pouvez pas contrôler le hasard. Et vous ne pouvez pas vouloir que le monde fonctionne comme vous le souhaitez. Croyez-moi, j’ai essayé !

Je dois également vous annoncer qu’il y a beaucoup de choses sur vous que vous ne pouvez pas contrôler. Vous ne pouvez pas contrôler les besoins physiques de votre corps – nourriture, eau, sommeil, etc. Vous ne contrôlez pas le fait que vous avez des émotions. Pardon. Vous ne pouvez pas contrôler les prédispositions que vous avez basées à la fois sur la biologie et sur votre enfance.

Et enfin, peu importe à quel point vous travaillez et planifiez, vous n’avez toujours pas le contrôle total du résultat d’un scénario. Il y a tellement de facteurs en jeu que vous ne pouvez tout simplement pas tous les contrôler.

La liste suivante n’est pas exhaustive, mais elle devrait vous aider à mettre en perspective ce qui n’est pas sous votre contrôle.

  • Comment les autres vous traitent
  • Si les gens vous aiment ou ne vous aiment pas
  • Les actions des autres
  • Les sentiments des autres
  • Les croyances des autres
  • Les pensées des autres
  • Les jugements et les critiques des autres
  • Ce qui se passe à l’autre bout du monde
  • Les catastrophes naturelles
  • Le temps qui passe
  • Quand d’autres meurent
  • Quand tu meurs
  • Les limitations et prédispositions physiques et mentales
  • Vos besoins physiques (nourriture, sommeil, etc.)
  • Vos privilèges (ou l’absence de privilèges)
  • Le risque zéro

Les choses que vous pouvez contrôler

Bonne nouvelle!

Pour tout ce que vous ne pouvez pas contrôler, il y a généralement quelque chose que vous pouvez contrôler à la place.

Vous trouverez ci-dessous une liste de ces choses. Mais en règle générale, vous contrôlez vos actions et vos réactions. Chaque fois que votre vie vous semble hors de contrôle, essayez de vous concentrer sur vos actions et réactions actuelles pour rester ancré.

Comme autre règle générale, vous devez regarder vers l’intérieur plutôt que vers l’extérieur pour trouver les choses sur lesquelles vous avez le contrôle.

Certaines de ces choses peuvent ne pas vous sembler réalisables en fonction de la quantité d’énergie dont vous disposez. Mais avec la pratique, vous pouvez apprendre à le comprendre et à le travailler un peu mieux.

Vous n’aurez pas le contrôle sur ce qui va et vient, mais vous aurez le contrôle sur la façon dont vous y réagissez. Par exemple, vous avez peu de contrôle sur vos émotions, mais vous pouvez apprendre à les gérer : les accepter, les exprimer.

Encore une fois, cette liste n’est pas exhaustive, mais elle devrait vous aider à créer la vôtre.

  • La façon dont vous traitez les autres
  • Que vous gardiez des rancunes ou que vous les laissiez tomber
  • Votre soutien et votre compréhension des autres
  • Vos actions envers les autres
  • Vos réactions à ce que les autres disent et font
  • Avec qui vous passez du temps
  • Comment passez-vous le temps
  • Où vous mettez votre énergie
  • Prendre soin de vos besoins physiques, mentaux et émotionnels
  • Vivre selon vos valeurs
  • Exprimer votre gratitude
  • Apprendre à vous aimer
  • Accepter vos émotions et les exprimer
  • Pratiquer la croissance personnelle
  • Être présent
  • Être ouvert aux opportunités
  • Être adaptable au changement
  • Vos actions
  • Vos réactions
  • Votre état d’esprit

Lâcher les choses que vous ne pouvez pas contrôler et vous sentir soulagé. Voilà une bien belle phrase ! Le prochain article s’attèlera à apporter quelques conseils pour abandonner le contrôle des choses qui sont hors de votre pouvoir .

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Comment arrêter d’essayer de tout contrôler : 14 conseils très efficaces

Si vous êtes une personne que l’on qualifie de « maniaque du contrôle » ou à qui l’on dit souvent qu’il faut accepter de ne pas tout contrôler, vous êtes au bon endroit.

Le comportement contrôlant peut être difficile à gérer personnellement, et il peut être encore plus difficile pour les autres (les personnes touchées par le comportement contrôlant) de faire face à ce comportement.

Bien que vos intentions soient probablement bonnes, il est essentiel de reconnaître qu’un comportement contrôlant peut révéler d’autres problèmes tels qu’une faible estime de soi, des troubles anxieux, des traumatismes non résolus ou un sentiment d’insécurité (parmi beaucoup d’autres).

Si vous n’êtes pas sûr d’être une personne contrôlante, lisez les affirmations ci-dessous pour voir à combien d’entre elles vous vous identifiez :

  • J’ai des exigences et des attentes élevées, et je n’ai pas confiance dans la capacité des autres à les respecter aussi bien que moi. (Cela peut s’appliquer à tous les domaines de la vie, qu’il s’agisse de l’emploi, de la vie familiale, des relations, etc.)
  • J’ai de l’anxiété et le fait d’avoir le contrôle sur tout me permet de me sentir plus calme et plus à l’aise.
  • J’aime être sous les feux de la rampe et recevoir des éloges pour mes efforts.
  • J’ai un ego démesuré et le fait de me montrer me donne l’impression d’être important et validé.
  • Le fait d’avoir le contrôle me donne l’impression d’être utile et d’appartenir à un groupe.

Avez-vous du mal à assigner, partager ou déléguer des tâches parce que vous avez besoin qu’elles soient faites d’une manière spécifique et que personne d’autre ne semble pouvoir le faire comme vous ? Peut-être ressentez-vous un sentiment de panique, de lutte ou de fuite lorsque quelqu’un vous pose des questions sur vous ou sur ce que vous avez fait ?

Vous aimez être responsable et contrôler tout, et lorsque ce n’est pas le cas, vous êtes envahi par des émotions négatives. Les choses passent d’un sentiment de bien-être à un sentiment de perte de contrôle. Et même si le fait de se sentir maître de la situation est généralement bénéfique, si vous essayez constamment d’exercer un contrôle sur des facteurs externes, il est temps d’apprendre quelques astuces pour vous aider à gérer cette situation.

Les personnes considérées comme « contrôlantes » sont souvent confrontées à des problèmes complexes. Les comportements et les schémas de contrôle peuvent avoir des répercussions dans tous les domaines de la vie.

Le fait d’être responsable et d’avoir le contrôle peut apporter un sentiment de paix et de sécurité que l’on ne ressent pas autrement. Cela peut donner à une personne le sentiment d’être validée et importante. Cependant, cela peut aussi faire fuir les gens et conduire à des scénarios difficiles en matière d’emploi.

Nous vous présentons ici les raisons pour lesquelles une personne a besoin de tout contrôler, les causes de ce comportement et la manière d’aller de l’avant et de se débarrasser de ces schémas de contrôle.

A quoi ressemble un comportement de contrôle ?

Lorsqu’une personne essaie de tout contrôler, cela touche tous les aspects de sa vie. Voici quelques-unes des principales manifestations des problèmes de contrôle :

  • Contrôler tout l’argent dans une relation
  • Interdire à un proche d’avoir des amis du sexe opposé
  • Abus physique, mental et/ou émotionnel
  • Gestion minutieuse des plans et crises de nerfs lorsque les choses ne vont pas comme vous le souhaitez
  • Faire taire ses proches lorsqu’ils ne font pas, ne disent pas ou n’agissent pas comme on le souhaite.

Les problèmes de contrôle peuvent également se manifester par des problèmes de maîtrise de soi. Il peut s’agir d’exercer un contrôle sur soi-même et sur son environnement. Bien que cela soit différent d’une personne à l’autre, voici quelques exemples de la façon dont cela peut se manifester :

  • Habitudes alimentaires désordonnées et malsaines
  • Exercices physiques compulsifs
  • Abus de substances
  • Automutilation
  • Rangement, nettoyage ou arrangement excessif

Le comportement de contrôle comprend tout ce qui permet à une personne de limiter ou d’éliminer le risque et l’incertitude. Bien que cela puisse sembler une bonne chose, il en résulte une lutte constante contre les réalités de la vie, car la vie est risquée et incertaine.

Causes des problèmes de contrôle

Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles les gens développent des problèmes de contrôle, tout comme il y a de nombreuses façons dont les problèmes de contrôle peuvent se présenter. Les causes des problèmes de contrôle énumérées ci-dessous sont parmi les plus courantes, mais n’oubliez pas qu’il peut y en avoir d’autres.

Par exemple, les traumatismes de l’enfance, les relations abusives et la peur de l’abandon sont des causes complexes de problèmes de contrôle qui peuvent être traitées par un professionnel qualifié de la santé mentale.

Travailler sur un comportement de contrôle peut être un défi à la fois pour la personne qui a ce comportement et pour ses proches. Il y a plusieurs causes et raisons pour lesquelles les gens essaient de tout contrôler, et comprendre pourquoi vous le faites peut vous aider à développer de nouvelles habitudes afin que vous puissiez arrêter.

Les troubles anxieux.

Les personnes souffrant de troubles anxieux peuvent ressentir le besoin de tout contrôler autant que possible pour être en paix. Bien qu’à l’extérieur, elles aient l’air d’être des maniaques du contrôle, à l’intérieur, elles sont simplement en mode de survie.

La structure et l’ordre sont des moyens calmes de soulager l’anxiété, et les personnes souffrant de troubles anxieux peuvent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour y parvenir. Le fait d’avoir le contrôle peut réduire leur sentiment d’incertitude, les aider à se sentir en sécurité et diminuer le niveau de stress lié à l’événement ou à la chose.

La peur de l’échec.

La peur de l’échec, ou atychiphobie, peut être un sentiment paralysant qui pousse une personne à vouloir tout contrôler. Elle peut s’accompagner de divers symptômes mentaux, physiques et émotionnels. La peur de l’échec et le besoin d’être parfait (perfectionnisme) sont étroitement liés.

Manque de confiance.

Si une personne manque de confiance, elle essaiera probablement de tout contrôler. Ce n’est généralement pas parce qu’elle est malveillante, mais plutôt parce que le besoin de contrôle apaise la réaction d’anxiété de lutte ou de fuite.

Si vous manquez de confiance, le besoin de tout contrôler vous aidera à vous sentir mieux et plus sûr de vous et de votre environnement.

Votre manque de confiance peut concerner des personnes, des environnements ou vous-même. Ces sentiments peuvent se manifester par des habitudes de contrôle, qu’elles soient externes ou internes.

Faible estime de soi.

Le manque d’estime de soi fait référence au fait de ne pas avoir une très bonne opinion de soi-même. Une personne ayant une faible estime d’elle-même est probablement alimentée par une critique intérieure sévère. Le besoin de contrôle peut aider une personne à se sentir mieux dans sa peau. En particulier pour une personne qui occupe une position de leader, l’utilisation d’un comportement de contrôle avec son équipe peut alimenter son estime de soi.

Par exemple, une personne contrôlante remplit des rapports d’équipe au travail pour obtenir la reconnaissance de son travail et de son dévouement, au lieu de déléguer des parties à chaque membre de l’équipe et de travailler ensemble.

14 façons d’arrêter d’essayer de tout contrôler

Même si la vie peut vous sembler plus sûre si vous contrôlez tout, ce n’est pas une habitude saine. Ce faisant, vous risquez d’éloigner des relations importantes ou de rendre votre environnement de travail inconfortable pour les autres.

S’il est naturel de vouloir contrôler sa vie, cela peut avoir de graves conséquences lorsque cela devient obsessionnel et nécessaire.

Vous trouverez ci-dessous des conseils qui peuvent vous aider à cesser de vouloir tout contrôler. Grâce à ces conseils, vous serez en mesure d’améliorer votre connaissance de vous-même, d’identifier votre besoin de tout contrôler et de prendre des mesures positives pour lâcher le contrôle et prospérer à la place.

1. Examinez la ou les raisons pour lesquelles vous voulez tout contrôler.

Avant de procéder à un véritable changement, vous devez comprendre pourquoi vous avez besoin de tout contrôler. Cette question peut être difficile à explorer pour certains. C’est une bonne idée de demander l’aide d’un professionnel à chaque fois que vous vous sentez trop lourd. La raison de votre comportement contrôlant est comme la clé d’une serrure : l’identifier vous aidera à formuler un plan de changement positif.

Est-ce à cause d’un traumatisme dans l’enfance, d’une relation abusive ou d’un syndrome de stress post-traumatique ? Pour guérir et dépasser le besoin de contrôle, vous devez prendre le temps de comprendre pourquoi vous avez ce désir.

Aviez-vous l’impression de ne rien pouvoir contrôler pendant votre enfance ? Le perfectionnisme était-il attendu pendant votre enfance ? Peut-être souffrez-vous d’une anxiété ou d’un trouble de la personnalité qui rend la perte de contrôle encore plus difficile.

Ces raisons sont valables et importantes, mais elles constituent également le fondement de la création d’un changement. Une fois que vous vous comprenez mieux et que vous pouvez identifier l’élément déclencheur, vous pouvez prendre des mesures en vue d’un changement positif.

2. Développez votre conscience de soi.

Tout comme un muscle, le développement de la conscience de soi demande du travail, de la pratique, de la constance et des efforts. La conscience de soi implique de comprendre comment vos pensées, vos sentiments et vos actions s’alignent sur vos propres normes internes.

En développant votre conscience de soi, vous serez en mesure d’identifier votre besoin de tout contrôler et de prendre des mesures intentionnelles pour rectifier vos comportements.

Le développement de la conscience de soi améliorera votre vie à plus d’un titre. Par exemple, les personnes qui ont une meilleure conscience d’elles-mêmes sont capables de communiquer plus clairement, de voir les idées sous plusieurs angles, d’être moins stressées et d’exceller dans la prise de décision.

Malheureusement, la conscience de soi n’est pas un interrupteur. Il faut au contraire la construire brique par brique, chaque étape précédente ayant un impact significatif sur l’étape actuelle.

Conseils pour développer la conscience de soi :

  • Imaginez le meilleur de vous-même. Pensez à vos rêves et à vos objectifs et faites-vous une idée de ce que vous ressentez. Vous pouvez identifier les choses les plus importantes lorsque vous vous imaginez au mieux de votre forme.
  • Posez-vous les questions difficiles. Si vous ressentez le besoin d’intervenir pour contrôler une situation, demandez-vous pourquoi. Peut-être que l’environnement ne vous donne pas l’impression d’être en sécurité. Peut-être que le ton de la voix de la personne a déclenché une émotion négative en vous. Pratiquez toujours l’autoréflexion pour découvrir les raisons profondes de vos sentiments et savoir comment y remédier.
  • Commencez à noter vos pensées et vos sentiments dans un journal. La tenue d’un journal présente de nombreux avantages, dont celui de devenir une personne plus consciente d’elle-même. En outre, la tenue d’un journal vous permet d’explorer vos émotions en toute sécurité et de donner une raison au besoin de les contrôler sans jugement extérieur.

3. Changez votre façon de penser.

Les humains sont des créatures d’habitudes, donc vos comportements contrôlants peuvent être profondément enracinés. Vous êtes une personne contrôlante parce que vous l’avez toujours été.

L’un des moyens de changer cela est de se concentrer sur la reprogrammation de votre pensée. Lorsque vous reprogrammez votre pensée, vous commencez à vous débarrasser des discours négatifs comme « Je ne peux pas » ou « Je ne suis pas assez bon ».

Les habitudes existent dans notre subconscient. C’est dans cette partie du cerveau que nous prenons des décisions sans y penser activement et que nous les exécutons de façon répétée sans y consacrer beaucoup d’énergie. Si vous êtes un « maniaque du contrôle », la reprogrammation de votre subconscient pourrait être la solution pour changer vos habitudes.

Comment reprogrammer votre subconscient :

  • Adoptez des croyances qui vous donnent du pouvoir et abandonnez les pensées qui vous limitent.
  • Concentrez-vous sur la gratitude.
  • Visualisez le changement que vous souhaitez.
  • Laissez votre esprit vagabonder vers les « et si » pour explorer les possibilités.
  • Utilisez des affirmations.

4. Identifiez ce qui est sous votre contrôle.

Notez ce que vous contrôlez et acceptez de le faire. Par exemple, les paroles et les actions des autres ne sont pas sous votre contrôle, mais votre réponse l’est. Plutôt que de dépenser votre énergie à essayer de contrôler les facteurs externes, tournez-la vers l’intérieur, examinez et acceptez les choses que vous contrôlez.

Par exemple, remarquez comment vous réagissez lorsque vous recevez des critiques ou des commentaires et explorez-les intérieurement au lieu d’exercer un contrôle externe sur eux. Essayez d’accepter que vous ne pouvez pas tout contrôler, mais que vous pouvez vous contrôler vous-même, vos actions et vos paroles.

5. Adoptez des habitudes saines.

Les avantages de l’adoption d’habitudes saines sont indéniables. Il est impératif d’adopter des habitudes saines lorsque l’on cherche à développer et à modifier des schémas comportementaux contrôlants. Comme les habitudes existent dans le subconscient, vous devez répéter les comportements jusqu’à ce qu’ils deviennent automatiques. Ils se produiront alors sans que l’on y pense.

Même si cela peut sembler difficile au départ, l’adoption d’habitudes saines peut être une source de transformation. Les habitudes saines vous aident à être le meilleur possible. Elles vous aident à prendre soin de vous et de vos besoins sans exercer de contrôle.

Si vous avez l’habitude de contrôler, des habitudes saines peuvent faire toute la différence. Quelques habitudes à prendre en compte sont le maintien d’un rythme de sommeil régulier, une alimentation saine, une activité physique régulière et des relations saines.

Ces habitudes simples auront un impact considérable sur la façon dont vous vous sentez et sur votre niveau de conscience de vous-même, tout en augmentant votre estime de soi.

En outre, la combinaison de ces habitudes vous permet de consacrer plus de temps et d’énergie à votre être intérieur plutôt que d’essayer de contrôler des facteurs externes.

6. Renforcez vos compétences en matière de communication.

S’engager à améliorer ses compétences en communication peut faire une énorme différence dans la façon dont on essaie de tout contrôler. Avec des compétences de communication efficaces, vous pouvez améliorer votre niveau de conscience de soi, construire la confiance, améliorer la productivité, développer l’empathie et devenir plus apte à gérer les conflits.

Comment améliorer ses compétences en communication :

  • Concentrez-vous sur l’écoute.
  • Réfléchissez avant de parler.
  • Gardez un état d’esprit positif.
  • Souriez plus souvent.
  • Remarquez votre langage corporel.

7. Ayez confiance en vous et dans les autres.

Parfois, la vie nous assomme encore et encore, et nous avons l’impression qu’il faut tout contrôler pour survivre. On se heurte à des obstacles, on perd des relations et les choses ne se passent pas comme prévu. Il peut être difficile de surmonter cette situation. C’est une situation lourde et négative qui peut vous transformer en quelqu’un qui a des habitudes de contrôle.

Plutôt que de vous tourner vers des comportements et des schémas contrôlants, essayez d’avoir confiance en vous et dans les autres. Souvenez-vous que tout le monde est humain, que les erreurs se produisent et que la seule façon de s’en sortir est de passer par là. Croyez donc en vous et en les autres. Passez de la pensée « Ils ne font pas bien les choses » à la pensée « Ils font de leur mieux ».

8. Augmentez votre estime de soi.

L’estime de soi est le sentiment interne d’être « suffisamment bon » et digne d’intérêt. Lorsque votre estime de soi est faible, votre besoin de tout contrôler peut être élevé parce que vous ne réagissez pas bien aux critiques ou aux commentaires.

Bien que la plupart de ces comportements soient inconscients, vous pouvez changer les choses en prenant conscience de vos sentiments. Vous remarquerez un changement dans de nombreux domaines de votre vie en augmentant votre estime de soi.

Conseils pour augmenter votre estime de soi :

  • Utilisez des affirmations positives qui vous parlent quotidiennement. Nourrissez votre esprit de positivité. Cela se traduira par des changements positifs, comme le fait de ne pas avoir besoin de tout contrôler parce que vous avez confiance en vous et dans les autres.
  • Faites une liste de vos points forts et engagez-vous à les développer. Apprendre est fantastique et peut changer votre état d’esprit.
  • Changez la façon dont vous vous parlez à vous-même. Plutôt que de vous critiquer, donnez-vous de l’amour, des compliments et de la compassion. En changeant votre façon de vous parler, vous serez peut-être étonné de voir comment cela se manifeste dans votre vie quotidienne.

9. Remettez en question et modifiez votre dialogue interne.

Avez-vous déjà entendu l’expression « vous êtes ce que vous pensez » ? Si vous alimentez constamment votre esprit en négativité, en pensées sabotantes et en méfiance, le fait d’avoir le contrôle sur tout peut être l’outil qui l’apaise.

Votre dialogue intérieur alimente votre esprit. Le bavardage intérieur constant peut soit vous construire, soit vous briser. Imaginez qu’il s’agit d’un ami invisible dans votre tête. Si vous avez toujours besoin de tout contrôler, changer votre dialogue intérieur peut avoir un impact considérable.

Changer son dialogue intérieur demande de la persévérance et des efforts. Tout d’abord, il faut reconnaître les schémas de pensée contrôlants qui apparaissent. Ensuite, il faut demander des preuves de leur véracité. Ensuite, recadrez la pensée en la rendant plus constructive, positive et véridique.

10. Ne planifiez pas trop.

Si vous êtes quelqu’un qui a un emploi du temps chargé, tout contrôler peut être le moyen de s’assurer que les choses se déroulent comme prévu. Lorsque les choses sont sous votre contrôle, vous avez l’impression que tout se passera bien.

Plutôt que de tout prévoir, essayez de planifier légèrement. Concentrez-vous sur les choses que vous pouvez contrôler et comprenez que des surprises et des événements imprévisibles peuvent se produire. Ne vous surchargez pas et laissez de la place à l’incertitude. Les événements peuvent prendre plus de temps que prévu, ou les gens peuvent dire des choses auxquelles vous ne vous attendiez pas.

Lorsque nous planifions trop, nous sommes plus susceptibles d’adopter des comportements de contrôle pour que tout se déroule conformément à ce plan. Laissez de la place dans vos plans pour que les choses se déroulent différemment de ce que vous souhaitez. Cela peut sembler très inconfortable au début, mais c’est un outil utile pour mettre fin à l’habitude de tout contrôler.

11. Réévaluez vos attentes.

Si vous essayez de tout contrôler, il est peut-être temps de réévaluer vos attentes vis-à-vis de vous-même et des autres. Contrôler le comportement peut être votre façon de vous assurer que la tâche est accomplie correctement, mais en prenant toujours les choses en main, vous ne laissez pas les autres grandir et se développer en même temps que vous.

Lorsque vous réévaluez vos attentes, vous pouvez commencer à changer. Passez du temps avec vos attentes et vérifiez si elles sont justes, précises et réalisables. Laissez de la place à l’imperfection et aux erreurs dans vos attentes. Réévaluez vos attentes et déterminez si elles vous limitent ou non.

12. Soyez ouvert au changement.

L’être humain est typiquement câblé pour résister au changement. Le changement peut être perçu comme une menace, et le fait de tout contrôler peut être l’outil d’une personne pour éteindre cette menace. Il est plus facile d’essayer de contrôler les facteurs externes pour éviter les changements internes. Cependant, vous pouvez changer votre attitude face au changement.

En changeant votre état d’esprit, en augmentant votre empathie et en réexaminant vos valeurs, vous pouvez décider de ce que vous devez contrôler et de ce que vous pouvez laisser tomber. Soyez ouvert à l’idée d’abandonner ce qui est hors de votre contrôle et de vous accrocher à ce qui est sous votre contrôle.

13. Répétez des affirmations positives.

Les affirmations positives présentent de nombreux avantages et, utilisées régulièrement, elles peuvent constituer un outil d’auto-assistance transformateur.

Les affirmations sont des mots, des mantras ou des phrases qui expriment la positivité et la motivation dans votre vie. Utilisées de manière répétée, elles peuvent contribuer à modifier les pensées et les habitudes subconscientes.

Les affirmations aident à réduire le doute et la peur et à augmenter la confiance en soi et l’estime de soi. Elles aident à transformer des situations sombres en situations claires en leur insufflant un peu de positivité et d’optimisme.

Les affirmations peuvent être écrites, dites à haute voix, dans votre tête ou de toute autre manière qui vous permet de les exprimer. Elles aident à recadrer les pensées et les schémas négatifs en quelque chose de positif. En les répétant, les affirmations peuvent vous aider à vous détendre et à cesser d’essayer de tout contrôler.

Bien que les affirmations ne soient que des mots et des phrases, elles peuvent perturber les schémas de pensée et les habitudes négatives. Par conséquent, elles peuvent constituer un outil efficace de gestion du stress et améliorer votre bien-être général.

Exemples d’affirmations :

  • Je me libère du besoin de tout contrôler et je fais plutôt confiance au processus.
  • J’abandonne le désir d’être parfait et j’embrasse la beauté de l’incertitude.
  • J’ai tout ce dont j’ai besoin.
  • Je fais confiance aux personnes qui font partie de ma vie.

14. Vérifiez votre ego.

Si vous avez du mal à tout contrôler, il est peut-être temps de vérifier votre ego et de faire quelques changements. Un ego toxique peut vous amener à penser que vous êtes le meilleur en tout et que personne ne peut faire les choses aussi bien que vous.

Ces pensées peuvent se traduire par des actions et des paroles contrôlantes. L’ego est le sentiment de suffisance d’une personne, et il exige un niveau élevé de conscience de soi. Si votre ego est très élevé, le contrôle des facteurs externes peut l’alimenter.

Comment contrôler son ego :

  • Engagez-vous à être un étudiant de la vie. L’ego vient de ce que vous pensez des choses. Si vous pensez que vous êtes le meilleur dans les domaines « X » et « Y », vous serez plus enclin à appliquer des schémas de contrôle pour manipuler le résultat et vous servir au mieux. Lorsque vous apprenez quelque chose de nouveau, il est plus évident que vous n’êtes pas le meilleur dans ce domaine, mais que vous êtes en train d’apprendre. Essayez toujours d’apprendre et d’élargir votre esprit.
  • Changez ce que vous considérez comme important. Mettez l’accent sur le travail plutôt que sur le résultat.
  • Mettez votre orgueil à l’épreuve. Félicitez régulièrement les autres. Dites à vos collègues qu’ils ont fait un travail formidable, remerciez votre mari de s’être enfin attelé à cette liste de choses à faire, ou dites à la caissière que vous appréciez sa gentillesse. Remarquez l’excellent travail des autres et valorisez-le pour eux.
  • L’autorégulation est essentielle. Plutôt que de vous laisser diriger par des facteurs externes et de leur donner l’espace nécessaire pour dicter ce que vous allez ressentir, pratiquez un niveau profond d’autorégulation. Identifiez ce qui vous pousse à vouloir contrôler les choses et faites le nécessaire pour rester humble, présent et conscient.

Se libérer du besoin de contrôle

Si tu as besoin de tout contrôler, il se peut que tu sois ainsi depuis un certain temps et qu’il te soit difficile de reconnaître qu’un changement est nécessaire. Votre monde peut vous sembler sûr et sécurisé tel qu’il est. Cependant, une fois que vous aurez identifié vos schémas de comportement contrôlant et que vous commencerez à appliquer ces conseils à votre vie, vous remarquerez plusieurs changements.

Tout d’abord, vous commencerez à apprécier davantage les autres. Lorsque vous apprendrez à moins contrôler, vous serez en mesure d’aider les autres à prospérer et à s’épanouir. Les gens autour de vous se sentiront plus à l’aise et vous permettront de mieux les connaître. Lorsque vous cesserez de tout contrôler, les autres se sentiront plus à l’aise pour partager, contribuer, essayer d’aider et s’impliquer.

Ils craindront moins les jugements et les critiques de votre part. Les conseils ci-dessus peuvent vous aider à prendre du recul, à mieux apprécier les autres, à apprendre à leur faire confiance et à vivre une vie plus pleine et plus présente. Cela peut avoir un impact considérable sur tous les aspects de la vie, de l’emploi à l’amour et aux relations.

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essayer de tout controler

Comment Apprendre A Lâcher Prise Et Arrêter De Vouloir Tout Contrôler

C ’est épuisant de vouloir tout contrôler tout le temps, n’est-ce pas ? La vérité est que tout sentiment de contrôle que nous pensons avoir est de toute façon faux.

M ais forcer des situations à se produire parce que vous croyez qu’elles devraient se produire exactement comme vous le voulez n’est tout simplement pas sain.

Soyons honnêtes : il n’y a aucun moyen de contrôler tout le monde et tout évènement de votre vie.

C’est un comportement à changer pour pouvoir recommencer à profiter de la vie, que nous soyons au contrôle ou non, et ainsi accepter ce qui est.

Voici ce que la peur de perdre le contrôle fait subir à mon corps :

Ma vision devient très étroite et concentrée, mon souffle est peu profond, l’adrénaline et mon rythme cardiaque augmentent. Mon esprit passe rapidement d’un sujet à l’autre et du passé au futur. J’ai peu de concentration, de mémoire et presque pas de conscience du moment présent.

En mode de lâcher prise, je suis calme, paisible. Je respire profondément et je suis présent dans le moment. Je vois clairement et ma vision s’étend autour de moi, me permettant de littéralement voir le monde plus grand.

La grande ironie dans tout cela est qu’en tentant de contrôler les choses, nous nous mettons réellement dans un état qui ne favorise pas le contrôle.

L’art du lâcher prise pour mieux vivre

Abandonner signifie arrêter de se battre. Mais lâcher prise ne signifie pas abandonner le désir, cela signifie abandonner la lutte. Arrêtez de vous battre contre vous-même. Arrêtez de combattre l’univers et le flux naturel des choses.

Cessez de résister et de repousser la réalité !

Si abandonner le contrôle et lâcher prise non seulement nous fait nous sentir mieux, mais produit également de meilleurs résultats, alors comment faisons-nous cela ?

Voici quelques astuces qui pourront vous aider à découvrir comment lâcher prise :

1. soyez honnête avec vous-même.

L’une des meilleures façons d’abandonner le contrôle est de comprendre d’où vient cette émotion. Essayez de trouver la raison principale pour laquelle vous avez besoin de microgérer tous les aspects de votre vie.

Est-ce parce que vous avez une peur de l’inconnu ? Ou avez-vous un manque de confiance en vous en ce qui concerne vos relations ou votre carrière ?

Répondez honnêtement à ces questions et, espérons-le, elles vous apporteront une nouvelle vie.

2. Imaginez ce qui se passerait si vous deviez lâchez prise

Avant de commencer à contrôler une situation, essayez d’imaginer ce qui se serait passé si vous ne l’aviez pas fait.

La plupart du temps, vouloir tout contrôler vient de la peur. Être concerné par l’avenir peut être une bonne chose, mais vous devez également trouver un équilibre sain.

Questionnez la validité de votre peur quand vous vous sentez comme si vous deviez contrôliez la situation.

Si vous lâchez prise, l’avenir changera-t-il de manière drastique et négative ? Si la réponse est non, laissez-le partir. Il est temps de prendre en charge votre vie plutôt que de laisser vos peurs prendre le contrôle sur vous.

3. N’hésitez pas à vous éloigner de temps à autre

Nous avons presque tous la possibilité de faire une longue promenade dans la nature ou de commencer la matinée par cinq minutes de méditation pour lâcher prise ou de yoga.

Prendre le temps de profiter de la vie vous donnera plus d’énergie pour affronter le travail.

4. Arrêtez de regarder autour de vous

Comparez et désespérez ! L’une des meilleures choses que j’ai faites pour moi-même est de réduire mon attention sur ce que font les autres.

5. Apprendre à vivre dans le présent

Les gens ont tendance à contrôler les choses parce qu’ils ont peur de ce que l’avenir pourrait leur réserver, ou ils ont peut-être peur de répéter une erreur du passé.

Cessez de vous inquiéter de ce qui se passe et faites attention au moment présent. Quand quelqu’un microgère tous les aspects de sa vie, il a tendance à oublier comment vivre parce qu’il a ainsi trop de choses pour lesquelles il doit se préoccuper.

Essayez de comprendre ce qui est le plus important. Si possible, faites les tâches importantes et apprenez à déléguer le reste.

6. Considérez les choses que vous pouvez contrôler

Bien que vous puissiez faire des choix pour vous tous les jours, il y a des choses sur lesquelles vous n’avez aucun contrôle.

Au lieu d’essayer de tout microgérer, soyez conscient de ce que vous contrôlez. Il y a beaucoup de choses dont nous pouvons nous plaindre, mais c’est un gaspillage d’énergie émotionnelle de se concentrer sur des choses qui sont hors de notre contrôle.

Comprenez que vous ne pouvez que contrôler vos actions face aux évènements. Il ne sert à rien de vous stresser sur des choses que vous ne pouvez pas contrôler.

7. Soyez flexible

Être flexible est un aspect clé de l’apprentissage pour avoir moins de contrôle sur les choses et profiter davantage de la vie.

Une fois que vous avez déterminé les problèmes avec lesquels vous pouvez être plus flexible, vous pouvez peut-être consacrer cette énergie à quelque chose de plus productif.

8. Apprendre à faire confiance

Pour lâcher prise pour être heureux et lâcher prise quand tout va mal, vous devez avoir la foi que les choses vont fonctionner.

Ne laissez pas votre peur ou votre méfiance vous entraîner dans une spirale d’inquiétude et de stress. Si vous avez le sentiment que votre besoin de contrôle se manifeste, prenez un moment pour respirer et ayez confiance que tout ira bien.

9. Écoutez votre corps

Le corps humain est une machine incroyable que la plupart d’entre nous tiennent pour acquise.

Il a vraiment une grande quantité d’informations qui peuvent nous aider à prendre des décisions. Il nous envoie des signaux toute la journée. Nous ignorons souvent ces signaux et choisissons de suivre ce que tout le monde nous dit de faire à la place.

Parfois, mon corps me dit que j’ai besoin d’une sieste . Parfois, il me dit que ce n’est pas le moment d’écrire un article pour le blog et que je devrais plutôt me concentrer sur autre chose.

Quoi qu’il en soit, j’essaie vraiment d’ignorer la partie de moi qui me dit que je dois pousser ou forcer les choses à se produire pour réussir.

Cela peut sembler ironique, mais pour pouvoir reprendre le contrôle de notre vie, vous devons apprendre à laisser aller les petites choses. Alors que nous pouvons croire que nous sommes capables de contrôler beaucoup de choses dans votre vie, la réalité est que nous n’avons vraiment le contrôle que sur une chose : nos émotions.

Commencez par utiliser certains de ces conseils pour vous aider à trouver l’équilibre dont vous avez besoin. Soyez patient et au fil du temps, vous pouvez apprendre quelles batailles vous devez choisir pour vous aider à lâcher prise sans abandonner.

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Comment reprendre confiance en soi après une dépression ?

Article révisé par le Comité Psychologue.net

À la suite d'une dépression, retrouver la confiance en soi perdue n'est pas toujours facile. Voici nos conseils pour prendre soin de vous et retrouver confiance en vous !

Comment reprendre confiance en soi après une dépression ?

Une dépression est un moment très complexe dans la vie d'une personne. Elle peut arriver à tous, à tout moment, sans prévenir. S'en sortir sans aide est très difficile, et une fois qu'on a pu la surmonter, reprendre confiance en soi, s'aimer de nouveau et aimer la vie est une nouvelle épreuve. 

Contrairement aux idées reçues, la dépression n'est pas juste un coup de cafard : on ne le répètera jamais assez, une personne dépressive ne broie pas du noir dans son lit pendant plusieurs jours avant de décider un matin qu'elle peut aller mieux. La dépression est une maladie, une vraie maladie psychique très complexe et qui nécessite une prise en charge adaptée pour assurer une guérison durable. 

Un travail sur soi mené par un(e) professionnel(le), parfois complété par une prise médicamenteuse, est la meilleure solution pour vaincre la dépression. Mais tout au long du chemin de guérison, reprendre confiance en soi peut être très difficile. 

Vous n'êtes pas votre dépression

La dépression est une maladie, mais une maladie ne décrit pas la personne qui en souffre. Il est important de comprendre que souffrir de dépression ne permet pas de définir une personne : nous sommes tous bien plus que la somme de nos troubles ou maladies. Prendre conscience que la maladie n'est pas soi permet de comprendre qu'on est en dissonnance avec soi-même, et qu'une prise en charge adaptée peut aider à retrouver l'harmonie qui nous fait défaut. 

Reprendre confiance en soi commence par reprendre le contrôle

Trop souvent, nous vivons selon des "il faut", faisant passer la raison avant le coeur, comme si nous ne décidions pas nous-même de notre vie. Et cette sensation d'avoir une instance supérieure qui contrôle tout dans notre vie nous porte fortement préjudice, nous empêchant de faire ce qui nous plaît réellement et masquant nos motivations réelles pour agir. 

Nous devons apprendre à assumer nos envies et nos besoins, et prendre la responsabilité de choisir pour nous. 

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Nous nous mettons souvent une pression gigantesque sur les épaules en essayant de tout contrôler et d'atteindre la perfection dans tous les domaines de notre vie : sur notre corps, en couple, en famille... Nous devons comprendre que la perfection n'existe pas et qu'en essayant de tendre vers un but inatteignable, nous nous infligeons un stress énorme et non nécessaire. Or, ce stress finira par avoir un impact physique et moral pouvant se traduire par de l'anxiété et des troubles dépressifs. 

Apprenez à reconnaître ces symptômes et à comprendre qu'il ne font pas partie de vous. Avec l'aide d'un psychologue , identifiez les blocages qui vous empêchent de vous épanouir et dépassez-les. 

S'accepter pour reprendre le contrôle

Connaissez-vous les prophéties autoréalisatrices ? Il s'agit d'un biais de notre esprit qui se concentre sur ce que nous voulons voir. Ainsi, si vous cassez un verre dès le matin et que vous pensez "je sens qu'il ne va m'arriver que des problèmes aujourd'hui", vous vous focaliserez uniquement sur les points négatifs de la journée. 

Il en va de même avec notre histoire : nous avons tendance à nous focaliser sur nos points faibles et nos échecs, plutôt que de valoriser nos réussites et nos qualités. Et pour ne plus tomber dans ce cercle de négativité, il est possible de reprogrammer son cerveau ! 

Pour apprendre à ne plus ruminer vos défauts ou des situations problématiques du passé, nous vous conseillons de faire une liste de chaque victoire ou situation positive vécue dans la journée, aussi infime soit-elle. Voici quelques exemples : 

  • Réussir à faire une tâche administrative que l'on remettait toujours à plus tard
  • Avoir rangé son logement
  • Avoir reçu un compliment pour son travail
  • Avoir fait entendre son point de vue lors d'une prise de décision

Aimer son image peut aussi être complexe après une dépression. Pour cela, il existe un exercice utilisé en thérapie brève qui peut fortement vous aider : plutôt que de fermer les yeux et d'éviter de regarder ce que vous n'aimez pas chez vous (ce peut être dans votre physique ou votre personnalité), soyez attentif à cette partie de vous, regardez-la en détail tous les jours. 

Moi d'abord

Reprendre confiance en soi passe aussi par le fait de se placer avant les autres. Trop souvent, sans nous en rendre compte, nous agissons dans le but que les autres nous apprécient ou qui correspondent à ce que la société attend de nous. Ainsi, il peut arriver que sous nos "je ne suis pas capable d'y arriver" se cachent en réalité des "je n'ai pas envie de le faire" que nous devons mettre au jour pour comprendre nos motivations réelles. 

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Parfois, nous adapter au contexte extérieur nous demande un trop gros effort, tellement gros que nous risquons de nous perdre à vouloir le faire. Lâcher prise est plus facile à dire qu'à faire, mais c'est quelque chose qui peut réellement aider à reprendre confiance en soi : en laissant derrière soi les attentes des autres et de la société, qui finissent par teinter nos actions, nous vivons enfin pour nous-mêmes, selon nos besoins et envies personnels. 

Être fidèle à soi-même

Un travail sur soi est bénéfique pour surmonter la dépression, car il vous permettra de découvrir qui vous êtes vraiment et de prendre des décisions en conséquence, pour être fidèle à vous-même et ne plus vous trahir sans le savoir. 

Apprendre à s'écouter, à se connaître n'est pas facile, mais c'est une étape nécessaire dans la guérison de la dépression. 

Se sécuriser à l'intérieur

Pour reprendre confiance en soi, il est important de réaliser des activités ayant pour but de vous structurer, de vous solidifier à l'intérieur. Le sport, qui libère énormément d'endorphines (hormone du bien-être) est une excellente solution, mais vous pouvez aussi réaliser des activités de conscience corporelle, telles que du yoga, du tai-chi, de la méditation pleine conscience... Ces activités seront un excellent complément à un suivi psychologique. 

Photos : Shutterstock

Pour en savoir plus sur la confiance en soi après une dépression, découvrez ce qu'en disent les psychologues ! 

Les informations publiées sur Psychologue.net ne se substituent en aucun cas à la relation entre le patient et son psychologue. Psychologue.net ne fait l'apologie d'aucun traitement spécifique, produit commercial ou service.

Psychologue.net

Moi aussi je viens de surmonter une depression de 4 ans et j'ai 24 ans je vais bien mais le problème est que j'ai peur de faire certains chose car cette manque de confiance en moi me paralyse vraiment.Je m'isole pas et je parle bien à l'école mais j'hésite vraiment de me montrer et de jouer avec les filles de ma classe

Bonjour, Je suis sortie de la dépression mais je sens que ça m'a laissé des séquelles. Je manque de confiance en moi, pourtant j'ai repris ma vie en main , j 'ai fais le choix de me reconvertir professionnellement. Je passe de facteur d'équipe et décoratrice d’intérieur. un métier de création , de liberté , d'autonomie, avant ma dépression je sais que j'aurais assumé mes choix décoratifs mais aujourd'hui c'est compliqué, ma formation est par correspondance mais j'ai beaucoup de mal a montrer mon travail a mon entourage. et en contrepartie j'envoie la moindre avancée a l'équipe pédagogique pour qu'elle valide a chaque fois , je n'arrive pas a envoyer un travail sens leur approbation. J'ai ma voisine qui m'a demandé de bosser pour elle , elle veut refaire sa salle de bain. J'ai des idées mais j'arrive pas a avancer je recule tout le temps sous de faux prétexte car j'ai peur de me louper. Merci d'avance pour votre réponse cordialement cindy

Merci pour toutes les informations concernant la dépression

Article révisé

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essayer de tout controler

Pratiquer le lâcher prise pour être libre de créer son bonheur

  • novembre 9, 2019

essayer de tout controler

Accepter les choses qu’on ne peut pas changer. Bien souvent plus facile à dire qu’à faire. Mais si je vous disais qu’apprendre à lâcher prise mène à la liberté ?

Seriez-vous prêt à tenter le coup et à relâcher ce qui ne vous sert plus ?

Le lâcher-prise demande une bonne dose de courage.

Néanmoins, apprendre à se détacher des choses sur lesquelles nous n’avons aucun contrôle est une étape essentielle.

Dans cet article, nous verrons :

  • C’est quoi le lâcher-prise
  • Comment faire pour accepter une situation
  • Comment lâcher prise au travail
  • Et 2 exercices pour lâcher prise plus facilement au quotidien

Plongeons au cœur du sujet !

C’est quoi le lâcher-prise ?

Lâcher prise, c’est se donner des moyens pour relâcher nos croyances limitatives .

Aussi, les vieux concepts des générations passées qui ne s’adaptent plus à nous, pour devenir un être libre de créer son bonheur.

Nous vivons constamment pour les autres.

Nous voulons bien faire pour satisfaire nos parents, nous voulons être parfaits pour garder nos amis, nous désirons être appréciés de tous.

Pour cela, nous montrons une image de nous qui n’est pas vraiment qui nous sommes.

Lâcher prise c’est avant tout faire confiance en la vie et en ce que l’Univers nous réserve. Ne pas essayer de tout contrôler, avoir toujours foi, et considérer toutes les expériences comme des cadeaux sur notre chemin.

C’est aussi comprendre que l’échec n’existe pas, qu’il n’existe que des expériences, et peu importe le résultat celui-ci nous fera avancer.

Ainsi, lâcher-prise c’est ne pas être dans l’attente et s’attacher aux résultats. Alors même si aux yeux des autres notre projet est un « échec », dans notre cœur il restera une expérience concluante.

Finalement lâcher-prise c’est vivre dans l’acceptation totale de ce qui est.

C’est ne rien retenir, car retenir revient à s’attacher et s’enfermer. C’est apprendre à se détacher d’une personne au besoin.

Lâcher prise c’est se libérer !

Comment faire pour accepter une situation ?

Avoir le courage de changer ce qui peut l’être, accepter avec sérénité ce qui ne le peut pas et posséder le discernement nécessaire pour faire la différence entre les deux. – Reinhold Niebuhr, théologien protestant

Accepter, c’est être capable de traverser des événements pénibles sans nous y opposer constamment . C’est aussi pouvoir se dire, par exemple: « J’accepte qu’une personne ait une opinion peu favorable de moi. » .

« Je constate que je ne peux pas changer le passé: il est donc plus utile d’arrêter de me battre. »

« J’essaie de voir les choses d’une manière plus positive. »

« Je peux trouver des aspects positifs à travers mes désagréments. »

Plus précisément, l’acceptation consiste à reconnaître l’existence d’un événement difficile, d’une émotion comme la colère.

C’est d’être capable de ne pas les juger continuellement.

essayer de tout controler

Comment lâcher prise avec le travail ?

Comment lâcher prise quand les relations au travail sont conflictuelles ?

Que vous avez des difficultés à travailler avec votre patron ?

Voici 5 étapes simples à essayer dès maintenant :

1— Identifier le problème

Quelle est la situation qui vous perturbe, vous blesse, vous inquiète ou vous stresse ?

Ce peut être une relation avec un collègue ou un supérieur, un dossier dans votre travail, un problème qui affecte votre santé.

2— Identifier le ressenti

Prenez pleinement conscience de ce que vous ressentez.

Quelles sont les sensations physiques ?

Ne refoulez pas ce que vous ressentez. Laissez ce sentiment ou cette émotion pleinement envahir votre corps et votre esprit.

3— Accepter la situation

L’acceptation de la situation est une clé essentielle du lâcher prise.

Cela signifie accueillir et recevoir ce qui est en arrêtant de s’épuiser et de lutter contre ce qui se passe.

Acceptez ce que vous vivez et lâchez les émotions négatives qui vous affectent.

4— Se détacher de la situation

Si vous n’arrivez pas à déconnecter, vous devez occuper votre mental pour le libérer.

Vous pouvez marcher dans la nature, aller au cinéma, aller faire du magasinage, aller vous faire masser, pratiquer un sport ou une activité manuelle.

Ainsi, vous serez détendu et vous aurez l’esprit clair pour être en contact avec vous-même.

5— Lâcher prise

Maintenant vous avez cessé de vous battre ou de vouloir tout contrôler.

Vous avez libéré votre mental et vous êtes dans le « ici et maintenant » , vous allez pouvoir lâcher prise.

Connectez-vous à votre monde intérieur et faites comme si la situation ou le problème qui vous préoccupe était résolu.

essayer de tout controler

Deux exercices pour lâcher prise plus facilement au quotidien

Vous aurez compris que le lâcher-prise, c’est se libérer de nos peurs et de nos résistances intérieures.

Tout ça dans le but d’accueillir de nouvelles sensations, pour changer notre mode de pensée et pour évoluer. C’est la liberté d’être soi-même et de nager dans le sens du courant.

1er exercice : danser, chanter et rire pour lâcher prise

Dans son best-seller « Cessez d’être parfait, soyez vous-même », la chercheure et professeure de l’Université de Houston au Texas, Brené Brown , est catégorique.

Selon elle, nous avons le chant, la musique et le rire en nous, et ce depuis le plus jeune âge. Seul problème, quand on devient adulte nous avons de plus en plus de mal à « prendre le risque de se montrer vulnérable en public » pour reprendre ses termes.

Or, oser danser, chanter ou rire, c’est oser laisser échapper quelque chose de soi.

La solution pour lâcher-prise ?

Danser seul ou accompagné ; chanter seul, dans la voiture ou en karaoké ; et accepter de rire un peu plus, pour un oui ou pour un non. Diaphragme décrispé et mâchoire détendue garantis !

2e exercice : se créer un « geste signal » pour lâcher prise

Dans son ouvrage « Se relaxer en 5 minutes par jour », Estelle Pouchelon évoque l’un des classiques en sophrologie.

Elle parle du geste signal » soit un petit geste, une parole ou un souvenir préalablement associé à un moment positif et que l’on va déclencher quand ça ne va pas.

Une sorte de bulle dans laquelle on ira se plonger si l’on ressent la moindre tension.

Pour cela, il est important de visualiser un moment, une odeur ou un objet qui nous apporte une réelle joie.

À force de répétitions, notre cerveau finira par intégrer ce moment de bien-être et sera déclenché dès qu’on le sollicitera pour aller mieux.

S’agripper à quelque chose qui nous empêche d’avancer, c’est comme ramer pour prendre le large sans avoir détaché le bateau.

Marie Pier Deschenes

Marie Pier Deschenes

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Le contrôle ou l’illusion de la maîtrise : apprenez à lâcher prise

Débordé, stressé, trop de choses dans la tête, devoir toujours tout anticiper, tout prévoir, à penser pour deux, à faire les choses pour tout le monde, impossible de faire une pause, se réveiller plusieurs fois la nuit parce qu’il y a encore ça ou ça qui cogitent dans votre tête, l’impression de forcer tout le temps, que la vie est compliquée, et quand la pause s’impose, quand le corps dit stop ou quand les RTT arrivent … BOOM ! Le contrecoup est là,  malade en vacances ou déçu de ne pas profiter de l’instant présent car votre mental prévoit déjà la rentrée : lessives, courses, devoirs, clients, dossiers, … C’est comme si c’était plus fort que vous, comme si votre mental vous contrôlait… Et pourtant il existe vraiment des personnes qui n’ont pas besoin de faire tout ça. Elles arrivent à vivre sans se prendre la tête. En famille, entre amis, au travail, tout se fait tellement naturellement ! Eh oui, au fond, vous aimeriez tant que ce soit plus simple, fluide, plus besoin d’avoir les yeux de partout en permanence, enfin pouvoir profiter de l’instant présent à chaque seconde, en bref lâcher-prise … …

Pourquoi est-ce que le contrôle limite votre esprit, votre lâcher-prise et votre épanouissement ?

Notre culture, notre éducation et notre histoire nous ont amené à penser de manière très scientifique, pragmatique et cartésienne . Jusque-là, rien d’anormal, me direz-vous ! Notre évolution se faisant perpétuellement, nous sommes arrivés aujourd’hui à un besoin d’évoluer encore qui est la nécessité de se reconnecter, se recentrer sur la partie humaine qu’il y a en chacun de nous. En effet, notre côté scientifique nous a poussé à aller tellement loin dans l’analyse et la logique que nous nous sommes coupés de notre propre nature…, à savoir les émotions et la sensibilité humaine . Eh oui, une émotion n’a rien de logique, au grand désarroi de notre mental et de notre ego… Finalement, l’être humain n’arrivant pas à comprendre de manière cartésienne les émotions, il a décidé de se couper de ces dernières en mettant un gros couvercle dessus afin de les oublier. Bien évidemment, cette technique a ses limites et je pense que cela paraît logique de dire que de mettre un problème de côté ne le résout pas. Et pourtant, l’Homme s’obstine toujours à essayer de contrôler mentalement et de manière logique ses propres émotions… En réalité, en essayant de contrôler, il ne fait qu’aggraver le problème, sauf que l’on a fondamentalement l’impression d’aller mieux en ayant ce comportement. Et c’est là qu’est le problème. Pour mieux comprendre, revenons aux fondamentaux et prenons la définition dans le Larousse du mot « contrôler » = « dominer, contenir ses propres réactions, diriger un phénomène, avoir sous son autorité, obliger, forcer, imposer, verrouiller ». Aïe aïe aïe… Si je comprends bien, on est très loin de la fluidité et de la simplicité, loin de s’écouter et d’être attentif à ce qu’il se passe en nous-même, et encore moins d’accepter et d’autoriser quelque chose…

Premier constat : le contrôle, c’est surtout essayer d’être un dictateur dans votre vie, dans vos actions, dans vos pensées, dans votre corps, avec les autres et avec vous-même. Le contrôle ne permet donc pas d’aller dans la profondeur des choses car il n’y a pas d’acceptation, mais juste des obligations et des devoirs, avec vos formulations favorites : « Il faut que, je dois que… ». Les choses mises en place avec le contrôle ne sont que superficielles. « Attention, ça y est, les premiers boucliers du mental se lèvent et l’ego bloque tout… Ah ah ! Allez, respirez un bon coup et continuez la lecture. Tout va bien se passer. »  😉

Deuxième constat : même si le mental bloque les émotions, il est nécessaire de comprendre qu’un être humain est avant tout un être émotionnel. En effet, le côté rationnel est développé grâce à l’école. Regardez la spontanéité de vos enfants. Donc, en contrôlant vos émotions ou plutôt en les gardant à l’intérieur de vous-même, vous devenez une vraie bombe à retardement … Vous savez les remarques que l’on se fait à soi-même ou que votre entourage exprime : « prends sur toi, ne dis rien, incompris, frustré, en colère, triste, déprimé, … ». Bravo, vous venez de créer ce que j’appelle l’effet « cocotte-minute » : je prends sur moi, je monte en pression plus ou moins rapidement, pour en arriver à exploser une fois que la fameuse et célébrissime goutte d’eau a fait déborder le vase pour finalement détruire, blesser et violenter tous ceux que vous aimez le plus et surtout vous-même… et avec bien sûr les regrets et la culpabilité qui vont bien après… «  Ah je vois que vous connaissez ! Respirez de nouveau et reprenez la lecture. » 😉

Troisième constat :  pourquoi avoir besoin d’avoir en permanence 100% des informations ? Que va-t-il se passer si l’inconnu se présente ? Que pourrait-il vous arriver si un impondérable apparaissait, si tout ne se déroulait pas comme prévu ? Pourquoi devez-vous toujours anticiper le pire tout le temps ? Franchement, vous croyez que vous n’allez pas réussir à y faire face ? C’est ça ??? Ecoutez votre petite voix intérieure ! Soyez vraiment attentif. Que vous dit-elle franchement et honnêtement ? « Faites une pause ici !!! Plongez dans vos pensées ! Prenez quelques minutes pour apprendre à vous écouter avant de reprendre la lecture. »

Et oui, il y a le doute, les questions, l’angoisse, le stress, jamais vraiment sûr de soi et le piège de penser au pire qui prend le dessus,… Normal, me direz-vous ? Et bien je vous répondrais que non ! Car la réalité qui se cache derrière votre attitude est, tout simplement, que vous manquez de confiance en vous ! En effet, la confiance permet de savoir que oui le risque zéro n’existe pas, mais que si un imprévu arrive, vous pourrez y faire face et que, dans le pire des cas, vous saurez rebondir et aller de l’avant . «  Allez, laissez passer de nouveau votre mental qui va peut-être nier pour essayer de se mentir à lui-même et de ne rien changer à la situation… Respirez de nouveau, nous arrivons à la fin de l’explication. Rien n’est perdu car tout est modifiable chez l’être humain ! Ouf ! »  J

Pour récapituler : le contrôle vient de :

  • Un mental scientifique et cartésien trop puissant, qui reste en surface
  • Un manque total d’écoute et de connaissance de soi
  • Un manque cruel de confiance en soi

« Ah voilà, c’est mieux, nous y voyons plus clair, cherchons maintenant comment faire pour changer votre comportement. »

Contrôle, gestion, maîtrise et lâcher prise ?

La clef pour sortir de ce piège est d’apprendre à « gérer » les choses. Certes, dans le langage courant, les mots « gérer », « contrôler » et « maîtriser » sont souvent utilisés comme des synonymes, mais en réalité, ils sont bien différents. Retournons dans le Larousse : – « Gérer » = « assurer la gestion, accepter, organiser, guider, manager, administrer » – « Maîtriser » = « pouvoir user à son gré d’un savoir, d’une technique, sûreté de l’exécution dans un domaine, exploiter, surmonter, dompter et enfin lâcher prise en toute sécurité »

Que se passe-t-il lorsque vous gérez vos émotions, vos actions et votre vie, plutôt que de contrôler ?

Le résultat final sera qu’enfin, vous pourrez maîtriser quelque chose. Le contrôle est une illusion de la maîtrise ! Par exemple, comme vous n’êtes pas à l’écoute de vous-même, vous restez toujours en surface des choses et vous vous faites auto-manipuler par vos propres émotions. « Dommage… ». La gestion commence toujours par l’acceptation, puis par la prise en compte de tous les éléments de la situation, pour finalement trouver des solutions pour avancer dans la direction que vous voulez, et le tout de manière fluide et naturelle.

Sortir du « contrôle » pour apprendre « gérer », lâcher prise et savourer ?

  • Accepter vos émotions et la situation présente ( « Je sais, cela peut faire peur, mais je sais que vous pouvez y arriver ! Oui oui, c’est possible ! »)
  • Faites une pause, prenez du recul et observez la situation pour prendre en compte tous les éléments présents (même ceux qui ne vous arrangent pas)
  • Définissez votre objectif (ce que vous voulez obtenir ce que vous voulez éviter)
  • Réfléchissez aux solutions pour faire face à la situation et avancez vers votre objectif. Et pour sortir des idées reçues par rapport aux émotions : il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises émotions. La réalité est qu’elles ont toutes les 2 facettes : positive et négative. Il vous suffit donc de choisir comment les exploiter !
  • Atteignez ce que vous voulez en lâchant prise et en étant fier de vous  !

Une fois que vous saurez gérer, vous pourrez enfin passer à la case « Maîtriser » : vivre n’importe quelle situation en étant à l’écoute de vous-même, la définition de vos désirs sera naturelle, les solutions vous apparaîtront plus spontanément et tout sera fluide grâce à la confiance en vous.

Exercice pour apprendre à sortir du contrôle et lâcher prise :

Plus concrètement, voici un exercice pour que vous appreniez à gérer, puis maîtriser, votre être. Grâce à cet exercice, vous pourrez agir, en toute sécurité, sur les fondations de vos décisions et donc de votre vie, pour créer un épanouissement solide et durable dans le temps : voir la page suivante.

Mode d’emploi :

  • Lisez en entier une première fois tout l’exercice pour l’avoir en tête. Si besoin, enregistrez-vous.
  • L’exercice commence par la création, dans votre imagination, d’une tour d’observation pour prendre du recul.
  • Puis, cherchez dans votre passé des souvenirs positifs pendant lesquels vous aviez confiance en vous.
  • Et enfin, créez un bouton qui déclenche la prise de recul et la confiance en vous automatiquement (cela s’appelle un ancrage).

1- Préparation : Définissez une durée précise (ex : 15min) et un objectif précis (ex : apprendre à gérer vos émotions, avoir plus confiance en vous, …). Installez-vous dans un endroit calme, dans une posture agréable et fermez les yeux.

2- Détendez-vous : Prenez 5 grandes respirations profondes pour vous détendre et relâcher votre corps.

3- Construisez votre tour : Commencez par imaginer une tour d’observation sur laquelle vous pouvez grimper pour vous y installer. Cette tour peut être aussi une montagne, un arbre, une maison, une cabane, un immeuble, … tout ce qui vous permet de prendre de la hauteur.

4- Prenez du recul : Une fois construite, installez-vous tout en haut de votre tour et profitez de la vue : respirez tranquillement, prenez votre temps, contemplez, savourez, lâchez-vous, libérez-vous ! Vous êtes en sécurité car c’est vous qui pilotez tout ce qui se passe en vous. Soyez juste à l’écoute de vous-même.

5- Savourez : Prenez autant de temps que nécessaire. Ça y est, vous êtes dans l’instant présent. Même s’il y a des pensées ou autres choses qui passent dans votre esprit, observez-les, en étant détaché et distant. Acceptez ce qui se passe, constatez la prise de recul dans laquelle vous êtes et vous verrez que vous aussi, vous êtes capable de créer le bien-être en vous !

6- La confiance en soi : Maintenant, voyagez dans votre passé pour aller chercher tous les souvenirs dans lesquels vous étiez très confiant, sûr de vous, dans lesquels vous aviez réussi à atteindre ce que vous souhaitiez : souriant(e), heureux(se), fort(e) et puissant(e). Laissez-vous porter par votre esprit car tous les souvenirs sont là. Il y en a tellement, aussi bien conscients qu’inconscients. S’il y a des émotions, acceptez-les, c’est normal, vous êtes humain.

7- Savourez et lâchez prise : Prenez autant de temps que nécessaire. Ça y est, vous êtes dans l’instant présent. Même s’il y a des pensées ou autres choses qui passe dans votre esprit, observez-les, en étant détaché et distant. Le lâcher prise vous envahi. Acceptez ce qui se passe, constatez que vous êtes en train de vous remplir de confiance en vous et vous verrez que vous aussi vous êtes quelqu’un d’extraordinaire. Ressentez-le et vivez-le maintenant !

8- Créez votre bouton automatique : maintenant que tout est mis en place et fonctionne, vous pouvez créer votre bouton pour que vous puissiez très rapidement revenir dans cet état de bien-être, de recul, de confiance et de sécurité. Ce bouton peut être une image, un son, une odeur, une action, un mouvement, une musique, un mot, … tout ce qui peut vous permettre de créer un déclic dans votre esprit. Plus c’est personnel, délirant et amusant, plus cela marchera facilement et longtemps.

9- Savourez : Pour finir, prenez autant de temps que nécessaire. Profitez vraiment de cet état de bien-être. La lâcher-prise est là naturellement. Installez-le définitivement en vous pour passer une agréable journée. Et maintenant, revenez tranquillement à vous, en sachant que cet état de bien-être ne vous quittera plus ! Chouette ! Réactivez tous vos muscles et tous vos neurones pour vous retrouver en pleine forme et totalement présent. Vous pouvez être fier de vous ! Bravo ! Ouvrez les yeux !

Nota : après cet exercice, il est possible de ressentir de la fatigue, des douleurs ou encore des sautes d’humeur. Si tout cela arrive, bravo, c’est signe que vous êtes en train de créer des changements en vous. C’est comme ça que votre être fait le ménage. Ce sont des messages qui indiquent que vous évoluez vers d’autres habitudes avec d’autres repères meilleurs pour vous. Donc tout va bien se passer, rassurez-vous ! Vous n’aurez qu’à accepter et savourer l’état de bien-être qui arrivera ensuite. Vous verrez !

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Sylvain Viens

Le surcontrôle, un comportement à combattre de toute urgence

Combattre le surcontrôle, un ennemi de l'épanouissement.

Ci-dessous, je te livre la transcription de cet épisode « Pourquoi le sur-contrôle est l’ennemi de ton bien-être ». Je te conseille l’écoute audio mais si tu préfères lire…

Le surcontrôle: pourquoi le combattre ?

Sais-tu que 90% des gens pensent qu’en contrôlant au maximum leur vie, ils seront épanouies?

Malheureusement, ces gens suivent la mauvaise route, elle les mènera directement à une destination opposée au bonheur ?

Imagine que tu viennes de monter dans une montgolfière, et que malgré que le brûleur tourne à pleine régime, que les conditions météo soient bonnes, tu ne décolles pas du sol. En examinant la situation d’un peu plus près, tu remarques qu’à la nacelle est accroché un gros sac qui semble très lourd, et sur lequel il est noté « le sur-contrôle ».

Dans cet article, je vais te donner des conseils pour combattre le surcontrôle, et arriver à prendre de la hauteur.

Beaucoup pensent que surcontrôler sa vie est une bonne chose

Peut-être que comme la majorité des gens qui t’entourent, Tu aimerais naviguer sur un long fleuve tranquille, ou dans un ciel sans nuage Tu aimerais vivre une vie dans laquelle tu saurais gérer toutes les situations et où tu n’aurais aucune mauvaise surprise Et c’est pourquoi tu as cette envie de tout contrôler autour de toi.

Pourquoi combattre le surcontrôle ?

Comme la comparaison à l’autre ou l’envie de remplir constamment ta vie , le besoin d’avoir l’impression de gérer tout ce qui t’arrive est un comportement qui est très répandu mais qui malheureusement est très néfaste.

Tu vas comprendre pourquoi ce comportement est à corriger de toute urgence car il génère du stress, de la colère, de grandes frustrations Et il t’empêche de profiter de belles surprises que la vie pourrait t’apporter.

Pourquoi avons-nous envie de tout contrôler ?

Pour se rassurer.

La première idée qui me vient en tête est le besoin naturel de se rassurer. Le changement , l’incertitude, ça fait peur ! Par défaut, notre cerveau cherche avant tout à nous faire survivre. Il considère la moindre surprise comme un cadeau empoissonné, et il cherche donc à l’éviter. 

Quand tu surcontrôles ta vie, tu penses que rien de mal ne peut arriver car tout est sous-contrôle or si tu y réfléchis un peu, tu sais que ça ne change pas grand chose.

L’envie de ne pas subir sa vie

La deuxième idée, d’après moi, est que l’on a pas envie de subir sa vie, ce qui est plutôt un bon état d’esprit si l’on sait où placer ses efforts. Quelqu’un qui a l’impression de n’avoir aucun contrôle de sa vie peut se sentir à la merci du Monde. Et si par malheur, cette même personne n’est pas optimiste et plutôt méfiante, elle considère que le monde lui veut du mal. C’est pourquoi elle veut éviter toutes les situations incertaines et donc elle cherche à contrôler tout son environnement : les situations et les personnes qui l’entourent.

Si elle ne le fait pas, elle aura l’impression de subir sa vie avec toutes les souffrances que cela peut lui apporter.

Ne pas confondre responsabilité et surcontrôle ?

Comprendre ce que tu peux contrôler.

Si tu m’écoutes souvent, tu peux te dire :

C’est bizarre, Sylvain nous parle souvent de responsabilité donc c’est plutôt pas mal d’avoir cette envie de contrôle

Mais ici, la nuance se situe au niveau de ce que tu veux contrôler: Contrôler ton alimentation, contrôler ton sommeil, contrôler tes habitudes, c’est vraiment bien (en faisant cela, tu contrôles ta vie, tu exerces un contrôle volontaire et interne sur toi).  Attention toute fois à ce que ce contrôle devienne problématique et se transforme en exigences extrêmes.

Ne cherche pas à contrôler l’extérieur

Mais dans cet épisode, je te parle de contrôle externe, donc à priori sur des choses que tu ne peux pas contrôler et malheureusement, c’est un réflexe qu’ont beaucoup de gens. Ils se trompent simplement de cibles.

Alors pourquoi le surcontrôle rend-il malheureux ?

On ne peut pas simplement tout contrôler.

La première explication est très simple, on ne peut pas tout contrôler, c’est ce que je viens de t’expliquer. Dans ta vie, certains paramètres sont invariables ou tu n’as tout simplement aucun moyen de les faire évoluer donc t’épuiser à essayer de le faire n’est pas une bonne idée.

Par exemple la météo,

Comme tout le monde, tu aimerais passer des vacances ensoleillés et pourvoir randonner si tu es à la montagne ou surfer si tu es à la mer. Mais malheureusement, tu ne contrôles pas la météo, tu ne peux pas jouer sur l’ensoleillement ou la présence de houle dans l’océan. Et ce n’est pas en vérifiant les prévisions météorologiques toute la journée que ça y changera quelque chose.

Si tu essayes quand même

la seule chose que cette surveillance crée, c’est de l’anxiété et de l’énervement pour quelque chose sur laquelle tu n’as aucun impact, aucun contrôle. En revanche, ce que tu peux contrôler c’est peut-être d’avoir une tenue de pluie dans ton sac, ou d’avoir un bon bouquin pour patienter sur la plage le temps que la houle se réveille.

Donc cette envie de contrôler des choses sur lesquelles tu n’as aucun pouvoir, créent de l’anxiété, du stress et de la frustration.

Le surcontrôle rend perfectionniste

Le second problème de ce surcontrôle est que ça rend perfectionniste et que la moindre décision est un calvaire.

Si tu veux faire quelque chose, ou décider de quelque chose et que tu veux que ce « quelque chose » soit parfait. Souvent, malheureusement tu ne feras rien. car ne rien faire, c’est meilleur moyen de ne pas subir de critique ou d’auto-critiques si tu n’as pas réglé son compte à cette petite voix, à ce petit juge.

c’est aussi le meilleur moyen de ne pas subir d’échec si tu n’as pas adopté l’état d’esprit qui va bien, à savoir, que derrière chaque échec se cache une leçon.

Bref, quand tu veux tout contrôler, que tu veux que toutes tes décisions soient optimales, tu prends le risque de ne rien faire.

Par exemple, ce que je contrôle sur cet épisode

Par exemple, quand je publie cet épisode, ce que je peux contrôler: c’est la qualité de mon contenu La longueur de l’épisode Le design de ma jaquette,

En revanche, je ne peux pas contrôler le nombre d’écoutes ou de lectures, l’idée que tu vas t’en faire, ton envie de m’écouter jusqu’à la fin,…

le surcontrôle crée des conflits avec l’entourage

Le troisième problème de ce surcontrôle est que tu risques de créer des conflits avec ton entourage. Je t’ai déjà dit plusieurs fois qu’il ne faut pas chercher à faire changer les gens, Tu peux être un modèle pour eux et leur donner envie de changer, mais tu ne dois pas, essayer de les faire changer, essayer de les modifier pour qu’ils correspondent à ceux que tu aimerais qu’ils soient.

Tu essayes quand même de contrôler les autres !

Il y a deux cas, tous deux négatifs d’où l’intérêt de combattre ce surcontrôle.

  • Le premier cas, ils font réellement ce que tu leur demandes . Tu as donc réussi à ce qu’ils réagissent de la manière dont tu voulais. Tu as agi sur leur comportements, mais en leur retirant leur libre arbitre, en les empêchant de faire ou de penser ce qu’ils veulent, Tu leur retires aussi leur autonomie car tu leur expliques ce qu’ils doivent faire et comment ils doivent le faire. Tout ça crée de la frustration chez eux, de l’amertume envers toi et donc il est alors très difficile d’établir ou de maintenir de bonnes relations avec ces personnes.
  • Dans le deuxième cas, tu as toujours voulu les contrôler mais ils ne t’ont pas écouté et là, c’est toi qui ressens une grande frustration , voire un colère vis à vis d’eux car tu ne comprends pas pourquoi ils ne suivent pas tes recommandations.

Quand je t’explique ce comportement, tu penses peut-être à ton manager, et là tu viens de comprendre pourquoi tu ne te sens pas bien à ses cotés. L’autonomie est un des axes majeurs d’épanouissement professionnel, mais ce sera le sujet d’un autre podcast. Si ton boss est dans le surcontrôle de ses équipes, qu’il tient à vérifier tous tes dossiers, voire relire tous tes mails, tu ne peux que sentir de la frustration.

Maintenant, si c’est toi le ou la manager, tu viens peut-être de comprendre pourquoi tu n’arrives pas à déléguer, car ça te donne l’impression de perdre l’emprise sur la qualité des tâches dont tu es responsable, et tu viens peut-être de comprendre pourquoi tu ressens un grand stress professionnel.

Donc laisse aux gens qui t’entourent leur autonomie, ils apprendront quelques fois à leur dépend mais c’est mieux comme ça. Tu verras que si les décisions sont prises ensemble, grâce à des échanges, tout le monde sera bien plus heureux et épanouis.

La surcontrôle crée de la charge mentale

La quatrième conséquence est cette dose de stress et la charge mentale que cela génère.

Tu t’en mets plein la tête

A chaque situation, il y a un nombre considérable de chose à gérer et même si tu ne penses qu’à une infirme part de ces variables. Tu t’en rends malade avec les conséquences sur ton état physique, ton sommeil, ton état émotionnel et sur tout le reste.

Si à chaque réunion… Tu te poses la question de tous les aspects logistiques, la présences des gens, leurs disponibilité mentale, les questions qu’ils ou elles pourraient te poser, les problèmes que tu pourrais rencontrer, imagine ce que peut être ta charge mentale et le stress que cela génère en toi.

Si à chaque choix de logement estival Tu te poses la question de la localisation, de la proximité des voisins, des potentielles nuisances sonores, de la probabilité que le temps soit sympa, que le syndicat d’initiative propose des activités, que la route pour t’y rendre ne soit pas trop encombrée…

Tu as du constater que j’ai beaucoup d’aisance à illustrer ce sujet. J’ai fait ça tant d’années que je pourrais continuer comme cela pendant des heures. Il y a encore 4/5 ans, le moindre changement de programme me faisait avoir des insomnies.

Mais alors, comment combattre ce surcontrôle ?

Quelles solutions pour arrêter de tout surcontrôler .

Déjà là, tu viens de comprendre, tu as pris conscience de la négativité de ce comportement, le stress, la charge mentale, les conflits relationnels, or cette prise de conscience est toujours la première étape d’un apprentissage.

J’ai plein de conseils à te proposer mais le principal, c’est le lâcher prise.

Comment lâcher prise ?

Super Sylvain, tu crois que c’est facile, lâcher prise c’est un peu capituler, non ?

Ne t’inquiètes pas, je reviens rapidement pour t’en dire plus.

Les autres moyens de lâcher prise

Ce sera le sujet du prochain épisode qui arrivera dès mardi prochain. Je t’y expliquerai comment identifier les domaines que tu peux réellement contrôler. Et pour les autres, je te donnerai des conseils pour lâcher, pour réussir à accepter les situations sans que ces dernières t’écartent du bonheur.

En attendant cet épisode, jeudi, dans la newsbetter, je te proposerai des questions à te poser pour déjà prendre conscience des situations ou tu es en mode « surcontrôle ».

Pour aller plus loin sur le sujet, je te conseille de t’abonner à la newsBetter afin de recevoir mes conseils sur ces différents thèmes.

Si tu m’écoutes sur Apple Podcast ou Itunes , tu peux aussi me laisser un avis 5* et surtout un commentaire.

N’hésite pas à me faire un retour , c’est avec grand plaisir que j’y répondrai. Bonne écoute et arrête de surcontrôler ta vie !

Les épisodes que tu as peut-être loupés...

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À moins que nous ne travaillions dans une entreprise libérée (très libérée), notre métier de manager veut que nous assumions des responsabilités et l’atteinte des objectifs. Nous ne sommes pas seuls pour mettre en place les actions. Cependant, au moment de rendre des comptes, nous devons prendre la parole et assumer. Cette pression constante nous pousse à vouloir tout contrôler. Cela nous rassure. En effet, nous pensons que cela contribue au succès de notre projet ou de notre business.

Cependant, vouloir tout contrôler est épuisant. Nous devons être sur tous les fronts et passer du temps à revoir en détail chaque action. Les journées ne durent que 24 h et nous avons aussi une vie familiale à mener. Le burn-out se rapproche et il n’est pas rare de vivre des périodes où nous voulons tout lâcher.

Il y a quelque temps, j’écrivais et publiais un article «  Ne rien lâcher : tout un art !  ». En effet, il est essentiel de toujours avancer pour attendre ses objectifs. Cependant, je pourrai ajouter un point aujourd’hui : pour ne rien lâcher, il faut apprendre à lâcher prise à bon escient. Qui veut voyager loin ménage sa monture. Pour aller loin, il faut savoir lâcher prise et prendre soin de soi. Voici, selon moi, 5 points fondamentaux pour apprendre à lâcher prise.

Vouloir tout contrôler

1 – Ne pas oublier le 20/80

La loi de Pareto est désormais bien connue, mais il ne faut pas l’oublier. Surtout, il faut l’appliquer pour apprendre à ne plus vouloir tout contrôler. Sachant que 20 % de nos actions rapportent 80 % de nos résultats, nous en déduisons que 20 % de nos contrôles garantissent 80 % de sécurité sur notre projet. Peu d’erreurs de nos employés ont vraiment un impact sur le projet ou notre business. Alors, il est nécessaire de bien cibler nos contrôles. Pour le reste, laissons tomber.

Timothy Ferriss raconte extrêmement bien dans son livre «  La semaine de 4 heures  » comment en lâchant complètement prise sur son entreprise, il a fait décoller son business. Il est parti en Europe laissant ses employés gérer son entreprise. Les résultats étaient tellement bons qu’il resta plus longtemps que prévu en Europe.

En réalité, posons-nous une question : « Si je lâche tout, qu’est-ce qui va s’écrouler ? » La réponse est simple : pas grand-chose. Si certaines choses ne tournent plus en notre absence, nous connaissons nos nouvelles priorités. C’est un peu le principe de « Jetons tout sur un mur et regardons ce qui reste collé ». Lâchons tout et voyons ce qui coince. Nous aurons ainsi une belle vision de nos priorités.

2 – Un manager maitrise l’art de se rendre inutile

Je vais aller plus loin pour apprendre à ne plus vouloir tout contrôler et à lâcher prise. Si, lorsque nous jetons tout contre un mur et que certaines choses restent collées, finalement, nous n’avons pas terminé notre job . Le rôle d’un manager est de déléguer, d’organiser, de donner les moyens de réaliser les objectifs, mais pas de faire.

Certes, nous pouvons faire et produire concrètement, mais selon moi cela doit être fait dans un cadre managérial : si nous faisons, si nous produisons, c’est pour être avec nos équipes, pour développer la cohésion du groupe, pour être exemplaire et pour donner un coup de main dans les périodes de rush. Si nous faisons pour compenser des problèmes d’organisation, de productivité ou encore de la démotivation de certains, nous ne sommes pas pleinement efficaces.

Un bon manager doit savoir être inutile. C’est-à-dire que pendant son absence, le travail est bien fait. Cela signifie que chacun connait son rôle, ce qu’il doit faire et qu’il a les moyens d’atteindre ses objectifs. Le rôle principal d’un manager est donc de savoir lâcher prise pour s’assurer que tout fonctionne. Il faut donc maitriser l’art de savoir se rendre inutile !

Yvon Chouinard (le fondateur de l’entreprise californienne Patagonia), dans son livre «  Homme d’affaires malgré moi – confession d’un alter-entrepreneur  » parle souvent de management par l’absence. En effet, quitter l’entreprise lui permettait de prendre du recul par rapport à son entreprise et ainsi de revenir avec beaucoup d’idées. De pus, il en profitait pour tester les produits que Patagonia vend. Enfin, laisser ses employés travailler sans les contrôler est une des meilleures preuves de confiance qu’il soit.

3 – Avoir confiance en l’autre

Finalement, comme l’exemple d’Yvon Chouinard l’illustre, lâcher et arrêter de tout vouloir contrôler, c’est montrer toute la confiance que nous avons en nos équipes. En effet, initialement, qu’est-ce qui pourrait bien pousser nos équipes à vouloir tout faire foirer et à saboter l’entreprise : rien. La plupart des personnes sont de bonne foi et cherchent à faire leur maximum. Effectivement, pendant longtemps, la théorie X, qui considère que l’être humain n’aime pas travailler, a dominé la pensée des managers. Finalement, une nouvelle théorie « Y » change les perceptions. L’homme serait en réalité fait pour naturellement travailler et donc faire des efforts physiques et mentaux. Et même si certaines personnes sont en difficulté, il faut faire attention à ne pas tomber dans le management des 3 %, c’est-à-dire de mettre des règles pour tout le monde alors que juste une infime minorité en a besoin.

L’importance de notre pensée

En fait, nous obtiendrons ce que nous pensons. Si nous pensons que nos employés sont des incapables, ils le deviendront surement. En effet, dans nos attitudes et dans notre manière de manager nous enverrons plus ou moins consciemment ce message. À l’inverse, si nous considérons que nos employés sont bons et compétents, notre attitude sera différente. J’expliquais dans mon article « Ne rien lâcher : tout un art ! » que notre cerveau se crée des histoires et cherche dans notre quotidien des manières de les confirmer.

Par exemple, si nous considérons les employés comme des incapables, nous regarderons leurs faits et gestes et nous utiliserons la moindre erreur pour confirmer leur incapacité. À l’inverse, si nous considérons nos employés comme des personnes impliquées et compétentes, nous regarderons l’avancement de leurs projets et de leurs succès, même si des erreurs sont commises.

Mais qu’en est-il de la réalité objective ? Elle est la même dans les deux cas : nos employés réussissent certaines choses et en ratent d’autres, tout comme nous. Le droit à l’erreur est donc essentiel. Finalement, nos employés deviennent ce que nous en pensons. Ce que nous pensons dépend de nous : si j’ai une bonne vision du monde, mes employés seront vus positivement. Si j’ai une mauvaise vision du monde, mes employés seront vus négativement.

Les impacts de notre pensée

Alors quels sont les impacts ? Avoir confiance dans les autres dépend de ma confiance en moi. Plus précisément, cela dépend de ma vision du monde : je peux avoir confiance dans le monde qui m’entoure si j’ai confiance en moi. Si je n’ai pas confiance en moi, je ne peux pas avoir confiance dans le monde qui m’entoure. Peu importe que le monde soit parfait ou non. Ce n’est pas parce que j’ai confiance dans le monde que tout est parfait et que toutes les personnes sont dignes de confiance. Mais l’inverse est vrai.

L’avantage d’avoir confiance en soi et dans le monde qui nous entoure, c’est que nous pourrons lâcher prise et arrêter de vouloir tout contrôler. Au pire, nos résultats seront aussi bons que si nous n’avons pas confiance en nous et dans le monde qui nous entoure. Au mieux, ce sera bien mieux et nous aurons plus de temps.

4 – Maitriser ses émotions

Autre point essentiel pour apprendre à ne pas vouloir tout contrôler : nos émotions. Nous venons parler de nos pensées, mais nos émotions ont aussi un impact majeur. De plus, elles surgissent spontanément et peuvent nous conduire à agir de manière inappropriée. En effet, elles peuvent nous pousser à vouloir tout contrôler de manière instinctive alors la situation ne l’oblige pas. Regardons les impacts que peut avoir chaque émotion principale :

Nous avons peur que si nous ne contrôlons pas tout, notre business ou notre projet s’écroule. Nous nous obligeons donc à tout passer au peigne fin pour nous assurer que tout fonctionne comme sur des roulettes. En réalité, la peur est-elle fondée ? La plupart des peurs sont imaginaires, alors pourquoi, en lâchant tout, tout s’arrêterait ?

Ensuite, même si nous lâchons le contrôle, certaines erreurs risquent de survenir. C’est tout à fait normal, c’est le droit à l’erreur. D’ailleurs, c’est un excellent moyen pour former et expliquer à notre équipe ou à notre employé comment faire. D’ailleurs, le mieux serait de le laisser faire pour qu’il comprenne par lui-même et développe son esprit d’initiative et donc son autonomie. Cela lui permettra de développer ses compétences et son implication. Lâcher prise est donc essentiel dans le processus d’apprentissage de nos collaborateurs.

Enfin, à part si nous venons de lancer une activité et que les équipes ont besoin de temps pour être pleinement autonomes ou que nous ayons raté tout notre travail (ce qui me surprendrait), il y a peu de chances que tout s’écroule. Notre peur n’est donc pas justifiée et ne doit être que la projection de nos propres peurs.

Elle nait du manque de respect ou du fait que nos valeurs ne correspondent pas à la situation. La colère est l’énergie du changement qui nous pousse à obtenir du respect. Exemple concret et facile : 2 personnes ne sont pas d’accord et se mettent à s’insulter. Elles vont alors devenir en colère et pourraient se mettre à se battre. La colère leur a donné la force de se battre et de regagner leur fierté et d’obtenir du respect. Sauf si nous perdons…

La question est : ne cherchons-nous pas à tout contrôler par colère ? En d’autres termes, n’est-ce pas colère qui nous pousse, pour se faire respecter, à vouloir tout contrôler ? En effet, tout contrôler nous permet clairement de marquer notre position dominante et donc de nous faire respecter. Il faut donc aller chercher en nous, pour voir si nous n’avons pas un manque de respect qui nous pousserait à abuser de notre pouvoir. J’ai d’ailleurs en tête l’exemple d’un homme politique de petite taille. Certains psychologues trouvaient dans son attitude des besoins de dominances et de pouvoir. Ils expliquaient que souvent les hommes de petite taille avaient pu connaitre des manques de respect durant leur jeunesse. La quête de pouvoir leur permettait de regagner du respect… mais souvent à tomber dans l’excès d’autorité !

La tristesse

Lâcher prise pour arrêter de vouloir tout contrôler, c’est aussi ne plus s’accrocher. Tout comme un deuil où nous laissons partir quelqu’un, lâcher prise c’est laisser partir quelque chose pour découvrir et accepter une situation nouvelle. La question est donc : « À quoi nous accrochons-nous ? ».

Notre équipe est devenue très compétente et nous n’acceptons pas que désormais elle prenne des responsabilités ? Notre équipe est capable d’être autonome sur certains sujets et nous n’acceptons pas d’être devenus inutiles ? Il est certain que de tout contrôler, c’est laisser la situation comme elle est. Nous contrôlons tout et restons donc dans notre zone de confort. C’est donc garder la situation initiale comme elle est. Cela peut donc signifier que cette situation initiale nous convient ou, au moins, que nous souhaitons la laisser en place.

Pour en sortir, il faut accepter de « faire le deuil » de notre inutilité ou accepter que nos équipes aient moins besoin de nous. Cela peut aussi être de « faire son deuil de son perfectionnisme » ou accepter que tout ne soit pas parfait. En effet, lâcher prise c’est accepter l’erreur. D’ailleurs même en voulant tout contrôler, des erreurs surgissent aussi.

5 – Avoir des passions

Arrêter de vouloir tout contrôler au travail, c’est aussi prendre du recul sur son travail. Encore une fois, certaines choses peuvent être contrôlées (le 20/80). Il est bien question dans cet article de lâcher prise sur ce qui est dérisoire et qui représente 80 % de nos efforts pour seulement 20 % du résultat.

L’importance de la famille et des amis…

Souvent, j’entends les gens qui viennent d’avoir un enfant dire que c’est ce qui compte le plus au monde. Ce que je comprends tout à fait. Je ne vois pas ce qui peut compter de plus au monde. Nous voyons que face à une erreur au travail qui aura la plupart du temps un faible impact et rattrapable et face à notre enfant, il y a bien deux poids et deux mesures. Il vaut mieux s’assurer que notre enfant va bien quitte à laisser quelques erreurs survenir au travail.

Malheureusement, certaines fois, nous pouvons tomber dans la routine et ne plus voir l’importance de notre famille et de nos amis. Nous retombons donc dans la routine qui consiste à passer énormément de temps au travail et notamment à contrôler plus qu’il ne faudrait. C’est pour cela que je souhaite parler des passions pour prendre du recul.

… mais aussi et surtout des passions

Nous sommes tous d’accord, la priorité c’est bien l’humain et donc notre famille et nos amis. Cependant, nous avons aussi besoin de nous occuper de nous. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est prendre soin de soi. Je ne pense plus aux autres, mais simplement à moi-même. ? Une passion, c’est penser à soi et s’occuper de soi. D’ailleurs, c’est surement pour cette raison que nous y accordons autant d’importance.

Le problème c’est que nous pouvons tomber dans la spirale : je contrôle tout, je n’ai plus de temps, je n’ai plus de passion, je reste focalisé sur le contrôle, etc. La spirale inverse existe : je ne veux plus tout contrôler, je relâche le contrôle, j’ai plus de temps, j’ai des passions, je prends de la hauteur car je vois ce qui se passe bien et moins bien, je ne veux plus tout contrôler, j’ai plus de temps, etc.

Les 4 sphères de notre vie

En effet, n’oublions pas que nous 4 sphères dans notre vie qui nous permettent d’avoir un équilibre. L’idéal est que les 4 sphères fonctionnent en même temps. Certaines fois, lorsqu’un « coup dur » arrive, les autres sphères prennent le relais, ce qui est parfait. Le risque est de n’avoir qu’une sphère active (par exemple le travail). Le jour où nous perdons notre travail, nous n’avons plus rien…

Voici les 4 sphères :

  • professionnelle : le travail, la carrière, etc.
  • familiale : nos proches comme notre conjoint, nos enfants, les parents
  • sociale : les amis, les associations auxquelles nous participons
  • personnelle (notre jardin secret) : nos passions, notre santé, nos moyens de détente, etc.

Pour arrêter de vouloir tout contrôler, il est essentiel de garder en tête :

  • Un manager doit savoir se rendre inutile
  • Avoir confiance en soi pour avoir confiance en l’autre
  • Écouter et maitriser ses émotions
  • Avoir des passions pour penser aussi à soi

Certaines fois, briser le cercle qui consiste à vouloir tout contrôler peut être encore plus compliqué. Il faut alors savoir dire stop et prendre la décision de lâcher prise sans se soucier du reste. Car en réalité, qu’ai-je vraiment à perdre ?

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Je veux toujours tout contrôler

Pourquoi je ne lâche pas prise dans mes relations

8/31/2023 7 min read

Vouloir tout contrôler.

Vouloir être au courant de tout : savoir où sont ses proches, reprocher à son compagnon, sa compagne, le moindre retard, planifier les vacances familiales jusqu'au plus petit détail, etc... certaines personnes ont du mal à laisser leurs proches libre de leur mouvement. elles projettent leurs besoins ou leurs angoisses sur leur entourage ce qui a la longue peut être fatiguant pour eux et même les faire fuir . sur le court terme, les personnes contrôlantes calment leurs angoisses mais ce contrôle demande à être répétée encore et encore. rien ne leur apporte la paix intérieure à laquelle elles aspirent., mais qui sont ces personnalités contrôlantes et comment ce besoin de contrôle peut-il être surmonté.

1-Les personnalités qui ont besoin de tout contrôler

Tout d'abord, si vous avez besoin de tout contrôler dans votre environnement, essayez de ne pas vous culpabiliser. Il est probable que des carences dans votre environnement vous ont conduit à vous auto réguler de cette manière. Vous avez, plus jeune, fait face à des relations qui ne répondaient pas à vos besoins émotionnels et vous avez trouvez votre manière à vous de faire face à une situation très stressante pour un enfant. Par exemple, vous avez pu grandir dans une famille peu sécurisante dans laquelle vous aviez peur d'être rejeté ou abandonné . Contrôler votre environnement a pu être un moyen que vous avez trouvé pour ne pas ressentir cette souffrance. Si vous contrôlez votre entourage, ils ne pourront pas vous abandonner. Ce contrôle est illusoire puisque chaque personne est, dans les faits, bien sûr, libre d'agir à sa guise mais l'enfant apeuré calme ses peurs en agissant ainsi. La peur inconsciente d'être abandonnée est encore active chez l'adulte et le pousse à agir comme dans son enfance.

Certains types de personnalité ont, plus particulièrement, développé un style contrôlant comme mode relationnel avec leur environnement:, la personne avec un profil dépendant affectif a besoin de contrôler son environnement. elle est persuadée qu'elle ne peut pas se débrouiller seule dans la vie et qu'elle a besoin d'un autre plus fort, plus intelligent, etc... pour assurer sa survie. elle n'a pas conscience de ses capacités personnelles et agit comme un enfant qui a besoin d'être pris en charge. elle met tout en œuvre pour ne pas être abandonnée et va essayer de contrôler son partenaire en le sollicitant fortement. elle a besoin d'être rassurée constamment et elle va lui demander, de manière répétée, des preuves d'amour et une hyper présence . ces sollicitations constantes peuvent, malheureusement, entraîner l'effet contraire: la personne qui se sent emprisonnée dans une relation, peut avoir tendance à prendre la fuite et la personne dépendante va provoquer ce qu'elle redoute le plus au monde: l'abandon . si vous souhaitez plus d'informations sur l'origine du trouble de la dépendance, vous pouvez lire mon article "pourquoi je suis dépendant affectif" en cliquant sur ce lien ., la personnalité obsessionnelle-compulsive a également tendance à vouloir contrôler son environnement. elle a un besoin impérieux de sentir qu'elle maîtrise la situation et les contacts avec l'extérieur peuvent prendre l'allure de luttes de pouvoir. c'est une personne perfectionniste , préoccupée par les détails et les règlements. elle a des difficulté à se détendre et va avoir du mal à exprimer ses sentiments aux personnes qui l'entourent. en fait, la personne obsessionnelle-compulsive a besoin de maîtriser l'imprévisible et ne peut pas se laisser aller dans la relation. elle a besoin de formater ses échanges. elle les réfléchit souvent à l'avance ce qui, bien entendu, laisse peu de place à la spontanéité et ne la prépare pas à la réaction des personnes en face puisqu'elle est prise dans son besoin de contrôle. les réactions des personnes la laissent dépourvues car elle est habituée à préparer les conversations et ne sait pas faire face à la souplesse d'un échange. cela peut provoquer chez elle de la fermeture ou de la colère avec des ruminations. cette personnalité n'a, souvent, pas beaucoup été soutenue et accompagnée dans son jeune âge et s'est soutenue seule comme elle pouvait. elle réprime son énergie comme source potentielle de danger- le manque de soutien lui a fait sentir que son énergie était mauvaise pour son environnement- et elle s'est construite sur des principes et des règlements., la personnalité évitante a également besoin de tout contrôler mais pour des raisons bien différentes. la personnalité évitante a peur de la nouveauté, synonyme de souffrance, voir même de honte. elle contrôle son environnement en le réduisant excessivement: elle se cantonne aux lieux qu'elle connaît et aux 2 ou 3 personnes qui composent son environnement. ces personnes seront en charge de la consoler mais si elles la poussent au changement, elles risquent de la faire fuir. pour plus d'informations sur le trouble de la personnalité évitante, je vous invite à lire mon article "j'ai peur de nouer des relations durables". en cliquant sur ce lien . la personnalité évitante contrôle son environnement pour ne pas souffrir, tout comme la personnalité dépendante et la personnalité obsessionnelle-compulsive. ce sont des personnes qui ont, dans leur jeune âge, trouvé ce moyen de s'adapter à un environnement carencé et qui, plus tard, peuvent se retrouver en souffrance à cause de cette adaptation. la personnalité obsessionnelle-compulsive ne montre pas ses sentiments et peut avoir des problèmes affectifs. la personne dépendante peut faire fuir les gens par ses demandes excessives et la personnalité évitante peut se réduire à un poste sous dimensionné par peur de prendre un poste à sa mesure qui serait synonyme d'épanouissement pour certains mais qui signifie, pour lui, une peur infranchissable vers l'inconnu., alors comment dépasser le besoin de tout contrôler pour améliorer sa qualité de vie et ses relations, 2-comment dépasser le besoin de tout contrôler, comme on a pu le voir plus haut, le besoin de tout contrôler est une composante de personnalités bien différentes et résulte d'une construction psychique visant à se protéger de la souffrance du rejet ou de l'abandon. c'est une manière d'être qui est adoptée par une personne dès son plus jeune âge mais qui peut se révéler limitante à l'âge adulte., chaque personnalité a ses propres spécificités et donc les approches seront différentes. un des points communs dans le travail thérapeutique sera le travail sur les blocages émotionnels. le fait de vouloir tout contrôler provient, à la base, d'une adaptation à un environnement qui n' a pas répondu aux besoins émotionnels de l'enfant., dans la thérapie , le thérapeute va devenir cet autre qui a été manquant dans le passé. par ses qualités humaines, sa capacité d'accueil, son écoute et sa présence, le thérapeute va travailler à installer avec la personne qui vient le consulter, une alliance thérapeutique. cette alliance faite de confiance va se mettre en place, petit à petit, dans la thérapie et va permettre à la personne de se confier dans un cadre sécurisé et confidentiel qu'est l'espace thérapeutique. la thérapie basée sur l'échange- le thérapeute va dire ce qu'il vit dans la relation, les images qui lui viennent, la personne pourra confirmer ou non ce qui lui est dit- et la construction commune remettra petit à petit de la fluidité dans le blocage émotionnel. le thérapeute utilisera, bien sûr, son savoir-faire pour explorer le blocage émotionnel en remettant les émotions et les sensations au cœur de la thérapie et cela, pour recontacter les peurs de l'enfant., en parallèle, selon le type de personnalité, différents axes de travail pourront être explorés dans le travail thérapeutique:, -la personne dépendante affective devra travailler sur ses sensations et son désir . c'est une personne qui s'est niée au plus jeune âge pour se soumettre à son environnement et elle devra apprendre à faire sa propre connaissance. petit à petit, elle pourra s'appuyer sur ses propres ressources pour mener sa propre vie. elle pourra ainsi se détacher du besoin de contrôler l'autre car le besoin irrépressible d'un autre qui la prend en charge s'éloignera peu à peu pour laisser la place à des relations adultes plus saines et plus nourrissantes. en parallèle, elle aura également besoin de travailler sa responsabilisation puisque, depuis toute petite, elle s'en remet à quelqu'un d'autre pour assurer sa survie. le travail sur ses blocages émotionnels, sur ses ressources et sur la responsabilisation lui permettront de reprendre sa place d'adulte et de se remettre au centre dans sa vie., -la personne obsessionnelle-compulsive aura également besoin de revenir au corps et de travailler sur ses sensations et ses émotions. c'est une personne qui intellectualise beaucoup et qui utilise son corps pour performer . le retour sur les exercices simples d'ancrage, de respiration, par exemple, pourront lui faire contacter des émotions enfouies depuis longtemps. la fantaisie, la créativité et pourquoi pas, un peu de taquinerie dans le travail thérapeutique, pourront également apporter un peu d'air dans la rigidité de la personne obsessionnelle-compulsive. les échanges, la présence du thérapeute, son soutien seront pour ce type de personnalité très bénéfique pour remettre un autre dans les échanges sans qu'elle se ferme ou si elle se ferme à un moment donné, la constance de la relation pourra lui permettre de s'ouvrir petit à petit, à son rythme., -la personne évitante pourra travailler sur le plaisir et le désir. sa vie s'est construite sur l'évitement de la souffrance. elle n'agit pas pour se faire plaisir mais bien pour éviter toute situation inconfortable qui pourrait lui causer de la souffrance voir même de la honte. le travail sur les ressentis sera bénéfique mais également sur les expériences qui apportent du plaisir. ce travail pourra se faire par l'imaginaire, par exemple, en lui faisant imaginer ce qui lui ferait plaisir. le thérapeute pourra valoriser ses succès et l'encourager. la relation thérapeutique, l'écoute et la présence du thérapeute seront également également précieux pour travailler l'estime d'elle même, estime qui a été mise à mal dès son plus jeune âge., d'autres pistes de travail pourront évidemment être explorées selon la personne en thérapie. la personnalité des gens n'est pas composée seulement d'évitement ou de dépendance et chacun a sa singularité qui sera accueillie en thérapie et respectée. le but de la thérapie n'est pas de condamner le contrôle qui peut être bénéfique dans certaines situations mais bien d'ouvrir la personne à la connaissance d'elle même et au droit de choisir sa propre option selon les circonstances de la vie., si vous souhaitez plus d'informations ou prendre rendez-vous, vous pouvez le faire en cliquant sur ce lien ..

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Améliorer Williams F1 ? "Comme réparer un vélo tout en pédalant"

Pour le responsable de la performance chez Williams, Dave Robson, faire grandir l'équipe tout en développant une voiture équivaut à "essayer de réparer une roue crevée sur son vélo tout en pédalant en même temps".

Williams est depuis plusieurs saisons en pleine mutation. Sous la direction de James Vowles, arrivé à la tête de l'écurie début 2023, et avec les fonds de son propriétaire, le fonds d'investissement Dorilton Capital, la structure basée à Grove a pour but de remonter dans la hiérarchie de la Formule 1, en quête d'un renouveau après quasiment dix ans d'errance. 

Ses dirigeants, Vowles et Pat Fry, son directeur technique en chef, ont déjà longuement et publiquement expliqué que l'équipe avait du retard sur la concurrence, en prenant en exemple la tardiveté avec laquelle la FW46 avait été assemblée à l'intersaison. Dernièrement, c'est l'absence de châssis de rechange qui a été au cœur de l'actualité, quand il a tout bonnement fallu sacrifier  Logan Sargeant en Australie pour permettre à Alexander Albon de disputer la suite du week-end. Une problématique que les accidents de Suzuka n'ont pas permis d'oublier de sitôt.

Dave Robson, responsable de la performance chez Williams, s'est penché sur le difficile équilibre à trouver entre volonté d'améliorer la structure en elle-même afin de poser les bases d'une progression globale et nécessité de développer la voiture actuelle pour être le plus performant possible en piste et saisir les opportunités qui se présentent.

"Nous avons encore beaucoup de choses à faire. C'est un peu comme essayer de réparer une roue crevée sur son vélo tout en pédalant en même temps. Il est très difficile de prendre du temps sur le programme et de donner à chacun la possibilité d'adopter de nouvelles méthodes de travail."

"Ce n'est donc pas facile, mais c'est en cours. Il y a beaucoup à faire. C'est clair. Beaucoup a déjà été fait. Il s'agit simplement d'améliorer les outils, les logiciels. Il faut ensuite que tout le monde comprenne ce que cela nous permet de faire et comment maximiser ces outils pour faire avancer l'ensemble du programme."

Dave Robson, responsable performance chez Williams.

Interrogé par Motorsport.com sur la reconnaissance publique des lacunes de l'équipe par Vowles et Fry, Robson a concédé qu'ils avaient raison. Cependant, il suggère que d'autres équipes en sont peut-être quasiment au même point, sans que cela ne soit forcément évoqué publiquement.

"Nous savons depuis longtemps que la façon dont nous procédons, ou dont nous avons procédé, n'est pas toujours terriblement efficace. Mais il faut une grande quantité de 'colle humaine' pour tout assembler. Il serait fascinant de savoir où en sont les autres équipes. Je suis sûr que les meilleures équipes sont très différentes de la nôtre. Je ne sais pas si c'est le cas pour tout le monde."

"Dans une certaine mesure, je pense que la grande différence réside dans l'honnêteté de Pat et de James à propos de tout cela, peut-être plus que dans les problèmes eux-mêmes. Cela dit, les problèmes sont là, ils doivent être résolus, et c'est ce que nous faisons. Mais oui, nous le savions depuis longtemps. Il est cependant toujours très difficile d'investir dans ces processus lorsque vous avez déjà du mal à investir dans la monoplace."

"Évidemment, c'était il y a quelques années. Aujourd'hui, nous savons que nous avons les ressources pour le faire. Et avec James [en provenance de Mercedes] et Pat [dernièrement passé chez Alpine/Renault et McLaren], nous savons à quoi ressemble la pointe de la technologie. J'espère donc que nous pourrons rapidement passer du stade où nous sommes à celui où nous devons être."

La sortie de piste de Logan Sargeant lors des EL1 du GP du Japon 2024 de F1.

Robson assure que des progrès ont déjà été faits côté équipe et que ceux-ci vont continuer à se matérialiser par des avancées en piste, même s'il faudra encore attendre un moment avant de totalement récolter les fruits de ces améliorations structurelles.

"C'est radicalement différent de ce qui se passait il y a quatre ou cinq ans" , a-t-il expliqué. "C'est très excitant et il ne fait aucun doute que les performances seront au rendez-vous, c'est certain. Bien entendu, nous ne pouvons pas contrôler ce que font les autres, mais nous serons incontestablement dans une meilleure posture."

"La façon dont nous développons et gérons le projet va donc progresser considérablement. En même temps, c'est frustrant de ne simplement pas claquer des doigts et avoir tout ce qu'il faut dès aujourd'hui ou demain. Nous devons donc continuer à faire ce que nous faisons en piste et tirer le meilleur parti de ce que nous avons. Et c'est très bien que cela s'améliore."

"Il ne fait aucun doute que les choses vont aller mieux, mais nous voulons que cela se produise le plus rapidement possible, vraiment. Il est évident que ce n'est pas possible, alors nous allons devoir lutter encore un peu. J'espère que nous pourrons rapidement passer du stade où nous nous trouvons à celui où nous devons être."

VIDÉO - Le résumé du Grand Prix du Japon

Alex Albon, Williams FW46

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Exercices de dribble à faire avant de jouer au basketball

Sport et activité.

Des coachs de basket vous expliquent comment améliorer votre dribble.

Exercices de dribble à faire avant de jouer au basketball

Au basket , on compte un certain nombre de techniques. Apprendre chaque mouvement de base, de la passe au tir, peut faire progresser l'ensemble de votre jeu. Parmi ces techniques de base ? Le dribble. Il est essentiel pour tenir votre position sur le terrain.

« Le dribble est la chose la plus importante au basket », explique Oz Martin, président et fondateur de Legacy Youth Sports. « À un moment ou à un autre du jeu, il faudra manier le ballon. La base du basket repose sur le dribble. »

Voilà ce qui rend les exercices de dribble très utiles, surtout pour les personnes débutantes. Ashleigh Edwards, copropriétaire et responsable du centre d'entraînement de basket Iconic Sport Performance, affirme que le dribble est « d'une importance capitale et nécessaire à la réussite générale d'une équipe ». Selon elle, le dribble est si important « qu'il vaut mieux l'apprendre avant même d'apprendre à tirer ».

Les exercices de dribble « peuvent vous aider à améliorer votre contrôle du ballon, votre coordination œil-main et votre agilité », explique Matt Wilson, coach spécialiste des performances sportives. Qui plus est, ces exercices peuvent vous rendre plus à l'aise avec le ballon, et donc, renforcer votre assurance sur le terrain, ajoute-t-il.

D'après Oz Martin, c'est une technique qui se travaille constamment. Il souligne d'ailleurs que même les pros s'exercent régulièrement au dribble.

Il va de soi que si vous ne savez pas dribbler, les exercices de dribble ne vous sont probablement pas familiers. Pourtant, ils peuvent contribuer à améliorer votre manière de jouer au basket. Le basket est tout nouveau pour vous ? L'envie vous prend de parfaire votre technique ? Peu importe : découvrez les recommandations des experts pour réaliser ces exercices de dribble et progresser.

Comment dribbler

Avant de passer aux exercices, il est important de revoir les bases. On sait qu'il faut dribbler avec les mains, toutefois, il est bon de rappeler que « l'on ne dribble pas avec la paume des mains, mais avec les doigts », comme le précise Oz Martin.

Pour dribbler, Oz recommande de suivre ces conseils :

  • Gardez la tête haute, pour observer ce qui se passe pendant le match.
  • Étendez votre bras vers le bas et poussez le ballon vers le sol avec vos doigts.
  • Servez-vous de vos doigts pour réceptionner le ballon lorsqu'il rebondit, et pliez le bras au niveau du coude. Répétez le mouvement.

En règle générale, il faut essayer d'empêcher le ballon de rebondir au-dessus de votre hanche, conseille Oz Martin.

Quand pratiquer les exercices de dribble ?

Ashleigh Edwards conseille de s'entraîner régulièrement. Elle affirme que seulement 10 minutes de dribble par jour peuvent faire toute la différence dans votre jeu. « L'objectif ? Améliorer votre toucher, votre contrôle et maniement du ballon, mais aussi votre assurance », ajoute-t-elle.

Oz Martin suggère quant à lui de dribbler « aussi souvent que possible ». Au minimum, il recommande de pratiquer des exercices de dribble au moins trois fois par semaine, pendant environ 30 minutes.

Les meilleurs exercices de dribble

Pour les exercices de dribble, vous aurez principalement besoin d'un ballon de basket, et éventuellement de quelques cônes ou objets autour desquels vous entraîner. Les experts conseillent de travailler sur ces exercices en commençant par des intervalles de 30 secondes. Augmentez ensuite la durée pour atteindre plusieurs minutes sur chacun d'entre eux.

  • Dribble en position assise. Oz suggère de s'asseoir sur une chaise ou un banc et de dribbler dans cette position. De cette façon, vous pouvez pleinement vous concentrer sur les mouvements de vos mains, et non de vos jambes. « Assimilez le rythme du ballon qui monte et descend dans vos mains », conseille-t-il. « Après ça, passez au dribble debout. »
  • Dribble debout. Après avoir pris le rythme du dribble en position assise, Oz suggère de dribbler debout.
  • Dribble en marchant. Vous êtes à l'aise pour dribbler debout ? Oz Martin conseille de commencer à dribbler en marchant, puis en courant. N'oubliez pas les règles du basket  : vous devez faire rebondir le ballon ou dribbler d'une seule main, tout en bougeant avec les deux pieds. Si vous arrêtez de dribbler ou touchez le ballon avec les deux mains, vous ne pouvez bouger qu'un pied.
  • Slalom entre les cônes. Une fois le dribble debout maîtrisé, Oz Martin suggère de placer des cônes espacés sur une ligne ou de manière aléatoire. Puis, entraînez-vous à slalomer entre eux « pour apprendre les déplacements latéraux ». Selon Oz, cet exercice vous donnera un aperçu des transitions que vous pourriez faire lors d'un match, quand vous devez contourner l'adversaire.
  • Dribble de la main faible. Sur le terrain, les pros du dribble peuvent dribbler avec chaque main. C'est pourquoi Oz Martin recommande de dribbler avec votre main faible pour la renforcer. « Efforcez-vous de ne pas regarder vers le bas », conseille-t-il. Comme l'explique Oz, acquérir cette aptitude vous permet d'observer ce qu'il se passe pendant le match, de mieux vous déplacer et de faire des passes plus précises.
  • Dribble entre les jambes. Dribbler avec aisance entre vos jambes est un atout supplémentaire pour échapper à la défense, explique Oz Martin. Autrement dit, imaginez que vous dribblez pendant le match. L'adversaire tente alors de vous prendre le ballon. La solution ? Dribbler entre vos jambes et faire une transition dans une direction différente pour contourner la défense. Il suggère de se tenir debout, les pieds alignés l'un devant l'autre et les genoux fléchis, tout en faisant rebondir le ballon entre vos jambes de manière à former un V. Faites passer le ballon d'une main à l'autre pour apprendre cette technique.
  • Dribble sur échelle. Le dribble sur échelle permet de travailler l'agilité, une compétence essentielle pour contourner les adversaires, explique Matt Wilson. Pour cet exercice, placez une échelle de corde au sol ou, si vous n'en possédez pas, utilisez de la craie pour en dessiner une au sol. Ensuite, entraînez-vous à dribbler en faisant rebondir le ballon dans chaque parcelle de l'échelle, en montant et descendant le long de celle-ci pendant une minute. Vous pouvez faire varier l'exercice en commençant par suivre un mouvement latéral, puis en dribblant dans et en dehors de l'échelle d'un côté à l'autre.
  • Dribble poche. Dribblez aussi fort que possible avec le ballon, tout en vous assurant de ne pas aller plus haut que votre poche (où l'endroit où elle se trouverait). Ce type de dribble aide à mieux contrôler le ballon, mais aussi à se renforcer, affirme Oz. Ashleigh Edwards conseille d'effectuer 50 répétitions pour cet exercice.
  • Dribble avant-arrière latéral. Cette technique vous permettra de mieux manier le ballon, mais aussi d'effectuer de meilleures transitions pendant le match. Tenez-vous debout, les jambes légèrement fléchies, et dribblez d'avant en arrière sur le côté de votre corps avec la même main pour « mieux maîtriser le dribble », précise Ashleigh. Vous pouvez faire cet exercice sur une ligne, pour vous assurer de garder votre position et toute l'amplitude du mouvement. Elle suggère de pratiquer cette technique 30 secondes, suivies de 30 secondes de repos. Le tout est à répéter trois fois.
  • Contrôle optimal. Au cours d'un match, le ballon pourra souvent rebondir de manière inattendue : vous devrez alors réussir à le contrôler tout en dribblant. C'est pourquoi Oz recommande de vous entraîner à reprendre le contrôle du ballon, même quand il n'est pas à la hauteur idéale. « Vous devrez prendre le contrôle du ballon si vous le prenez à l'adversaire », souligne-t-il. Pour ce faire, essayez de faire rebondir le ballon au hasard sur un mur et reprenez le contrôle à partir de là. Tentez de revenir à un rythme de dribble confortable, ou demandez à quelqu'un de vous passer le ballon lorsqu'il n'est pas bien contrôlé.

Rédaction : Korin Miller

Date de première publication : 6 octobre 2022

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Barça-PSG (1-4) : « On a été meilleurs que le PSG », regrette Xavi qui dénonce « un arbitrage bizarre »

Toujours sobre et calme au moment de passer en conférence de presse, le coach du Barça a néanmoins regretté de devoir jouer à dix pendant une heure. Une décision qui, selon lui, a changé le scénario de ce match que son équipe avait dominé à égalité numérique.

Xavi, l'entraîneur du Barça, avant d'être expulsé, a crié sa colère envers l'arbitrage. AFP/FRANCK FIFE

Plutôt sobre et mesuré mercredi dernier après le succès (2-3) au Parc des Princes, Xavi s’est montré un peu plus tranchant ce mardi soir au moment de passer face aux micros.

À l’issue de la défaite (1-4) et de l’élimination concédées par ses troupes, le coach barcelonais n’a pas élevé le ton, mais il a mis le poids de la défaite sur l’arbitre, M. Kovacs, qu’il considère coupable d’avoir tronqué ce quart de finale retour de Ligue des champions que son équipe maîtrisait avant l’expulsion d’Araujo.

Quel est votre sentiment après cette élimination ?

XAVI. Je vais essayer de parler calmement. On avait décidé d’offrir un bon spectacle mais en infériorité numérique le football disparaît. On a eu quelques options à la fin mais face à une équipe du niveau du PSG, c’est très compliqué. J’ai demandé à l’arbitre qu’il aille voir le VAR car c’est (NDLR : l’expulsion d’Araujo ) une question d’interprétation. À onze contre onze, nous avons dominé. J’aurais aimé qu’on joue à onze durant toute la rencontre. Il faut faire quelque chose de très clair pour ne pas qu’une équipe se retrouve dans ce genre de situation.

L’expulsion a changé le match. Qu’avez-vous souhaité privilégier à ce moment-là ?

J’ai dû changer Lamine (Yamal), à mon grand regret, car il avait été très bon et avait même déclenché le but. Mais après il fallait défendre très fort, ce n’est pas notre plus grande force. On a continué à jouer, on a eu des occasions mais ce n’est pas passé. En tant qu’entraîneur je suis fier car à onze contre onze, nous avons battu le PSG mais la décision de l’arbitre a changé la donne. On peut être fiers de nous, on a perdu de manière très digne, et sur une décision d’arbitre que nous ne pouvons pas contrôler. L’expulsion a détruit le match.

Luis Enrique a dit que même sans l’expulsion Paris l’aurait emporté et qu’il souhaitait que vous restiez longtemps coach du Barça durant de longues années. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

Je dis non à ses deux remarques. Parce que, pour la première, à onze contre onze nous maîtrisions le match en attaque comme en défense. Quant aux années supplémentaires au Barça, ce ne sera pas le cas.

Le scénario de ce soir ne vous donne-t-il pas envie de poursuivre sur le banc du Barça ?

Non, je suis très fier, on a joué contre des équipes de très haut niveau. On a été meilleurs que le PSG, c’est ce que je retiens en tant que coach. Je suis très fier de mon équipe, du Barça. Le Barça était vivant dans la compétition. Il sera de nouveau compétitif mais cela ne change rien à ma décision.

On comprend votre frustration envers l’arbitre mais vous avez, vous aussi, été expulsé…

Oui j’ai commis une erreur aussi. Dans ce cas-là, oui, je reconnais que c’est de ma faute .

Avez-vous l’impression que le Barça n’est pas respecté ?

Nous n’avons pas de chance sur les décisions arbitrales. Depuis que je suis là, c’est un chemin de croix dans ce domaine. Là, cet arbitrage a été bizarre, pour ne pas dire plus…

Malgré l’élimination, n’est-ce pas bon signe de voir le Barça faire de nouveau bonne figure sur la scène européenne ?

Oui, nous sommes en construction et on peut faire de belles choses. Imaginez quand cette équipe sera construite… Nous avons fait une belle campagne de Ligue des champions contre Porto, Naples et le PSG. Je dirais même que nous avons été meilleurs que ces équipes-là. Cette équipe du Barça a de l’avenir.

Avec cette élimination, le Barça n’a plus que le titre de champion à jouer. Y croyez-vous ?

J’ai envie de récupérer le moral de mes gars. Cette élimination est un coup dur. Mais on ne va pas baisser les bras et on va essayer de récupérer les gars. On peut revenir à cinq points. On veut gagner dimanche à Madrid.

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Attaque de l'Iran contre Israël : "Israël a les moyens de contrôler une escalade, ce que l'Iran n'a pas", souligne Bertrand Badie, spécialiste du Moyen-Orient

Bertrand Badie, spécialiste des relations internationales, professeur émérite à Sciences Po Paris, était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 14 avril. Il répondait aux questions de Jules de Kiss et Hadrien Bect.

"Le problème est de savoir jusqu'où l'Iran et Israël entendent aller"

Pour Bertrand Badie, "le jeu aujourd'hui ne consiste pas à calmer l'Iran, le jeu consisterait plutôt à empêcher Israël d'aller jusqu'au bout de ses intentions stratégiques" . Si l'Iran s'intègre dans une guerre régionale, elle n'en tirera que des effets négatifs. Côté Israël, c'est différent : on sait depuis longtemps qu'ils cherchent une occasion pour mettre fin au programme nucléaire iranien. La grande question qu'on doit se poser : "Est-ce que c'est le prétexte attendu pour lancer une attaque de plus grande ampleur   ? "

L'Iran a plus ou moins dit que l'affaire était réglée alors qu'Israël, au contraire, a déclaré : "Nous saurons répliquer à une attaque contre notre sol".   "Israël a les moyens de contrôler une escalade , ce que l'Iran n'a pas" , explique Bertrand Badie.

"Le cauchemar diplomatique des Etats-Unis continue"

L'image des États-Unis est également écornée par cette nouvelle séquence, selon Bertrand Badie : "C'est le cauchemar diplomatique des États-Unis qui continue   !" Afficher de nouveau un soutien "inébranlable" à Israël "affaiblit ce que les États-Unis ont dit et continuent de dire sur Gaza."

Même si le pays veut essayer de raisonner Israël, Bertrand Badie n'est pas dupe, les rapports de force ont changé depuis la guerre froide : "Aujourd'hui, les Etats-Unis n'ont plus la main et Israël se plait à le montrer, ce n'est pas une dissidence implicite, c'est une dissidence la plus explicite possible   !"

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Le Samsung Music Frame est un haut-parleur sans fil intégré dans un cadre photo personnalisable. Cet appareil peut fonctionner comme un haut-parleur Wi-Fi et Bluetooth ou vous pouvez l'associer à votre téléviseur pour bénéficier d'un son de qualité supérieure. Une fois votre Music Frame configuré , vous pouvez utiliser les options de connexion de ce guide.

Vous pouvez contrôler et régler le volume, le mode et les options de connexion Bluetooth du Music Frame à l'aide des boutons de l'appareil. D'autres paramètres et fonctions peuvent également être réglés via l'application SmartThings sur votre téléphone. Si l'application SmartThings n'est pas installée, veuillez l'installer à l'aide du Google Play Store ou de l'Apple App Store. Un compte Samsung est nécessaire pour utiliser l'application SmartThings.

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● Égaliseur : Permet d’ajuster les paramètres de grâves et d’aigus

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● Réglages sonores avancés : Utilisez l'amélioration de la voix pour améliorer les dialogues parlés dans les films et les émissions de télévision, et le mode Nuit pour ajuster le volume général tout en conservant la clarté des dialogues parlés.

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Téléphone : Accédez à Réglages > Bluetooth . Sélectionnez Music Frame.

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● Lorsque vous connectez votre téléviseur et le Music Frame pour la première fois, assurez-vous qu'ils se trouvent à environ 1 m (3,28 pi) l'un de l'autre.

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Ma vie de parents de Gwenaëlle Boulet du mercredi 17 avril 2024

Difficile de choisir un film à regarder en famille....

Ali : Alors chez vous, Gwénaëlle, vous dites qu’il n’est pas toujours facile de trouver LE film qui rassemble…

Eh oui, Ali, comme le disait si bien notre ami Jean-Paul, « l’enfer, c’est les autres ». Non, parce que si ça ne tenait qu’à moi, la playlist des films serait très simple à composer : 7 films belges ou français de type tragédie sociale – 1 documentaire sur l’état de la psychiatrie en France ou la justice réparatrice – 1 bon polar (toujours un peu social) - 1 petite comédie romantique avec, au hasard, Bradley Cooper pour se regonfler un peu le moral (ou un replay de The Voice, mon péché mignon) et rebelote, c’est reparti pour un tour… Sauf que chez moi, figurez-vous qu’excepté pour The Voice, bizarrement, mon programme a du mal à convaincre. Je crois même que mes enfants font tout pour m’interdire de choisir le film familial, de peur de tomber sur « La liste de Schindler » ou autre (je cite) « film triste et horrible qui fait pleurer ». Mais bon, que voulez-vous, on ne se refait pas. Oui, j’adore la Seconde Guerre mondiale ; Ken Loach et les frères Dardenne sont mes idoles et je voue un véritable culte à Charlotte Gainsbourg qui fume sa cigarette dans « Les passagers de la nuit ». J’ai conscience que le cocktail n’est pas hyper prometteur pour une chouette soirée détente en famille.

Ali : Heureusement pour vos enfants, vous n’êtes pas seule à choisir…

Eh oui, heureusement pour eux, mes enfants ont un papa bien plus open que moi en terme de filmographie. Et grâce à lui, ils peuvent bénéficier d’une large palette de films : science-fiction, fantastique, aventure, films de Super-héros, comédies classiques… Tout y passe. Et au fil du

temps, si je ne me suis pas laissé embarquée par l’univers de Star Wars (je n’ai toujours rien compris à l’histoire et mon cerveau se fige immédiatement dès que j’entends le fameux « dans une galaxie lointaine, très lointaine »…), rassurez-vous, j’ai moi aussi fini par me laisser gagner par Louis de Funès et son « Salomon, Salomon, mais vous êtes juif ! ». La filmographie familiale est donc une véritable occasion d’ouvrir ses chakras pour s’aventurer vers de nouvelles aventures, ainsi soit-il ! Et cette ouverture est d’autant plus intéressante que les voies de la transmission cinématographiques sont impénétrables…

Ali : Eh oui, on ne peut pas contrôler ce que nos enfants ou nos ados vont retenir des histoires que l’on partage…

Tout à fait. Tout comme on ne sait pas exactement ce que nos enfants vont retirer des grands discours qu’on leur tient, de la façon dont on agit dans la vie, des histoires qu’on leur aura lues, des conseils que nous aurons tenté de leur donner, des moments partagés… Qu’est-ce qui fait qu’untel pourra dire une fois adulte que sa vie a été chamboulée voire bouleversée par une scène de « Maman, j’ai encore raté l’avion » (# la scène du patin à glace) alors que ce « chef d’œuvre » qui a bouleversé votre vie à vous

l’aura laissé de marbre ? Personnellement, j’avais 7 ans quand je suis allée voir E.T au cinéma et que j’ai littéralement cru que mon cœur se déchirait de chagrin.

9 ans lorsque j’ai vu (deux fois !) Amadeus et ai été fascinée à la fois par la génie de Mozart et la jalousie de Salieri ; 13 ans quand « La vie est un long fleuve tranquille » a profondément fait rire ma famille tout en me faisant réfléchir sur les différentes sociales ; 14 ans lorsque le film

« Les enfants du désordre » avec Emmanuelle Béart m’a au plus profond de moi-même passé l’envie d’essayer des drogues et fait réfléchir sur les conditions de la liberté ;

15 ans quand, envers et contre tout, Pretty Woman m’embarquait dans l’attente du prince charmant… quand bien même je n’avais pas les jambes de Julia Roberts ! Alors en tant que parents, il ne nous reste qu’à proposer, partager, s’ouvrir aussi aux goûts de nos enfants et ados… Et chacun verra dans quelques années lesquelles de ces histoires auront survécu au temps !

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  22. Quel est l'avis des lecteurs sur Arrêter de tout contrôler: lâcher

    Arrêter de tout contrôler: lâcher prise en toute sérénité. infos Critiques (7) Citations (2) Forum. 4,71. ★★★★★. sur 7 notes. Les dernières Les meilleures. Ajouter une critique. cindyh68. ★★★★★. 21 février 2024. 𝘊𝘰𝘭𝘭𝘢𝘣𝘰𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘳𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦 : 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦 𝘳𝘦ç𝘶 à 𝘵𝘪𝘵𝘳𝘦 𝘨𝘳𝘢𝘵𝘶𝘪𝘵 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘫𝘦 𝘯𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘱𝘢𝘴 𝘳é𝘮𝘶𝘯é𝘳é𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘯 𝘱𝘢𝘳𝘭𝘦𝘳.

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    Au cours d'un match, le ballon pourra souvent rebondir de manière inattendue : vous devrez alors réussir à le contrôler tout en dribblant. C'est pourquoi Oz recommande de vous entraîner à reprendre le contrôle du ballon, même quand il n'est pas à la hauteur idéale. « Vous devrez prendre le contrôle du ballon si vous le prenez à l'adversaire », souligne-t-il. Pour ce faire ...

  26. Barça-PSG (1-4) : « On a été meilleurs que le PSG

    Barça-PSG (1-4) : « On a été meilleurs que le PSG », regrette Xavi qui dénonce « un arbitrage bizarre » Toujours sobre et calme au moment de passer en conférence de presse, le coach du ...

  27. Attaque de l'Iran contre Israël : "Israël a les moyens de contrôler une

    Bertrand Badie, spécialiste des relations internationales, estime que l'attaque iranienne pourrait fournir à Israël un prétexte pour une contre-attaque de plus grande ampleur.

  28. Comment connecter et contrôler votre Samsung Music Frame

    Une fois votre Music Frame configuré, vous pouvez utiliser les options de connexion de ce guide. Contrôler le Music Frame (cadre musical) Connecter le Music Frame à l'aide du Bluetooth. Connecter le Music Frame à l'aide du Wi-Fi. Réinitialiser le Music Frame. Vidéos de référence sur le Music Frame de Samsung.

  29. Achraf Hakimi : « On a la volonté de changer ce qu'il s'est passé

    « Notre coach connait très bien le Barça, on nous a bien parlé des joueurs, je pense que tout le monde connaît leurs qualités. Maintenant on doit savoir leurs points faibles. Je pense qu'on a un style de jeu similaire à eux. Mais le danger ne vient pas que de Raphinha, ils ont de très bons joueurs et on doit tous bien les contrôler ...

  30. Ma vie de parents de Gwenaëlle Boulet du mercredi 17 avril 2024

    Amadeus et ai été fascinée à la fois par la génie de Mozart et la jalousie de Salieri ; 13 ans quand « La vie est un long fleuve tranquille » a profondément fait rire ma famille tout en me faisant réfléchir sur les différentes sociales ; 14 ans lorsque le film. « Les enfants du désordre » avec Emmanuelle Béart m'a au plus ...